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Histoire X : Elle mate une copine baiser

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    Histoire X : Elle mate une copine baiser

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou tout le monde,

    Et oui c’est Léa qui revient vers vous. Souvenez-vous, j’ai 18 ans, je sors d’une famille bourge et catholique à fond avec des parents qui ne me laissent vraiment pas beaucoup de liberté. Plutôt discrète et effacée, mes rapports avec les garçons sont plutôt compliqués, je dirais. Comment voulez-vous plaire à un mec quand vous ne pouvez pas vous habillés à la mode, que vous ne pouvez pas vous maquiller car « ce n’est moralement pas correct » dixit mes chers parents !!!

    Alors voilà, à trop vouloir serrer la vis et bien pour le 31, je me suis lâchée ! Si vous vous souvenez j’ai fait une chose affreuse lol: j’ai fait ma première fellation à un parfait inconnu dans la salle de bain de l’hôte de la soirée. Certes j’avais un peu picolé mais j’avais aussi une sacrée envie de braver l’interdit. Vincent, le mec en question, je ne suis pas retombée dessus et quelque part ça m’arrange bien car je crois que je serais rouge de honte et je n’aurais qu’une envie, disparaître sous terre.

    Enfin donc après avoir finalement posté mon histoire, qui a été publiée et j’en remercie l’équipe d’ailleurs, cela m’a fait beaucoup de bien.
    Mais j’avais besoin d’en parler à Sandra, ma meilleure amie. Vous savez, ma cop qui elle, n’est plus vierge, et collectionne un peu les mecs, faut dire. Alors je lui ai tout confessé. Sur le coup, elle m’a quand même fait la morale car c’est clair que si l’acte n’est pas punissable en lui-même, c’est surtout ma réputation de fille coincée qui pouvait en prendre un sacré coup. Et c’est vrai que ça, cela peut faire des ravages, surtout pour une fille comme moi qui aurait beaucoup de mal à assumer. Mais aux dernières nouvelles, les mecs n’ont pas trop changé de comportement avec moi dont je me dis que Vincent a dû tenir sa langue.

    Et depuis cet aveu, j’avoue que je suis devenue très curieuse de la vie sexuelle de Sandra. Avant j’avais du mal à en parler, je suis assez pudique mais maintenant je suis demandeuse de tous les détails. Comme moi, je ne peux pas sortir comme je veux, je vis un peu par procuration les relations que Sandra a avec les garçons. Je veux qu’elle me raconte tout, ça m’émoustille trop. Comment elle suce les mecs, les positions quand ils font l’amour. Tout dans le détail oui ouiiii ! Et le soir il m’arrive de me caresser en imaginant être à sa place.

    Au départ j’étais même un peu choquée de ce qu’elle me racontait mais à la fois je buvais ses paroles. C’était trop excitant ! Sandra ça l’amuse de me raconter alors quand on dort chez l’une ou chez l’autre, je passe des heures et des heures à l’écouter, la questionner. Elle a même réussi à me faire avouer que je me masturbais en cachette. Elle vit tout ça tellement naturellement, c’est la fille bien dans sa tête et dans son corps, j’aimerais être comme elle. Moi je suis trop timorée et je crains trop le courroux de mes parents pour me rebeller et me lâcher.

    Et un soir, alors que je dormais chez elle, je la tannais tellement pour qu’elle me raconte encore et encore les détails les plus intimes de sa vie sexuelle, qu’elle me dit en rigolant :

    - Eh Léa, je t’ai déjà tout dit, maintenant faut que tu passes à l’acte !

    Je me suis refroidie d’un coup. Non pas que l’idée de faire l’amour me dérangeait, bien au contraire je l’ai imaginé tellement de fois en me caressant, mais c’est l’image de mes parents qui m’est venue à l’esprit.

    - Non, non, ça je ne peux pas ! lui ai-je dit, presque effrayée.

    Sandra me connait bien et elle a compris de suite mon sentiment de crainte et d’impuissance. Alors elle s’est radoucie. Après un petit moment de silence où je la sentais en pleine réflexion :

    - Tu sais quoi, j’ai une idée.

    J’ai levé un sourcil interrogateur.

    - Ben oui ! La prochaine fois que j’invite Manu (son copain actuel) à la maison, tu seras là et tu pourras nous regarder baiser en cachette.

    Je suis restée scotchée ! Le temps que tous les mots se mettent en place et me monte au cerveau, je suis restée hébétée. Voyant que je ne réagissais pas :

    - Ben oui, comme ça, ton dépucelage reste nickel et tu verras en vrai. Moi je m’en fous que tu me regardes baiser. Tu pourras te rincer l’œil. C’est un bon mix non ?

