Recit de cul : Baise en voiture
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Recit de cul : Baise en voiture
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/06/2015
Publié le 24/06/2015
HOT INTENTIONS.
Rapide petite entrée en matière.
Un couple rentre chez eux après une sortie, ils décident de prolonger la soirée dans leur voiture. Une chanson de Marvin Gaye passe à la radio... C'est madame qui parle :
Je me tournai vers mon compagnon qui coupa le contacte mettant fin par la même occasion aux ronronnements frénétiques du moteur. Sexual Healing remplissait l'habitacle de son rythme sensuel.
Je senti me monter un violent désir et reteint mon compagnon au moment où il s'apprêtait à sortir. Je l'attirai à moi et l'embrassai lascivement, plongeant mon regard dans le sien, afin qu'il ne devine aucune ambiguïté dans mes intentions.
Un sourire prometteur étira ses lèvres. Mais doigts glissèrent dans sa chevelure et nos baisers devinrent langoureux, profonds.
J'ai toujours aimé être embrassée. J'aimais le jeux des lèvres qui s'effleurent, se caressent, se plaquent l'une contre l'autre, s'éclatent et se mordillent. Il me pénétrait de sa langue aiguillonnant mon désir. Nous épuisions lentement notre souffle. La position étant difficile à tenir, penché l'un vers l'autre au dessus du frein à main. Je profitai du moment ou nous reprenions notre respiration pour lui proposer d'un regard significatif de poursuivre notre élan sur la banquette arrière.
Un nouveau sourire étirait ses délicieuses lèvres. Ses yeux brillaient à présent d'un désir à peine contenu.
Sous le tissus de ma robe, je sentis mes seins se tendre et tétons se durcir. La première, j'enjambai la boite à vitesse pour passer sur la plage arrière.
Je guettais du coin de lil sa réaction quand mes cuisses s'offriraient à sa vue, découvertes et blanches dans la sombre clarté de l'habitacle.
Je cambrai excessivement les reins, féline et ondulante.
Je ne fus pas déçue de sa réaction. Se mordant les lèvres, il lui était impossible de détourner ses yeux de mes dessous.
Satisfaite de l'attraction que jexerçais sur mon compagnon, je m'installai sur la banquette, face à lui, gardant intentionnellement les jambes légèrement écartées.
Son regard était rivé à mon entre jambe. Il passa avec lenteur sa langue sur sa lèvre fiévreuse. J'eu à cet instant une furieuse envie de me jeter à son coup et de le mordre. A la place, je l'appelai doucement par son prénom tout en tapotant du plat de la main le siège à côté du mien. D'un bon, il fut assis à l'endroit que je lui indiquait. Il passa un bras autour de ma taille et m'attira contre lui. Docile, je me laissai faire.
Ses lèvres endiablées imprimaient une sensations de brûlures sur ma peau là où elles s'aventuraient. Glissant de mon visage sur ma gorge pour arrêter leur course dans le creux de mon épaule. De ses mains expertes, il palpait ma chaire, caressait mes seins devenus extrêmement sensibles. Je rabaissai le au de ma robe pour les offrir à sa fantaisie. Aussitôt, il se mis à les couvrir de baisers.
Je m'abandonnai à ses caresses, les savourant, les ressentant jusqu'au plus profond de mon être. Mon corps était pris de convulsions dexcitation.
Soudain, mon compagnon planta sa canine dans mon téton, tendre et délicieuse morsure qui m'arracha un cri de contentement.
Les fenêtres étaient recouvertes de buée. À l'intérieur, latmosphère étouffait chargée qu'elle était de notre désir.
D'un coup, je le repoussai au fond du siège, l'obligeant à s'y affaler. Un éclaire de surprise éclaira ses beaux yeux sombres. Il inspira rapidement, désolé et prêt à me présenter ses excuses. Je coupai court à sa culpabilité en scellant ses lèvres des miennes. Je l'embrassai avec amour et tendresse, preuve que je souffrais d'aucune offense.
C'était à mon tour de jouer.
