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Recit de cul : Elle est vièrge et elle fait une fellation pendant le réveillon

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    Recit de cul : Elle est vièrge et elle fait une fellation pendant le réveillon

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous.

    Vous devez trouver mon pseudo un peu bizarre mais c’est qu’en écrivant, je ne sais pas si j’irai jusqu’au bout de mon témoignage et surtout si je trouverai le courage de le poster. Encore faut-il qu’il soit accepté par l’équipe…

    J’ai vu que beaucoup se présente physiquement alors je vais le faire aussi. Je m’appelle Léa, j’ai 18 ans et je suis lycéenne. Je suis châtain, les cheveux longs, les yeux verts. Je mesure 1m60 pour 50 kilos. J’ai un corps assez fin mais musclé délicatement car je fais du ski et surtout du patinage artistique depuis mes 7 ans. Pas étonnant, j’habite dans les Alpes.

    Je suis issue d’une famille bourgeoise et je suis en école privée. J’ai des parents psychorigides qui n’admettent aucune infraction aux règles de bienséance. J’ai fait tout mon caté et mes parents sont pratiquants. J’ai 4 frères et sœurs dont deux plus petits que moi. J’en ai marre de vivre dans une famille d’un autre temps et même internet c’est grâce à des copines qui ont des parents plus cools ou à la médiathèque que j’ai pu apprendre à surfer plus jeune.
    Me rebeller contre mes parents ? Impossible, ça doit marcher droit et souvent j’envie mes amies qui peuvent sortir tard le soir en weekend alors que moi je me tape les repas de famille avec la prière, un peu de télé quand même et beaucoup de lecture.
    Coté fringue, ce n’est pas mieux, faut pas que le genou apparaisse, surtout pas de décolleté même si je n’ai pas trop de poitrine sinon cela ne fait pas fille de bonne famille.

    Heureusement au bahut, ce n’est quand même pas l’uniforme donc de plus en plus souvent, des copines me prêtent de fringues pour paraître un plus dans le coup. Avec mon argent de poche (heureusement il n’en contrôle quand même pas l’usage) je m’achète aussi des trucs que je cache au fond de mon placard. Donc vous voyez, c’est vraiment galère pour être une fille dans mon temps avec des parents pareils. Parfois je les déteste vraiment. Et pas question, vous vous en doutez bien de ramener un mec à la maison. Celui qui passera la porte devra être celui qui m’épousera et je dois rester vierge jusqu’au mariage! Sinon Sacrilège ! Avec ce carcan éducatif, je suis obligée d’être une fille sage. J’ai eu quelques flirts mais juste des baisers, jamais plus loin. Vous imaginez à 18 ans ???
    Pourtant je peux vous dire que cela me démange et j’en ai honte parfois. J’ai découvert la masturbation grâce à une copine plus délurée, et je m’y adonne régulièrement le soir dans ma chambre mais avec toujours beaucoup de culpabilité. Comment se procurer du plaisir peut être quelque chose de répugnant et d’indigne? Surtout que de la sexualité, on en voit partout, à la télé, dans les magazines, sur le net. Et franchement en lisant quelques-uns de vos témoignages, j’ai de plus en plus envie de franchir le pas. Et au diable mes parents !

    Pourtant, et c’est à mettre dans les annales, mes parents ont quand même accepté que je sorte pour le 31. Je peux vous dire que les négociations furent dures. Appel des parents du mec qui organisait la soirée, ne pas boire, pas se droguer et tout le tralala habituel. J’ai dit Amen à tout pour pouvoir y aller et j’ai même obtenu la permission de dormir chez Sandra, ma meilleure amie en qui ils ont entièrement confiance et qui habite pas très loin du domicile de l’organisateur. S’ils savaient… Sandra c’est une fille libérée et elle n’est plus vierge contrairement à moi.

    15 jours avant, j’étais excitée comme une puce. Il me tardait tant d’y être. Avec Sandra, on tirait des plans sur la comète, les garçons qui y seraient.