    J’ai rougi comme une tomate et pourtant j’avais l’impression que le sang n’irriguait plus mon cerveau. C’était un truc de ouf ! Regarder ma copine se faire baiser ? Y avait que Sandra pour imaginer un truc pareil ! Et bien vous savez quoi, après de longs pourparlers, des « je ne sais pas » un peu mous, j’ai finalement honteusement accepté sa proposition. Elle me parlait de ça si simplement, sans tabou comme si elle me parlait du dernier devoir de math. C’était vraiment un truc de malade et plus j’y pensais et plus je me disais que finalement je ne ferai rien de mal à juste les voir les regarder.

    Et c’est mercredi dernier que j’ai fait la voyeuse. Manu devait la retrouver chez elle en début d’aprèm. J’ai mangé à midi avec elle. Je ne vous dis pas comme j’étais excitée. Mais c’était trop bizarre à la fois. J’avais quand même une certaine appréhension : qu’est-ce que cela allait me faire de les voir baiser ? Et surtout je devais être discrète pour que Manu ne se doute de rien. Sandra elle était très à l’aise.
    Quand Manu a sonné à la porte, je suis vite allée me cacher dans la chambre de ses parents. On avait prévu qu’ils feraient ça dans le salon alors je n’aurais qu’à me faufiler sans un bruit derrière la porte pour les mater. La chambre étant un peu éloignée je distinguais leurs voix mais je ne comprenais pas trop ce qu’ils se disaient. Et puis au bout de 10 mn, plus rien, le silence. Je me suis un peu rapprochée dans le couloir et j’ai tendu l’oreille mais rien. J’étais debout là sans trop savoir quoi faire. Et puis j’ai commencé à entendre des gémissements sourds. C’était Sandra qui gémissait.
    D’un coup, j’ai senti mon pouls battre dans mes tempes. Ils étaient en train… J’ai réfléchi à 100 à l’heure. J’y vais, j’y vais pas. Les plaintes de Sandra qui montaient lentement me rendaient folles d'excitation. J’ai senti ma culotte devenir toute humide. Je mouillais rien qu’en l’écoutant gémir. Que faisaient-ils ? La curiosité a été plus forte et très prudemment je me suis approchée de la porte du salon que Sandra avait pris soin de laisser entrouverte. J’ai glissé un œil dans l’entrebâillement et j’ai été hypnotisée par ce que j’ai vu.

    Manu, à genou entre les cuisses de Sandra était en train de lui faire un cunnilingus. Mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai des papillons qui me sont montés dans le ventre et des bouffées de chaleurs aux visage, d’un coup.
    Sandra, les yeux fermés, caressait les cheveux de Manu en ondulant sur le canapé. Elle n’avait plus son teeshirt et ses seins bien plus gros que les miens étaient sortis de son soutif. Elle se caressait les seins à pleines mains, émettant des râles de satisfaction.

    - Oh oui Manu, bouffe-moi la chatte ! Lèche-moi bien, ohhh ouiii comme ça ! J'avais l'impression qu'elle en rajoutais pour moi.

    Elle appuyait maintenant sur sa tête d’une main pour que sa bouche, sa langue soit au plus près ou au plus profond de son sexe, je ne sais pas. De l’autre main elle malaxait toujours ses seins en frottant bien les tétons entre ses doigts. J’étais terriblement excitée. Ma foufoune s’enflammait tellement que j’ai eu comme une envie de faire pipi ou de me faire plaisir, je ne sais plus.
    J’avais une folle envie de glisser mes doigts dans ma fente toute humide, pour soulager ce désir qui s'intensifiait dans mon bas ventre. C’était trop bon de voir Sandra se tortiller et de l’entendre geindre comme ça. Ses gémissements se sont fait plus brefs, plus rapides et puis il y a eu une longue plainte, qui venait du fond de sa gorge. Elle avait dû jouir. Puis Manu s’est relevé en lui tendant sa verge toute raide.

    - Ah moi un peu. Suce-moi !

    Alors Sandra s’est assise sur le canapé, les jambes écartées et sans aucune pudeur a englouti le sexe qui s’offrait à elle. Je me voyais à sa place. Je me revoyais au 31. Je serrais mes jambes le plus possible pour compresser ce flot de désir qui montait dans mon ventre. Ma chatte s’embrasait. Ce brasier en moi, il fallait que je l’éteigne. Alors c’est presque contre ma propre volonté que j’ai glissé une main dans mon bas de survêt. Mes doigts étaient trempés. Je mouillais affreusement, mon clito était déjà trop sensible. Quelques caresses allaient suffire à me faire jouir. Sandra continuait de sucer Manu et celui-ci donnait des coups de rein brutaux et rapides pour pénétrer sa bouche le plus possible. Sandra a parlé.

