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Recit de sexe : Baise torride entre SexMulder et Sylvaine

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de sexe : Baise torride entre SexMulder et Sylvaine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baisée comme une chienne

    J'aimerai prendre mon clavier pour raconter une histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps.

    C'est lors d'une soirée où je participais, dans un cadre associatif (je n'en dirai pas plus!), que je rencontrais Sylvaine.

    C'est une jolie jeune femme, aux cheveux châtains clairs. Elle n'est pas très grande mais elle a des formes très mignonnes avec des petits seins qui se devinent sous son pull fin et un joli petit cul sous son pantalon.

    Nous avions sympathisé pendant la soirée à table où, au fil des plats qui nous étaient servis par le restaurateur qui accueillait l'association une fois par mois, j'avais pu apprécier le caractère gai et joyeux de Sylvaine. J'avais compris qu'elle était entre deux hommes et je lui proposais de la raccompagner chez elle en voiture car nous avions finis particulièrement tard ce soir-là ; bien après la fermeture des bus qui sillonnaient la ville.

    Je me garais non loin de chez elle, pensant qu'elle descendrait pour aller chez elle et que je repartirai ensuite. Mais, au lieu de ça, elle me proposa de "boire un dernier verre" chez elle. Évidemment, mon imagination tourna très vite à bride abattue...et je commençais à ressentir quelques fourmillements dans l'entrecuisse...

    Sylvaine habitait au troisième et nous prîmes l'ascenseur pour monter. Celui-ci était étroit, aussi étais-je près d'elle. Je pouvais sentir son parfum de muguet, même à cette heure de la soirée. Et la promiscuité dans l'ascenseur me donnait des idées!

    Sylvaine ouvrit la porte de son appartement et me dit de me mettre à l'aise tandis qu'elle posait sa veste, son sac à main, et alla dans la cuisine. Elle rapportait deux petits verres et me proposa un digestif à la menthe, avec beaucoup de glace. Je laissai tourner les glaçons dans mon verre en attendant de boire bien frais tandis que nous devisions de choses et d'autres.

    J'appris que la dernière histoire de Sylvaine ne s'était pas bien terminée. Avec un homme depuis plusieurs mois, celui-ci ne la faisait pas vraiment jouir et l'attrait était bien vite retombé. Or, l'homme en question l'avait mal pris et avait mené la vie dure à la jeune femme, la menaçant de venir la violer. Évidemment, Sylvaine avait porté plainte et avait obtenu que l'homme ne puisse plus l'approcher, par ordonnance du tribunal de police. Le genre d'histoire qui arrive rarement mais qui est toujours une épreuve à vivre.

    Je la sentais dépitée car, mignonne comme un cœur et très souriante, a priori, rien ne pouvait faire penser aux tourments qu'elle avait vécue. Ému par sa confession, je me rapprochais d'elle pour lui prouver ma sympathie et ma compassion en lui mettant ma main sur l'épaule. Elle me fit un timide sourire et pencha sa tête sur mon épaule. Je pris cela pour un signe d'amitié à mon égard. Les yeux humides, elle me dit ne plus avoir confiance dans les hommes et je pouvais la comprendre.

    Je caressais gentiment ses cheveux, qui étaient mi-longs, et je lui avouais qu'il était dommage qu'elle ne rencontre pas un homme bien. Elle me fit un sourire et, sans que je m'y attende, elle me décocha un petit baiser sur les lèvres. Celles-ci, tout comme les miennes, sentaient la menthe fraiche.

    - Sylvaine. Je ne sais quoi dire. Je suis à la fois attiré par toi et en même temps, je n'ai pas envie de profiter de ta détresse.

    - Tu es un amour! me dit-elle. Mais j'ai envie d'un homme à mes cotés ce soir. Veux-tu faire ça pour moi?

    Je la regardais un moment dans les yeux, tellement surpris par la proposition de Sylvaine, que je ne sus que répondre.

    - Tout ce que tu veux, finis-je par murmurer à la jeune femme, tout en l'embrassant délicatement sur les lèvres. Puis, nos langues finirent par s'unirent de concert, sous le feu du désir.