    Sandra me prêtait pour l’occasion une jolie robe bustier en satin bleu nuit, assez courte mais pas trop pour que je ne sois pas trop mal à l’aise et des escarpins à talons mais pas trop haut car je n’ai pas l’habitude de marcher avec ça. Moi j’avais sorti en cachette de chez moi des collants et du maquillage achetés la veille avec Sandra. Ses parents étaient de sortie ce soir-là, donc nous avons eu tout le loisir de nous préparer. Sandra m’a maquillée, cela m’a fait tout bizarre, moi qui ne le fais jamais. Je faisais vraiment femme et j’ai adoré me voir comme ça dans le miroir. Mes parents, eux, m’auraient tué sur place!

    La soirée se passait dans un grand appartement bourgeois et quand nous sommes arrivées il y avait déjà pas mal de monde et d’ambiance. C’était un copain de classe qui faisait le DJ, le séjour était enfumé et l’alcool coulait à flots. Si mes parents avaient vu !!! J’étais quand même un peu intimidée et pour me décoincer, Sandra est allée nous chercher un verre. Elle était bien plus à l’aise que moi. Je ne sais pas ce qu’elle m’a donné à boire, mais c’était trop bon et cela m’a donné un peu plus d’assurance. J’avoue que les jeunes de mon lycée présents me regardaient tout à fait différemment. Ils avaient sans doute un peu de mal à se dire que c’était moi, la Léa coincée toujours en jeans et en pull, pas très coquette. Mais il y avait plein de têtes inconnues aussi. Sans doute venus d’autres lycées ou même de fac, car certains semblait avoir la vingtaine. Je jubilais d’être dans un pareil endroit, alors que mes parents imaginaient sans doute une soirée plus pépère.

    Dans l’euphorie du premier verre, moi qui ne bois jamais, j’en ai demandé un deuxième à Sandra.

    « - Hé, tu y vas mollo, t’as pas l’habitude hein ? Le but c’est pas de te déchirer la tête !
    « - Non, non juste un pour qu’on aille danser. »

    Elle a abdiqué et je me suis enfilée le deuxième aussi vite que le premier. Puis nous sommes partie sur la piste pour se déhancher. Avec ma pratique du patinage artistique, j’ai quelques talents d’acquis et j’ondulais très gracieusement au rythme de la musique. J’adore danser mais j’ai si peu l’occasion. Je le fais souvent dans ma chambre et là je commençais à me déchaîner. L’alcool me montait un peu à la tête et j’avais chaud. Je voyais bien que certains garçons me mataient avec insistance et je les sentais parler de moi en me regardant. J’étais venue pour m’amuser et danser mais sentir du désir dans leur regard, c’était tout nouveau pour moi et j’en frémissais d’excitation.
    Je sentais du désir montait en moi, comme quand je commence à me caresser toute seule dans ma chambre, et la sensation était euphorisante. Alors je me suis encore plus déchainée sur la piste. Sandra s’était faite accaparée par un mec et je me retrouvais à danser seule parmi tous les autres mais l’alcool aidant, je m’en fouttais.

    Et puis le DJ a commencé à mettre des rythmes latino très sensuels. Je continuais de danser, fermant les yeux, me déhanchant lascivement comme je n’aurais jamais pensé le faire. Je profitais juste de la musique et de l’effet de l’alcool qui me grisait.

    Quand le DJ a mis la « Lambada », un vieux tube de l’époque de mes parents mais que tout le monde connait je pense, un garçon m’a prise par la taille. J’ai ouvert les yeux et j’avais un parfait inconnu devant moi. Il était grand, devait bien faire 1m80, plus âgé que moi, 20 ans peut-être et surtout je l’ai trouvé super mignon. Alors je lui ai souri et je me suis laissée entrainer dans la danse. Sa jambe placée entre les miennes frottait contre mon pubis au rythme de la musique et une douce chaleur m’a submergée. J’étais subjuguée de sentir le corps tout chaud de ce garçon contre le mien. C’était bien la première fois que j’étais collée à un mec d’aussi près. Mon cœur battait l à tout rompre. On a dansé toutes les danses, ne pouvant pas vraiment se parler dans le brouhaha ambiant.