    - Attend, à ce rythme-là tu vas gicler. Je veux que tu me baises.

    Elle a pris un préservatif posé sur le canapé et l’a déroulé comme une pro sur la queue bien raide. Puis elle s’est mise à genou sur le canapé, dos à Manu, les coudes en appui sur le dossier du sofa. Manu a fléchi un peu les jambes et il l’a pénétré sans ménagement. Il allait et venait maintenant et leurs râles se mêlaient. C’était tellement bon de les voir, de les entendre. Je n’avais en face de moi que les fesses de Manu, mais ses mouvements de bassin laissaient deviner qu’il labourait la chatte de Sandra frénétiquement, avec violence.

    J’étais trop excitée. Mon doigt a trop appuyé sur mon petit bourgeon, c’était trop tard, j’étais allée trop vite, j’allais jouir. Alors je n’ai pas pu faire autrement que de me branler plus vite le clito et j’ai fermé les yeux. J’ai joui en me mordant les lèvres. Quand j’ai rouvert les yeux, j’ai vu Manu taper encore plus fort dans la vulve de Sandra. Cela a duré quelques minutes, je ne sais pas. Puis il a eu un râle de satisfaction qui m’a fait comprendre qu’il avait éjaculé.

    Ils se sont effondrés sur le canapé et j’en ai vite profité pour retourner dans la chambre, honteuse. J’étais éreintée moi aussi, l’esprit embrumé par ce que je venais de voir et de faire.
    Nous avions convenu avec Sandra qu’elle devait dire à Manu que sa mère rentrait plus tôt pour qu’il ne reste pas trop longtemps chez elle. Quand elle est venue me rejoindre, nous avons parlé de tout ça mais je me suis bien gardée de lui dire que je m’étais caressée en les regardant. J’ai eu du mal à la regarder sans rougir alors qu’elle était très à l’aise. Je ne sais pas, peut-être a-t-elle compris, je ne sais pas mentir, cela se voit de suite.

    Mais Wouahhh ! Voilà. J’ai été longue quand même à tout vous raconter, non ? En tout cas moi ça m’a fait du bien.

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Cette histoire de cul t'a excité ?

Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !

Pour cela, compose le
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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Gigi :
Histoire sympa, je pense que Sandra amènera Léa a venir lui caresser la chatte,Léa aimera et se sentira
moins coupable vis à vis de ses parents.Bravo les Filles!
Posté le par caline :
Pourquoi ne pas demander à ta copine d'accepter un garçon pour toi chez elle. Tu as bien un amateur. Mais, tu aimes bien te faire plaisir, ce que tu as vu t'inspirera certainement encore plus, et puis ta copine, qui est très sympa, t'offrira bien un autre spectacle, d'autant qu'elle même a dû prendre son pied en se sachant observée.
Posté le par fatima :
j'ai aimé te lire et je te voyais dans le coin de la porte ta main au fond de ta culotte agacant ton clito qui devait etre tout tendu. bravo à ta place je crois que je serais aller les rejoindre pour un premier trio !!! bises entre tes cuisses
Posté le par Asclépios :
Rien que de t'entendre dire que tu t'es branlée en regardant ta copine baiser, j'ai glissé ma main dans mon slip et me suis caressé la queue qui était déjà toute raide.
J'aurais aimé sucé ton clito, ça m'aurait fait jouir et toi aussi, avec ma langue dessus.
Mais rien ne vaut une bonne bite dans le vagin !
Posté le par mortiis :
Franchi les étapes petit à petit, tu y trouvera ton bonheur, le seul conseil est de te débarrasser de la religion... Et de faire attention à tes parents et tes réactions pouvant te nuire fais attention a toi
biz sur ton clito
Posté le par Alexis :
Ose!tu sentiras le bonheur.Quoi qu'il en soit l'intention vaut l'acte.Tu verras le live vaut mieux que le play back.
Posté le par Beurette :
Bonne petite chaudasse ;) fait toi prendre tu verras c'est tellement bon
Posté le par pablo :
très excitante petite voyeuse je t'ai imaginée et moi aussi pris du plaisir dans tous les sens
Posté le par Franck 13 :
Mmmh je t'aurais bien bouffé ta ptite chatte trempée ;) ainsi que ta ptite rondelle toute fraîche ....je sens que tu vas connaître ça bientôt ptite avaleuse ;-)
Posté le par Tom :
Hummm J'aurai jouer avec ta petite chatte toute mouillée
Posté le par Opac :
Mhmm tu devrais te lâcher mais sans rien dire à tes parents ;-)
Posté le par Gust69 :
Oh tu as du bien te branler! j'aurais aimer voir ta petite chatte en feu!
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