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Histoire sexe : Baisée par un supèrieur

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire sexe : Baisée par un supèrieur

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Salut mes chauds lapins

    Arf je reviens vous raconter encore une fois mes histoires de cul. Vous vous souvenez de moi j’espère ! ;) En totu cas moi je vous suis tous les jours..et j'adore vos histoires...

    Petit récap viteuf : 31 ans, rousse flamboyante, mariée et infidèle chronique, pulpeuse avec une sacrée paire de miches, cadre dans la finance, j’aime la baise au boulot parce-que d’1, c’est moins compliqué à gérer quand c’est uniquement dans ce cadre-là et de 2, cela facilite bien l’évolution professionnelle…
    Je suis aussi directe dans mon taf que dans le sexe. Je sais que j’ai une réputation de salope pour avoir gravi les échelons trop vite par la promotion canapé, mais je n’en ai rien à faire. Pourquoi utiliser ses charmes devrait-il être interdit à partir du moment où on assume? Chacun fait avec ce qu’il a. D’autres utilisent l’argent, le chantage, le pouvoir, moi c’est le sexe.

    Je me tape mon petit stagiaire de 20 ans Jérémie (c'est pas lui qui me fait monter les échelons LOL) depuis la rentrée de septembre mais je commence à me lasser. Il le sait. Alors je suis beaucoup moins disponible pour lui et je me le coince beaucoup moins souvent dans un coin pour me faire sauter. MAis du coup je suis quand même un peu en manque de sexe.

    Ouais mon problème c’est quand même que je me lasse assez vite…

    Il y a 15 jours, en me rendant dans le bureau d’un collègue, à l’autre bout des locaux, j’ai croisé André. André, il a 52 ans, le cheveu grisonnant, l’œil bleu très vif et séducteur et beaucoup de charisme. Il en faut de la prestance à ce niveau-là car il fait partie des hauts dirigeants de la boite. J’ai été sa maitresse de façon épisodique, au gré des opportunités. Mais il n’est pas souvent dans les locaux, toujours en déplacements et son bureau est au 3ème étage, étage luxueux des grands patrons où nous n’allons que peu souvent, nous simples cadres sup. Donc il y avait bien 3 mois que je ne l’avais pas revu et là je le croise dans un couloir.

    Humm, un plaisir de le revoir! Son costume impeccablement taillé, son allure féline, il était bronzé par les quelques jours qu’il avait dû s’accorder au ski et toujours cet œil bleu acier aiguisé et séducteur. Des frissons m’ont parcouru. Vous imaginez ce qui m’a traversé l’esprit. On discute un peu de tout et de rien et puis toujours très cash :

    - Y a un moment dis donc qu’on ne s’est pas retrouver seuls tous les deux…
    Il a souri, ayant très bien compris où je voulais en venir.

    - Tu n’as pas changé dis donc, toujours aussi directe.
    - Ben quoi, tu m’offrirais pas un café dans ton grand bureau un de ses quatre, que l’on se remémore un peu nos vieux souvenirs.
    Il sourit, de son sourire ravageur.

    - Oui, ça peut se faire, mais là je ne peux vraiment pas. Je t’appelle ok ?

    Grrr je peux vous dire que j’ai rongé mon frein. Deux jours plus tard, alors que je ne m’y attendais plus, il m’appelle en me disant de monter le retrouver vers 9h. J’ai trouvé ça bizarre car il allait y avoir sa secrétaire dans la pièce à côté. C’était plutôt imprudent s’il avait prévu la même chose que moi.
    A 9h pétantes j’emprunte l’escalier (pas l’ascenseur), c’est bon pour maintenir mon fessier rebondi en forme.
    Bizarre son assistante n’est pas là. Je frappe et il me dit d’entrer.

    - T’as fait quoi de ta secrétaire ?
    - Elle ne doit pas arriver avant 10h30, elle devait amener son fils malade chez le médecin.
    - Bon tu me l’offres ce café ?
    Il a beau être un de mes bigs boss, nos plans culs me permettent ce genre de familiarités.
    - Oui je te fais ça.

    Je m’approche de son grand bureau en ébène, contemplant à l’arrière-plan le paysage par la grande baie vitrée, privilège des hommes hauts placés.

    - Pfff j’espère que moi aussi un jour j’aurai droit à un bureau à cet étage.
    Perdue un peu dans mes ambitions carriéristes, je ne l’ai pas senti venir derrière moi et poser les 2 cafés sur bureau. Sans prévenir il se colle dans mon dos et commence à relever ma jupe.

    - Humm toujours aussi entreprenant je vois, comme à ton habitude ! C’est ça que j’aime chez toi …et ta bite.

    Ma jupe remontée jusqu’à la taille, il me pétrit les fesses avec force et ardeur. Je me laisse faire, je savoure... Je le laisse prendre les choses en mains. J’ai entendu le bruit du zip de son pantalon. Il en a extrait sa queue et a commencé à se frotter dans ma raie des fesses. Exquis ! Il a déboutonné mon chemisier et a empoigné mes seins avec rudesse. Moi je mouillais déjà à l’idée d’une bonne baise comme je les aime. Il a écarté mon string et m’a fourré d’autorité un doigt dans la chatte.

    - Tu mouilles déjà, gourmande, t’es vraiment une nympho!
    -Oui mais ça tu le savais déjà que j’étais une baiseuse de première. Ce n’est un secret pour personne.

    Il mettait trop de temps à mon goût. J’avais juste envie qu’il me saute, qu'il me fourre sa bite dans la chatte et qu’il me fasse jouir. Sa queue entre mes fesses avait bien enflée et était maintenant bien raide, prête à m’empaler comme je le méritais.