    Sylvaine se leva et, sans rien dire, elle me prit la main et m'entraina dans sa chambre. Le lit était toujours défait du matin aussi tira-t-elle l'édredon pour nous faire de la place. Elle retira son pull d'un vert clair, pour ne révéler que son soutien-gorge. Moi, je déboutonnais ma chemise et enlevais mon maillot afin de révéler mon torse poilu. Elle ouvrit la ceinture de mon pantalon et entreprit de l'abaisser. Je me laissais faire tandis qu'elle enlevait ses chaussures. Je fis de même et je me retrouvais avec mon boxer comme seul vêtement. Je dégrafais son soutif et ses petits seins apparurent, bien formés, bref, comme je les aimais!

    Je les caressais un moment avant d'y plonger avec avidité ma bouche. Je léchais ses mamelons, en orientant ma langue sur les aréoles et sur ses tétons. J'aimais par dessus-tout faire se dresser les petits bouts bien durs des seins des femmes. Les sucer longuement, les mordiller, y faire tournoyer ma langue, y faire jouer mes dents ; voilà ce qui m'excitait lors que je "jouais" avec les seins de mes partenaires.

    - Oh oui! C'est bon! Continue! Tu es un chef!

    Je continuais à lui donner du plaisir lingual avec ses seins et j'enlevais son pantalon. Elle et moi étions en petite tenue et je décidais de caresser sa fente à travers le mini-slip bleu qu'elle portait. Elle s'assit sur le lit pour me donner plus de latitude, tandis que de son coté, elle avait dirigé ses mains vers la bosse qui s'était formée sous mon boxer gris.

    Elle me caressa un instant avec ses doigts, puis elle retira mon boxer avec ses deux mains, le fit descendre le long de mes jambes fortement poilues et l'enleva. Elle attrapa mon sexe d'une main et commença à le caresser, couilles comprises.

    De mon coté, j'avais accentué les caresses à travers le fin tissu et j'appuyais plus fortement ; ce qu'elle aimait. Je décidais aussi de retirer son mini-slip. Dessous, elle cachait un joli petit abricot surmonté d'un ticket de métro de poils châtains.

    Elle écarta les jambes et me fit signe de venir vers son entrecuisse. J'y courus y plonger ma langue qui fit des grands mouvements dessus et à l'intérieur de ses lèvres. Je remontais ma langue jusqu'au clitoris et appuyais un peu plus sur la zone sensible. Aux mouvements de ses reins, je sentais bien que cela ne lui était pas indifférent, aussi continuais-je.

    - Tu n'as pas idée du temps que j'attends un homme sachant me satisfaire, me dit-elle, dans un état second.

    - Tu n'as pas fait d'autres rencontres depuis ton ex?

    - Non! J'étais comme bloqué!

    - Et il t'arrivait tout de même de te donner du plaisir?

    Sylvaine me fit un sourire coquin et se leva pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Elle en sortit un objet oblong, de couleur argenté. C'était son godemiché!

    - J'aime me donner du plaisir lorsque je n'ai pas d'homme à domicile!

    Je pris son gode et je compris qu'il comportait des piles. Je poussais le curseur situé au bout et j'entendis la douce vibration de l'appareil à plaisir.

    - Et si nous nous en servions ? lui lançais-je par défi.

    Elle sourit et je commençais à faire tournoyer le gode sur son clito. Elle aima ça et je j'activais celui-ci à l'intérieur des lèvres, tout en le faisant pénétrer par à-coups dans sa chatte.

    Ma bouche était remontée pour l'embrasser et pour lécher et mordiller ses seins.

    Je plongeais ensuite son vibro carrément dans sa chatte et j'entrepris de la branler avec. Elle gémissait sous l'effet des vibrations du gode, ainsi que de mes caresses buccales et manuelles. Je lui confiais son objet de plaisir, le temps d'aller chercher un préservatif dans mon portefeuille (j'en ai toujours un en cas d'imprévu...).

