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Recit X : Docile et extrêmement passif

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit X : Docile et extrêmement passif

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Docile et extrêmement passif

    Je vais droit au but, chers amis !! :

    J’écrasais son corps juvénile, lui donnant des coups de queue pour le faire venir :

    - Vas-y, décharge, sale pute, donne-moi tout !

    Ma bite et ces paroles vicieuses ont suffi à le faire partir. Il a crié et j'ai arrosé le fond de son cul de puissantes giclées de sperme. En souillant de tout mon bon foutre ce mec puceau de dix-neuf ans, j'ai ressenti un vrai bonheur. Le jeunot s'était aussi vidé, donnant ses rasades de foutre dans des sursauts qui faisaient onduler sa croupe. Ma queue n'avait pas encore débandé et j'ai utilisé mon reste de raideur pour lui donner de la joie, faisant agréablement glisser mon pieu brûlant dans son trou.

    Mon puceau dépucelé gémissait de bonheur. Il n'avait pas encore son compte. L'avantage des jeunes tempéraments, c'est qu'ils récupèrent vite. Quand je me suis retiré de son cul, j'ai écarté les jambes pour qu'il vienne me sucer la bite. Il a palpé ma queue grosse et vigoureuse. Il m'a branlé mais j'ai dit :

    - Suce !

    Il s'est mis à l'œuvre. Il m'a sucé avec douceur, comme s'il craignait de me faire mal. Au début, je sentais à peine sa langue sur mon gland tellement il se montrait délicat. Trop délicat ! En plus, il ne faisait rien à ma hampe, ce petit puceau ! J'ai été obligé de la prendre en main et de faire coulisser la peau pour m'exciter. Je lui ai dit :

    - Je suis pas en sucre ! Pompe ma bite ! Bouffe !!

    Il a compris le message car il s'est mis aussitôt, du mieux qu'il pouvait, à me la pomper, à me l'aspirer entre ses lèvres, sur mes indications.

    - Oui, mon salaud... Bouffe-moi bien la queue ! Avale la bonne queue de ton maitre !

    Il s'est littéralement déchaîné sur ma bite en frottant ses joues, son nez, tout son visage, sur ma queue, puis en l'avalant jusqu'aux amygdales. J'étais allongé sur le dos et il était au-dessus de moi. Je l'ai fait mettre tête-bêche. Il a suivi mes directives. Il était docile et extrêmement passif, comme j'aime.

    Installé tête-bêche avec moi, il aspirait ma pine dans sa bouche et m'offrait en même temps son cul et son appareil génital. Ses couilles pendaient au-dessus de ma figure et sa petite bite turgescente de chien se dressait à l'horizontale. Pas mal, le spectacle !!

    J'ai tiré un peu sur ses couilles pour les descendre jusqu'à ma bouche et les mordre. J'ai aimé le sentir subitement sursauter et crier.

    - Continue de me sucer ou je te les arrache avec les dents !

    Peu rassuré, il s'est remis à l'œuvre. Moi, je jouais pendant ce temps avec sa bite : je m'amusais à tirer sur sa peau, à décalotter son petit gland rouge et gonflé jusqu'à lui causer une douleur insupportable.

    - Je suis sûr qu'un puceau en chaleur comme toi, ça doit beaucoup se branler...

    Il n'a pas répondu. J'ai écrasé ses couilles dans le creux de ma main, et en tirant.

    - Réponds : c'est vrai que tu te branles sans arrêt?

    - Aïe... oui... c'est vrai...

    - Oui qui? Souviens-toi ce que je t'ai dit.

    - Oui... maître.

    - Et qu'est ce qui est vrai? ai- je insisté en lui écrabouillant encore un peu plus les couilles.

    - Aïe... oui, maître... c'est vrai que je me branle beaucoup !

    - Très bien. Alors maintenant, chien, assez parlé : bouffe ma queue, prends-la entièrement dans ta petite bouche. Je veux sentir ton nez sur mes couilles !

    Il a obéi. Pendant qu'il bouffait ma pine, ma main a progressivement quitté sa bite et, passant sur ses couilles, s'est promenée sur ses fesses. La croupe de ce petit mec était une vraie merveille de la nature. Un cul rond, doux et lisse. Ferme mais pas trop...

    Pendant quelques minutes, je me suis contenté de pétrir les deux globes, de caresser ces fesses si douces. Il n'avait pas un poil sur le cul, ce que, personnellement, je préfère. J'ai commencé à m'aventurer vers sa raie culière : aucun poil disgracieux là non plus. J'ai écarté ses fesses, admiré sa rosette. J'ai touché les petits plis roses du bout du doigt. Le garçon s'est mis à gémir d'une toute petite voix. Le manque de virilité de ce garçon ne me rebutait pas du tout, au contraire. Il me plaisait d'entrer dans un rôle de dominateur avec lui.

    Progressivement, j'ai enfoncé mon doigt dans son trou. Il a gémi de plus belle en tortillant son derrière sur mon doigt, cambré comme une chienne prête à se faire saillir.

    - Bien, mon petit cochon... Je vais te défoncer comme une chienne !

    À ces mots, j'ai enfonce mon doigt assez profondément dans son trou et il a poussé un "ahhh... " qui témoignait d'une jouissance intense. Il a relâché un instant sa ferveur dans le pompage de ma bite et je l'ai rappelé à l'ordre :

    - Pompe-moi bien, chien ! Je veux que tu me fasses gicler dans ta gorge !

    Je m'imaginais déjà en train de le posséder avec ma grosse queue et l'entendre gémir de sa petite voix touchante... Pendant que le garçon me pompait la colonne, l'enfonçait loin dans sa gorge, je lui caressais la rondelle. J'ai badigeonné l'entrée de son anus avec de la bave. La rosette se distendait tellement que j'ai introduit un grand nombre de mes gros doigts à l'intérieur, à la grande joie du garçon qui poussait de petits gémissements de bonheur. J'ai manœuvré mes doigts dans son derrière jusqu'à ce qu'il ait des sensations fortes lui venant du fondement. Alors, je lui ai plaqué sa jolie petite gueule contre mes couilles, toute ma queue disparaissant dans sa bouche, tout en lui commandant :

    - Fais-moi juter !

    Cette vulgarité, cette domination, surexcitaient mon petit mec qui s'excitait sur ma bite, essayant de me donner du plaisir avec sa maladresse juvénile. Mais je ne voulais pas juter dans sa gueule. Je lui ai arraché sa jouissance en allant fourrer ma colonne bien dure au fond de son cul élargi par mes doigts. Comme je ne suis pas égoïste, je voulais l'aider à trouver son plaisir. Un seul impératif : ne pas toucher à sa bite. Je savais qu'un simple effleurement sur celle-ci aurait déclenché une cascade de sperme.

    Mon pistonnage est passé à la vitesse supérieure. Je lui limais le fondement à un rythme effréné. Le gamin s'est cabré :

    - Ahhh, ça vient... ça vient ! Je jouiiiiis...

    - Ta gueule ! Que j'te crache mon foutre !

    J'ai écrasé sa jolie petite gueule par terre, noyant son cul dans le foutre. Un garçon soumis de plus à mettre à mon palmarès... Afin qu'il ne se permette pas de familiarités excessives avec moi, j'ai écourté notre entrevue :

    - Tire-toi.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par maxou :
J aimerais recevoir des ordres comme sa je bande enormement a la lecture de ton histoire
Posté le par tony :
Cela t'intéresse de recommencer?
Posté le par tony :
Cela t'intéresse de recommencer?
Posté le par Mamat :
Hum je bande
Posté le par tony :
Mmmh
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