    - Allez, suffit les préliminaires, baise-moi!
    -Arf, insatiable et impatiente. Que des défauts ! Me dit-il ironiquement.
    - Ah oui et bien bourre-moi et après on reparlera de mes tous petits défauts.

    Alors il a laissé pantalon et caleçon tombés à terre. Et il m’a embroché d’un coup de rein brutal. De toute façon j’avais la moule inondée de cyprine, il n’a donc eu aucun mal à me pénétrer. Les mains accrochées sur le bord du bureau, je lui tendais ma croupe large pour qu’il me pilonne profondément. Mes gros seins lourds étaient ballottés comme des pastèques bien mûres. Dans cette position, penchée en avant, mes nichons pointaient vers le bas, tombant légèrement sous l’effet de l’apesanteur. Je me les admirais, gigotant dans tous les sens, et ça m’excitait grave.

    Derrière moi, André donnait tout ce qu’il pouvait. Il avait empoigné mes hanches comme un rustre pour mieux plaquer mon cul à lui à chaque coup de reins qu’il m’infligeait. Je gémissais sous sa bestialité, son empressement. Son souffle de plus en plus court me faisait frémir de plaisir. Il m’empalait puissamment. Il avait une belle grosse queue et ma chatte était pleine de sa bite. Mais si sa queue avait une circonférence assez impressionnante, sa longueur n’était pas en proportion. Trapue plutôt. Je ne m’étais pas souvenu de ce désagrément. Quoique je doive dire que ma moule doit plus ressembler aujourd’hui à une bouche de métro qu’à un trou du cul serré de jeunette effarouchée, tellement elle s’est faite défoncée à maintes et maintes reprises. Alors c’était ma chatte qui peut être est devenue un peu trop gourmande… enfin, ce n’était pas comme dans mes souvenirs. Pourtant, j’en voulais de sa queue !

    - Oh oui baise-moi fort ! Plus fort. Démonte-moi la chatte, elle a besoin de jouir.

    André redoublait tellement d’efforts pour me contenter qu’il était en nage. Je sentais sa transpiration dégouliner sur la peau de mon cou qu’il embrassait voracement.

    Mais cette position ne m’était pas suffisamment satisfaisante. Il ne me transperçait pas profondément comme j’en avais envie. Alors je me suis retournée, me suis assise sur le bureau et j’ai écarté les cuisses comme une pute prête à se faire embrocher. Sa queue est revenue taper dans ma moule, c’était mieux, je la sentais davantage me remplir, plus en profondeur. L’orgasme montait, ça bouillonnait en moi. Alors je me suis branlée un peu le clito pour accélérer la montée du plaisir. il fallait vraiment que je jouisse, j'en avais trop besoin.

    A nouveau, André pelotait mes seins, les pétrissait nerveusement, agaçait mes tétons tout érigés. A chaque fois qu’il me donnait un grand coup de rein, il ne pouvait s’empêcher d’émettre un râle d’effort. J'étais au point culminant du plaisir, j'ai accéléré ma petite branlette et j’ai joui en grognant presque. J’ai eu un bel orgasme mais sans apothéose. André se déchainait encore sur ma chatte et il a finalement joui lui aussi, en sueur. Il avait les traits tirés maintenant. Et oui, faut être à la hauteur avec moi!lol

    Il était bon pour aller enfiler une autre chemise.Ouais je me dis qu’au final c’est peut être son âge qui lui joue des tours. A 52 ans on ne peut sans doute plus bander comme un minet de 20 ans. Et puis habituée depuis quelques temps à mon petit Jérémie qui se donne à fond pour me contenter, la comparaison est presque trop facile. J’ai senti André en plein effort, essoufflée et je me suis dit qu’il ne fait pas bon vieillir. Ou il s'agit d'un coup de fatigue passager, je ne sais pas.J’ai quand même pris mon pied. Y a pas à se plaindre non plus Un bon orgasme et ça repart ;)

    En tout cas, cela ne m’empêchera pas de recommencer avec lui si c’est bon pour ma carrière, je vous le garantis. Salope va !!! 

    Je ne lui ai bien sûr rien dit de ma légère déception et je suis redescendue dans mon humble bureau vaquer à mes occupations. Jusqu’à la prochaine fois…

    Bonne bourre ;)

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par inconue :
Ton histoire m'a vraiment excité, j'ai beaucoup mouillé comme une chienne et j'en est profité pour me faire du bien
Posté le par Anonyme :
j'ai mouillé comme une chienne ! je vais me mettre 1 ou 2 doigts !
Posté le par djoe :
je me suis branlé imaginant ma bite de 23cm te piner comme une chodasse
Posté le par salope :
J'ai mouillé comme une salope
Posté le par steph17 :
J ai mouillé comme une ptite chienne
Posté le par cochon17 :
Belle ambiance à ton travail ,les journées passent plus vite ,dans toutes les boites il y a heureusement une cochonne qu'il faut trouver car elle sont souvent très discrète
Posté le par salopejulia :
J'Ai mouillée comme une petite cochonne!!!!
Posté le par Une cochonne :
Putain j'ai mouillée comme une grosse pute
Posté le par atticedtosex :
J'ai mouillé tout au long de ton histoire petite Salope. je vais allé me faire jouir comme il se doit.
Posté le par opac :
Hmmm j'aimerais bien travailler dans ton bureau ... :$
Posté le par Anonyme :
bjr pascale,

et bien tu es une vraie cochonne, dommage que tu sois pas dans ma boite lol.. mais tu dois envoyer du lourd.
Posté le par Tom :
Une belle chienne hummm
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Pascale

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