Je dégageai sa chemise de son pantalon et entrepris de la déboutonner. Il était terriblement désirable dans cette position. Je fis tomber la chemise sur le plancher et dirigeai une main vers son entre jambe. Il émit un faible gémissement et ferma un instant les yeux. Je constatai que le frein était déjà bien levé. Je lui baissai son pantalon et dégageait son membre luisant d'un liquide nacré à son sommet. Je le pris délicatement en main et le pressai entre mes doigts. Je pris mon temps pour l'examiner, le palper, apprécier son poids et sa texture. J'ajoutai un mouvement de rotation à la pression que j'exerçais sur toute sa longueur. Je le vis grandir et sépaissir jusqu'à atteindre ses proportions optimales dans ma main.
À son tour, mon compagnon s'abandonnait à mes caresses. Sa respiration devint profonde et lente. Je trouvai son expression irrésistible. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, un fin film de sueur recouvrait son visage. Quand il me sembla que le bon moment était arrivé je me penchai et pris son sexe dans ma bouche. D'abord du bout des lèvres puis jouant avec, le lapant de petits coups de langue.
La respiration de mon compagnon se fit irrégulière. Les sons à peine audible qu'il émettait étaient terriblement excitant. Tout mon corps ondulait au rythme des caresses buccales que je lui prodiguait. Je les voulaient douces et profondes pour lui arraché de nouveaux râles de plaisirs.
Mais très vite, je sentis ma mâchoire se fatiguer. Je regrettai mon manque d'endurance aux vues de l'effet que je provoquait chez mon compagnon. Je pris le temps d'une petite pause pour l'embrasser amoureusement. Son regard était vitreux, altéré par le plaisir. Je ne pouvais décemment pas m'arrêté en si bon chemin.
Je redescendis sur son entrejambe et me mis à le sucer. Son sexe roulait sous ma langue comme un bonbon acidulé provoquant de délicieuses démangeaisons, des décharges extatiques dans tout mon corps.
Je m'aventurai plus bas encore, jusqu'à sa base ou la peau était si fine. Délicatement, je me saisi de ses attributs et les soupesai dans ma main. Je les manipulai avec le plus grand soin sachant à quel point cette zone était sensible.
Sans cesser de le masturber, j'explorai du bout de la langue cette nouvelle partie de son anatomie.
Sa respiration était rauque et animal. Soudain, il minterrompit. Je le regardai dans les yeux et compris qu'il était sur le point de rendre les armes. Son visage était rouge et convulsé sous l'effort. De tout évidence, il tentait de se dominer.
Je réalisai à ce moment combien ma propre intimité réclamait de l'attention. J'y enfuis mes mains et commençai à me toucher. J'étais tellement humide. Je me caressai, jouant avec moi-même et mon plaisir. Mon compagnon m'observa quelque instant et ses yeux me brûlaient. N'y tenant plus, il m'invita à le monter.
Sans me faire prier, je me positionnai en Andromaque chevauchant mon Hector revigoré. Nos corps avides de chaleur se pressaient l'un contre l'autre. Mes hanches ondoyaient d'elles-mêmes pour une chevauchée sauvage et sensuelle. Comme un peu plus tôt, mon corps était parcourus de vagues d'extase. Petit à petit, je me sentis envahir par une sorte d'engourdissement sourd et froid comme si le sang se retirait de mes veines. Je poussai des cris de plaisir pendant que perdant conscience de sa propre force mon amant accompagna mes mouvements de puissant coups de reins. Tout d'un coup, je me sentis partir. Comme lorsqu'on perd connaissance, le monde bascula dans une parfaite obscurité outrepassant l'entendement des sens.
Je restai ainsi quelques secondes en pleine béatitude.
Petit à petit, je repris conscience de lapesanteur. J'étais engourdie, affalée contre le torse de mon compagnon essoufflé. Je souris, heureuse et satisfaite.
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
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Commentaires
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sexchocolat
L'été de mes 18 ans
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
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A l usine, nue sous sa blouse en nylon
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 04/09/2015
Publié le 04/09/2015
Solange va à l'usine nue sous sa blouse en nylon, ses collègues ne vont pas tarder à lui tourner autour ...
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!