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Histoire de cul : Baise avec un inconnu.

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de cul : Baise avec un inconnu.

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Chers coquines et coquins, j'espère que mon récit vous mettra l'eau à la bouche...
    Puisque nous ne nous connaissons pas encore je vais me présenter à vous et tenter de me décrire le plus sincèrement possible. Mon prénom c'est Mylène, j'ai 30 ans et je suis vendeuse en boulangerie. Mes cheveux sont chatains, j'ai la chance d'avoir de beaux yeux verts et on me dit souvent qu'ils sont coquins. Quant à ma silhouette, en dehors d'une poitrine voluptueuse, le reste de mon corps est mince. Mon petit ami actuel (je dis actuel car cela fait seulement trois mois que nous nous fréquentons) s'est esquivé en vacances une dizaine de jours avec des copains car je n'aurais mes congés qu'au mois d'août. Je ne suis pas le genre à me morfondre sur place alors j'ai profité de son absence pour sortir et m'éclater avec les copines.

    J.'aime me déhancher sur de la bonne musique. Vendredi soir nous sommes allées au restau entre nanas, à quatre pour être plus précise, et ensuite direction la boite de nuit pour terminer en beauté jusqu'au bout de la nuit. Si vous pensez que j'ai rencontré un mec en boite et que nous avons fini la nuit ensemble vous vous tromper. Aux alentours de 5h du mat', les pieds en compote, j'ai embrassé les filles et je suis rentré. J'ai juste oublié mes clopes sur place et m'en suit rendu compte trop tard. Un peu avant d'arriver chez moi, je me suis arrété devant un bar qui était en train d'ouvrir histoire de prendre des cigarettes et mon premier café du matin. Pas de bol, malgré la lumière c'était fermé. Il me fallait des cigarettes alors j'ai tapé pour que quelqu'un m'entende et vienne ouvrir. Je commençais sérieusement à geler dans ma robe légère sur le trottoir quand enfin un mec est venu m'ouvrir :

    - on n'ouvre dans trente minutes ....

    - oh zut j'ai pas de cigarettes et j'ai super froid...

    J'ai du prendre un air convaincant pour dire cela car le type m'a finalement ouvert. Ensuite il a refermé derrière moi et a immédiatement baissé les lumières en disant :

    - je baisse les lampes sinon les gens vont croire que c'est ouvert et le boss n'arrive pas avant trente minutes. De toute façon, il fait pratiquement jour.

    Il m'a vendu un paquet de blondes, la seule marque qu'il avait, et m'a proposé un café crème.
    En déposant la tasse devant moi, j'ai senti son regard descendre avec insolence sur ma légère et courte robe d'été et cela ne m'a pas déplu. Au comptoir face à moi, je l'ai observé à la dérobée et je l'ai trouvé assez mignon.Comparés aux mecs croisés en boite cette nuit, lui me plaisait . Sorti tout droit de la douche depuis peu, rasé de près, laissant sur son passage une fragance d'eau de toilette typiquement masculine qui me chatouillait les narines , je me suis aperçu que ce jeune homme m'excitait légèrement . Il a rangé deux trois bricoles pendant que je buvais mon café et ensuite et venu boire le sien accoudé au comptoir juste en face de moi. Il s'est enfin décidé à bavarder un peu, m'a demandé mon prénom et si j'avais passé une bonne soirée. Les présentations faites, Kévin, m'a fait quelques compliments sur ma tenue et s'est étonné de me voir rentrer seule. Je lui ai dit que mon petit copain du moment était en vacances et que j'avais passé la soirée avec des bonnes copines.

    - moi si j'avais une amie aussi mignonne je ne partirais pas en vacances sans elle, j'aurais trop peur de la laisser seule.

    Sa réponse m'a fait sourire. J'avais sept ans de plus que lui mais ça ne me gênait en rien. Tant qu'il était majeur, le reste je m'en moquais un peu. D'ailleurs c'est lui qui m'a tendu une perche.

    - es tu libre ce soir ?

    - maintenant aussi si tu veux....

    En répondant ainsi, je ne pouvais pas être plus claire. Mon propre aplomb me surprenait mais le beau mec qui était à présent à quelques centimêtres de moi me donnait des envies de plaisir, de sexe intense. Pas une gravure de mode, ni grand ni musclé, non juste une belle gueule d'ange avec un regard brun très vif et une belle bouche sensuelle. Il m'a dit que sa mère était d'origine française et que son père était sénégalais. Un superbe mélange, une peau couleur caramel qui m'a immédiatement donner envie de poser mes mains et ma bouche pour en goûter la saveur.
    Devant ma proposition plus qu'indécente, il a jetté un regard à sa montre, sans doute parce qu'il redoutait l'arrivée de son patron, puis il a contourné le bar et il m'a prise le bras pour m'attirer dans la petite salle du fond.