    J'arrivais habillé pour l'honorer de mon pieu de latex et je m'introduis en missionnaire pour commencer. Sylvaine était bien écartée et je la pénétrais très facilement, tant son sexe était dégoulinant de mouille. Je la retournais et la pris en levrette tout en caressant ses seins. Sylvaine avait rallumé son gode et entreprit de se caresser le clitoris avec. Ses gémissements n'étaient pas feins et elle sentait vraiment monter le plaisir en elle sous le double effet des vibrations et de mes coups de boutoir.

    Tout en faisant mes mouvements de va et vient, je ne pouvais manquer de voir, dans la position qui était la mienne, le trou de son petit cul qui se dilatait sous l'effet du plaisir. j'écartais alors ses cuisses et je commençais à le caresser, tout en mettant un peu de salive dessus. Comme elle ne disait rien pour m'en empêcher, je continuais, risquant un doigt sur son trou, cherchant à y pénétrer. Au bout de quelques caresses digitales, j'y introduisis mon majeur, tout en écartant ses fesses.

    Elle se cambra sous l'effet du doigt dans son cul et sembla aimer cela.

    - Est-ce que tu aimerais avoir ma bite dans ton cul?

    - Oh oui! Bonne idée, me dit-elle toute excitée.

    Je sortis de sa chatte et je me couchais sur le dos. Je lui dis de s'asseoir sur moi pour se sodomiser. J'écartais du mieux que je pouvais ses fesses et elle vint s'empaler, au bout de plusieurs essais, sur ma queue. Elle mit un peu de temps à faire entrer le gland bien violacé, même caché par la capote, puis manœuvra pour laisser entrer le reste de ma bite, lentement, adroitement. Je ne voulais pas lui faire mal ni lui déchirer l'anus. Autant il m'arrivait d'être parfois brutal lors d'une pénétration vaginale ; autant je faisais attention pour de l'anal.

    Elle s'empalait bien sur ma bite et moi j'avais une magnifique vue sur son minou que je caressais à pleines mains. Au bout d'un instant, je saisis le vibromasseur et le passais sur son clitoris. Elle était aux anges et criait son plaisir...alors qu'il était dans les trois heures du matin!

    Puis, je pris le gode doré et le fis pénétrer dans sa chatte. J'opérais alors quelques mouvements de va et vient, tout en le faisant tourner. Sylvaine était en transe. Elle ne me regardait plus mais semblait vivre dans sa bulle de plaisir.

    Par ailleurs, les caresses et les halètements de Sylvaine me faisaient de l'effet et je sentais que je n'allais plus pouvoir me contenir bien longtemps. Elle criait son plaisir et gémissait comme une chienne. Je la prévins que j'allais jouir dans son cul et, à mon tour, je hurlais lorsque je sentis l'orgasme né de mon éjaculation. Je m'arrêtais bien vite; retirais la capote et je poussais Sylvaine pour lui présenter mon sexe, encore luisant de sperme, à sa bouche.

    Elle prit mon sexe avec avidité et le lécha de sa langue avant de l'engloutir entièrement, une fois bien propre, dans sa bouche. Nous mîmes plusieurs minutes pour nous calmer, tout en nous caressant et nous embrassant.

    Alangui par cette scène de baise, elle me proposa de finir la nuit avec elle et je repartis le lendemain matin. Non sans avoir fait une nouvelle fois l'amour sous la douche.

    C'était la première fois que je jouais avec le vibromasseur d'une de mes partenaires, mais cela devait me donner des idées pour la suite!...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par james :
SexMulder,

j'ai lu attentivement votre récit charnel et je dois constater que vous êtes un séducteur pour la gente féminine, tant mieux pour vous.
J'ai cru comprendre également que cette jeune femme vous a invité à prendre un verre chez elle, sachant qu'elle savait ce qu'elle faisait, quelle allait vous courtiser charnellement et vous avez passer la nuit ensemble, cela prouve que cette jeune femme avait besoin d'un homme pour se sentir désirer et féminine.

james1050
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