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Histoire de sexe : Elle baise avec son gynéco

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    Histoire de sexe : Elle baise avec son gynéco

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonsoir à vous lecteurs.
    L’histoire qu’il m’est arrivée est insolite. Je vous ai jusque-là raconté mes plans baise avec mon mari. J’aime le sexe et même si mon mari me satisfait totalement, j’ai aussi besoin de toucher d’autres corps, d’autres peaux, connaitre des sensations nouvelles. Besoin de nouveaux phallus à gouter ou qui me pénètrent pour découvrir toujours plus de sensations. Mais c’est vrai que depuis 6 mois je suis plutôt sage. Ben mince alors, qu’est-ce qu’il m’arrive ??? Je pense que c’est parce que je choisis mes amants avec application en principe et plutôt des hommes mariés pour éviter tous malentendus par la suite. Et la bonne occasion ne s'est pas présentée depuis quelques temps...
    Mais alors là, je n’aurais jamais pensé que cela puisse dégénérer avec mon… gynéco !

    Pour vous expliquer le contexte, chaque année (comme toutes les femmes sérieuses) je me rends chez mon gynéco pour mon suivi annuel. J’ai un gynéco très cool et j’aime beaucoup sa façon de rassurer ses patientes. Physiquement c’est un bel homme, beaucoup de charme et un brin séducteur. D’origine indienne me semble-t-il, 45 ans environ, il a pris depuis quelques temps un peu de poids, mais j’avoue que cela lui va plutôt bien. Les cheveux très noirs, un teint très mat, un léger accent que je ne suis jamais arrivée à définir mais une voix très sensuelle. Il parle toujours très calmement, articulant tous les mots très lentement comme s’il les pesait avant de les prononcer. Avec moi il a toujours été très gentleman, ce qui ne nous empêche pas de se taquiner à chaque fois que je viens en consultation. Un petit jeu de séduction, pas de quoi se formaliser, c’est peut être aussi sa façon de mettre à l’aise ses patientes.

    Pour nous les femmes, ce n’est pas de gaieté de cœur que l’on va consulter mais bon, nous sommes bien obligées d’en passer par là. Nue, les pieds dans les étriers, ce n’est pas une des positions les plus confortables et des doigts qui s’immiscent dans notre intimité sans préambule, ce n’est quand même pas très agréable. Pourtant, je n’ai aucun complexe avec lui et m’exposer nue devant mon médecin ne m’embarrasse absolument pas. Au contraire j’ai tendance à m’exhiber malgré moi, histoire de le titiller un peu à chaque visite…

    Cela fait 5 ans à peu près qu’il me suit et à plusieurs reprises, j’avais senti que le regard qu’il portait sur moi n’était pas toujours que professionnel. J’avais pu déjà le surprendre en train de me regarder avec envie et détaillant mon corps avec une petite étincelle de désir dans le regard. Des mains un peu trop baladeuses sur mes seins, des doigts qui s’attardent un peu trop dans mon petit minou. Mais la situation me paraissait tellement improbable que je pensais à chaque fois que c’est moi qui me faisais des films. Pourtant j’ai quand même de l’expérience en la matière, mais me taper mon gynéco c’était un peu comme vouloir me taper le curé de la paroisse, aussi séduisant soit il.

    On discute un peu et comme à l’ordinaire, il m’indique que je peux aller me déshabiller dans le petit vestiaire attenant à la salle d’auscultation. Je ne vois pas l’utilité de fermer la porte de séparation et je surprends tout à coup son regard posé sur moi. Il détourne les yeux, un peu gêné, j’en fais de même. Mais à cet instant, je me sens toute chose. J’ai lu à nouveau de la convoitise et du désir dans ses yeux et cela me trouble particulièrement. Je sens des bouffées de chaleur envahir tout mon corps. Je suis flattée de ce regard porté sur mon corps car il en voit défiler des femmes et je me dis que peut-être j’avais raison, il aurait un petit faible pour moi.

    Je m’installe sur la table, pose machinalement les pieds dans les étriers et attends. Il commence toujours par la palpation des seins. Mais je réalise tout d’un coup qu’il n’a pas mis de gants, chose qu’il faisait pourtant à chaque fois. Il commence à me palper les seins mais ce n’est pas comme d’habitude. Déjà le fait qu’il n’est pas mis de gants fait que je ressens la chaleur et la douceur de la paume de ses mains sur mes seins. C’est exquis. Et les gestes deviennent beaucoup plus intrusifs, plus appuyés, plus sensuels. Il frôle mes tétons qui se dressent très rapidement. Mes seins sont très sensibles au toucher. Un gémissement s’échappe de ma bouche entrouverte. Il les pétrit avec beaucoup de sensualité et de douceur. J’en ferme les yeux et mon corps commence à s’abandonner à ses mains expertes. Je sens son regard sur moi et je rougis mais je n’ose pas ouvrir les yeux. Je savoure ses sensations sans bouger, essayant au maximum de ne pas montrer le trouble que ses mains me procurent.