    Personne pouvait nous voir et il s'est alors jetté sur moi comme la misère sur le monde. Nos bouches se sont avidemment embrassés et très vite il a fait glisser ma robe pendant que je lui enlevais son tee shirt et que je déboutonnais son pantalon. On s'est serré tellement fort dans les bras l'un de l'autre qu'on n'aurait dit des naufragés qui viennent de se retrouver. Il m'a soulevé de terre pour m'asseoir sur le bord d'une table et s'est agenouillé devant mon entrecuisse pour éliminer la dernière barrière qui le séparait de mon minou : un adorable string en dentelle rose bonbon qu'il a retiré directement avec sa bouche. Il a ensuite écarter mes lèvres gonflées de désir à la recherche de mon clitounet, réveillé par sa bouche gourmande, et là sans retenue il m'a mangé la foufoune comme jamais. Sa bouche affamée n'a cessé de me lécher jusqu'au moment ou j'ai laisser mes hanches remuer avec force en gémissant de bonheur sous ses coups de langue agiles.

    Je me rappelle ensuite de ses lèvres chaudes qui sont venues sucer ma langue en l'aspirant et de ses mains entreprenantes qui se sont mises à malaxer mes seins charnus en faisant dresser mes mamelons. Il venait de me faire jouir et j'avais envie de lui rendre la pareille alors je me suis relevé et cette fois ci c'est moi qui me suis agenouillée devant son sexe tout dur pour m'en régaler. Humm quelle merveilleuse queue j'avais devant moi : une longueur moyenne mais une largeur très appréciable, la douceur veloutée de la peau de sa bite a conquis ma bouche et je me suis fait un plaisir de le lécher amoureusement, sans oublier ses bourses pleines que j'ai gobé sensuellement. Ses mains caressaient mes cheveux lascivement tandis que de sa bouche sortait des sons rauques de plaisir. Au moment de jouir, il m' a repoussé tendrement pour disparaitre quelques secondes le temps de revenir avec un préservatif que je me suis empressé d'ouvrir.

    Il m'a alors soulevé dans ses bras et m'a collé dos au mur, mes jambes nouées autour de ses hanches musclées, il m'a pénétré d'un coup sec et brutal, en écrasant sa bouche sur la mienne, son sexe s'est enfoncé en moi si profondémment que j'ai crié de plaisir. Il a continué à me pilonner ainsi maintenue entre ses bras, ne pouvant lui échapper, complètement bloquée contre le mur, il me donnait des coups de hanches de plus en plus vite et plus fort, dévastant mon minou, mes râles se mélèrent aux siens et mon corps ondulait au rythme de sa queue nerveuse, on n'a crié pratiquement au même moment tant le plaisir nous a submergé. C'était super fort, je n'avais pas ressentit cela depuis un bail.

    Ensuite on s'est écroulé par terre le temps de reprendre nos esprits. C'est le bruit de la porte du bar qui nous a fait réagir. Kévin a posé son index sur ma bouche et me faisant signe de ne pas faire de bruit. Il s'est relevé comme un ressort et s'est habillé en quatrième vitesse. Je l'ai imité, embarrassée qu'on puisse nous découvrir nus dans l'arrière salle. Son patron est resté quelques minutes puis est ressortit. Kévin m'a rejointe et m'a dit :

    - viens il est partit faire des courses, on n'a eu chaud, pardonne moi de t'avoir quitté si vite mais j'avais peur qu'il nous prenne en flag ....

    - t'inquiètes pas, je comprends....

    Maintenant que nous étions rhabillés, je ne savais plus quoi dire, je me sentais légèrement gênée car Kévin l'ignorait sans doute mais c'était la première fois que je me laissait séduire aussi vite par un inconnu et que je succombais à son charme dans la foulée.
    Kévin a du se rendre compte de mon trouble car ses lèvres chaudes et pleines se sont posées sur les miennes de façon amoureuses et rassurantes. Il a remis quelques mèches de mes cheveux en ordre sur mon front puis m'a murmuré à l'oreille :

    - j'ai encore envie de toi mais là c'est plus possible, je te fais un café si tu veux à la place....

    J'ai répondu à son sourire et accepté le café, puis les premiers clients du matin se sont pointés et j'ai profité d'un moment d'innatention de Kévin pour me faufiler vers la sortie en catimini.
    En m'engouffrant sous la couette, j'ai repensé au moment fabuleux que je venais de vivre et me suis endormie, très satisfaite de ma fin de soirée très surprenante. J'avais l'impression en touchant ma peau qu'il y avait encore la marque de sa bouche un peu partout.

    En fin d'après midi , je me suis enfin levée et après un bon café maison quand j'ai pris une cigarette j'ai vu que Kévin avait inscrit son numéro de portable sur le paquet. Je me suis alors dit qu'il y aurait fatalement une suite à notre histoire et en repensant à lui j'ai immédiatement mouillée de désir. Si c'est le cas, vous n'en louperez pas une miette car je vous fais la promesse de venir vous raconter la suite sur dial69com.
    A bientôt j'espère.
    Mylène

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par la gars :
je mouille a mort
Posté le par DonneurDorgasmes :
Suceuse de bite , c'est moi qu'il te faut ;)
Posté le par lilou :
suceuse de bite vien jte fait du bien moi ^^
Posté le par abouchiw :
ben je suis la salope vien que je t'encule !
Posté le par Suceuse de bite29 :
Putin , j'ai adoré j'en mouille. Je cherche un mec pour me faire du bien. :)
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Mylène

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