    Quand ils ont mis du rap, nous avons arrêté de danser car ce n’est pas le genre de musique que j’aime. Mais j’ai pensé qu’il allait m’inviter à prendre un verre pour discuter un peu à l’écart. Mais le malotru, il m’a laissée en plan et il est retourné vers ses copains. Moi je suis revenue près du bar. J’étais déçue et contrariée.
    D’autres garçons ont alors tenté une approche mais j’étais tellement dépitée que je les ai envoyé bouler. Un mec trop canon m’avait abordé et finalement il m’avait laissé en plan.
    En désespoir de cause je me suis servie un autre verre, j’avais quand même eu le temps d’évacuer les verres précédents sur la piste et l’euphorie était un peu retombée. Sandra est revenue me rejoindre pour me dire qu’elle sortait avec Thibaut, le mec qui l’avait rapidement accaparé. C’était un première année de fac et j’avoue que je l’ai enviée à ce moment-là. J’aurais aimé être à sa place ! Avoir un mec quoi !

    Quand la série de rap a été fini, j’ai pu repartir sur la piste pour me déhancher à nouveau et surtout pour me dégriser un peu du dernier verre avalé. Et c’est là que Vincent est revenu danser avec moi. J’aurais dû lui en vouloir de m’avoir laissé tomber mais j’avoue que son sourire m’a ôté toute colère alors on a commencé à faire les fous sur la piste. Jusqu’à ce que, sans que je m’y attende, il m’a attiré à lui et m’a roulé une méga pelle. Waouhhhhh j’ai fondu littéralement et à nouveau j’ai senti mon bas-ventre s’enflammer. Je me sentais «Vivante». Après ce long baiser que j’aurais voulu sans fin il m’a dit :

    « - Viens, suis-moi ! »

    Il m’a prise par la main, je ne savais pas où il voulait aller. Il m’a emmené dans la salle de bain et a refermé la porte à clef derrière lui. J’avoue que je me suis sentie mal à l’aise de ce geste. Il a dû le comprendre car, pour me rassurer, il m’a dit que c’était juste pour avoir un petit moment seul tous les deux.

    Alors il m’a à nouveau embrassé mais avec beaucoup d’avidité cette fois. J’étais surprise d’une telle pulsion mais excitée à la fois. Nos langues s’emmêlaient, s’exploraient et j’étais moite de désir. Rapidement il est descendu sur mon cou qu’il mangeait goulument, il a gobé le lobe de mon oreille. Je ne savais plus où j’en étais.
    Ses mains me tripotaient les fesses fermement, sa bouche est descendue sur le léger renflement de mes seins qui apparaissait au-dessus du bustier et j’ai senti mes tétons se dressaient de plaisir. Ses mais ont alors fait jaillir mes petits seins de leur corsage et il s’est mis à les malaxer, les embrasser. Il suçait mes tétons voracement. Je le sentais très excité. Puis ses mains ont remonté ma robe. Il s’est collé à moi et j’ai senti son pénis tout dur. Nous étions tellement serrés l’un contre l’autre que sa bosse me faisait presque mal. C’était bon mais effrayant.

    Il fallait que j’arrête tout avant que cela n’aille trop loin. Mais je ne pouvais m’empêcher de gémir, de frémir sous ses caresses. Il a alors passé sa main dans mon collant et il a commencé à titiller mon bouton de rose. J’ai repensé aux soirs où je me masturbais et je me suis dit « ça ce n’est pas bien grave c’est juste un autre qui me caresse et pas moi »
    Émotionnellement je n’en pouvais plus, mon cœur battait la chamade, c’était tellement bon. Puis il a défait son pantalon et a sorti son pénis en érection. Mon Dieu, je n’avais jamais vu de pénis en réalité, si ce n’est une ou deux fois chez Sandra où elle m’avait montré des extraits de films pornos.
    J’avais envie de la prendre dans mes mains, une tentation irrépressible mais je repensais à mes parents et à leur « pas de sexe avant le mariage ».
    A pour ça ils m’ont fait un bourrage de cerveau. Mais la tentation était trop grande. Et puis Vincent tout gentiment m’a dit :

    « - Tu n’as pas envie de me sucer un peu ? »

    Ces mots étaient obscènes pour une fille un peu coincée comme moi mais c’est aussi cela qui a provoqué un déclic en moi et je me suis agenouillée.