    Mais mon corps très réceptif et les soupirs que je pousse ne le trompe pas. Il doit sentir que le désir envahit mon corps et il se décide à descendre enfin sur mon sexe glabre tout lisse, impatient de se faire caresser. Je sens deux doigts me pénétrer avec douceur et je suis surprise que contrairement aux autres fois où j’ai tendance à me crisper, ses doigts glissent extrêmement facilement dans ma fente. Je me rends compte que c’est parce que je mouille et le rose me monte à nouveau aux joues. Je ferme toujours les yeux. Je ne veux pas le regarder. Pourtant je ne suis pas du style mijaurée, vous vous en doutez bien mais là je ne sais pas trop comment réagir. Ses doigts s’enfoncent et ressortent agréablement de ma fente toute brûlante. Je pousse des soupirs étouffés. Je ne peux pas les contrôler. Il voit bien qu’il est en train de me donner du plaisir. Un de ses doigts va explorer mon bouton d’amour et là je comprends que ce n’est plus une auscultation. Il veut me faire jouir !

    Je ne sais pas quoi faire ! Partir ? Je le voudrais bien mais mon corps ne me répond plus. Il a déclenché un vrai brasier en moi. Et il continue et cela devient insupportable pour moi tant le désir monte crescendo. Je ne me rends même pas compte que je cambre mes reins pour accompagner ses doigts malicieux qui me baisent langoureusement. Mon clitoris est gonflé, il s’en rend compte. En ouvrant légèrement les yeux, je le vois debout entre mes cuisses et mes yeux se posent instinctivement sur la bosse dans son pantalon. Il est en érection. Cela m’excite profondément et je ne peux retenir un soupir de plaisir. Mes fesses ondulent au rythme de ses doigts. Puis je le sens changer de position et c’est sa langue mouillée qui se risque maintenant à affoler mon sexe en ébullition. Il lape mon bouton d’amour, le tète avidement comme un petit chiot affamé. Je n’en peux plus ! Je gémis ! Sa langue s’insinue maintenant dans ma fente toute humide et offerte. Ça en est trop pour moi. Dans un geste instinctif, toujours les yeux fermés, je prends sa tête entre mes mains pour l’écraser contre mon sexe en chaleur. Sa langue se fait plus vorace, plus pénétrante. Je gémis de plus en plus fort. Je sors un pied de l’étrier et je commence à caresser son sexe à travers son pantalon, du bout de mes orteils. Il grogne de plaisir. Je sens son sexe turgescent qui ne demande qu’à être emprisonné dans mon sexe trempé par ma mouille et sa salive.

    Dans un souffle j’ose lui dire :
    « - Prenez-moi Docteur. Je n’en peux plus. »

    Alors il a déboutonné son pantalon en relevant sa blouse blanche et il a planté son pénis gonflé dans mon vagin de façon exquise. Mon pied avait repris sa place dans l’étrier, les fesses en bord de la table, il pouvait entrer très profondément dans cette chatte embrasée et dégoulinante. J’ouvrais maintenant les yeux et je voyais cet homme, mon Docteur, en train d’aller et venir violemment en moi. Il avait un regard fiévreux dû à l’extrême excitation qui le submergeait. Cet homme, mon docteur, avait réveillé tous mes sens grâce à l’habilité de ses doigts et avait mis le feu à tout mon corps. Je me consumais littéralement, prête à jouir d’un instant à l’autre. Je le voyais entrer et sortir en moi, bombant le torse comme le ferait un gorille en chaleur prenant sa femelle. Cette attitude de mâle dominant me surexcitait. J’avais envie de le toucher, le caresser, le mordre mais je n’osais pas. Je devenais chienne sous ses coups de butoir. Nos respirations se sont rapidement accélérées. J’ai joui de façon explosive. Quand mon volcan a libéré ses suaves liqueurs, je n’ai pu m’empêcher de crier. Il m’a rejoint rapidement et s’est fini sur mon pubis. Il a sorti de ma fente son dard près à exploser et s’est soulagé en se branlant sur mon bas ventre. Son jus abondant s’est répandu par saccades sur mon corps pantelant. Nous étions assouvis et vidés tous les deux.

    Nous avons finalement repris nos esprits et je me suis essuyée le bas ventre tandis qu’il remettait ses vêtements en ordre.
    Dans un baffouillement à peine audible il m’a dit :
    « -Je vais procéder au frottis »

    Nous n’avons plus dit un mot durant tout le reste de la consultation, gênés comme pas possible. L’excitation étant redescendue, nous ne savions plus quoi dire. Un moment de folie passagère avait fait s’unir nos deux corps délirant d’excitation, dans un contexte surréaliste. Je suis sortie de son cabinet, un sourire un peu béat aux lèvres, ayant encore du mal à réaliser ce qui venait de se passer. Et puis j’ai pensé :

    « - Est ce que je vais pouvoir le garder comme gynéco ? »
    Dans ma tête un peu confuse c’était « oui mais non » !

    J’aviserai le moment venu…

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par chatoune :
J'ai pris beaucoup de plaisir grâce à ton histoire. La situation est très très excitante.. Je dois avouer que mes doigts se sont perdus dans ma culotte pendant ma lecture ;)
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Miliane

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