    J’ai pris timidement son sexe dans mes mains et j’ai commencé à le masturber doucement. Il était en appui contre le lavabo et mon visage était au plus près de ce sexe gonflé. Mais je n’osais pas le prendre dans ma bouche. Je ne savais pas quel effet cela me procurerait. Alors encore une fois il m’a aidé.

    « - Voilà ! Branle-moi doucement comment ça mais lèche-moi un peu le bout en même temps. »

    Alors j’ai commencé à laper délicatement ce gland enflé mais tout doucement comme si j’avais peur de lui faire mal.

    « - On dirait que tu n’as pas trop l’habitude. Ne te retiens pas, lèche-moi bien, appuie fort avec ta langue ! »

    Je l’entendais gémir, il émettait des « oh oui, comme ça, c’est bon, continue » et moi je me sentais toute humide.

    « - Allez, avale-la, suce-moi maintenant! »

    Alors j’ai repensé aux films pornos et j’ai enfourné son pénis comme font les filles de films X. J’enfonçais son sexe le plus loin que je pouvais dans ma bouche et je le ressortais pour mieux le gober à nouveau. En même temps ma langue léchait son engin. J’avais enfin un sexe dans ma bouche et la sensation était envoutante, jouissive.

    Il m’a alors attrapé par les cheveux pour accélérer le rythme. Il entrait et sortait de ma bouche de plus en plus fort. Et moi je me sentais mouiller mais si vous saviez à quel point je mouillais ! Ma culotte devait être toute trempée.

    En même temps que je le « suçais » je m’imaginais en spectatrice. Comme si j’étais au-dessus de moi et que je me voyais, les seins à l’air, accroupie, la robe relevée, les jambes écartées de façon obscène, en train de « sucer » ce mec qui donnait des coups de reins de plus en plus brutaux dans ma bouche.
    Et puis brutalement, dans un long râle, il a éjaculé en moi. J’avais tout ce sperme dans la bouche et je ne savais pas quoi en faire. Alors je n’ai pas réfléchi, et j’ai avalé.
    La substance gluante a coulé lentement au fond de ma gorge et j’avoue honteusement que j’ai adoré ça.

    Je pense que ce soir-là l’alcool m’a désinhibée, mais attention je n’étais pas bourrée et Vincent n’a pas profité de la situation. L’alcool m’a juste aidé à assouvir un peu de ce besoin de sexe que j’ai en moi depuis si longtemps. Le seul truc c’est que j’espère que Vincent n’ira pas s’en vanter auprès de ses copains car là je vous dis pas la honte pour moi et la réputation que cela me ferait.
    Je ne sais pas si j’attendrais le mariage (comme le veulent mes parents) pour franchir le pas suivant car malgré leurs avertissements , j’ai pris beaucoup de plaisir à cette fellation.
    En tout cas, si mes parents apprennent ça, je serais bonne pour le couvent je crois !lol
    Voilà, si vous voyez mon histoire publiée, ce sera que j’aurai osé l’envoyer et je pense que ça va être le cas car je vais appuyer sur "envoyer"…
    PS : j'ai la chatte toute mouillée, oups je deviens presque vulgaire :(

tel rose voyeur

Cette histoire de cul t'a excité ?

Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !

Pour cela, compose le
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et fais-toi plaisir ;)
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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Flo :
Évitez les fautes d'orthographes dans vos commentaires ! Incultes...
Les mœurs changent, tu n'as pas à te sentir mal à l'aise dans les choix de vie que tu feras. Mieux vaut avoir des regrets que des remords.
Posté le par jo62300 :
J'aimerais bien être le premier qui te fera découvrir les joies du s'exerce...
Posté le par keke :
Je men branle dessus ^^
Posté le par jess123 :
On est une salope ou on l'est pas ses pas nos parents qui vont changer ça
Posté le par Anonyme :
Très excitant. Pas étonnant que ta chatte soit mouillée, je bande et me caresse à ta lecture !
Posté le par jojo :
Tu n'as que 1 vie =) alors fonce ! le sexe ne te fermera pas les portes du paradis ou alors ces que sa n'en vaut vraiment pas la peine!
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