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Histoire de cul : Elle rencontre deux militaires dans le train
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62Histoire de cul : Elle rencontre deux militaires dans le train
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/09/2013
Publié le 16/09/2013
Salut à tous !!!
Je m'appelle Morgane et je me suis inscrite sur ce site parce que j'aime le sexe, un peu trop peut-être, et que j'aimerai vous faire partager ce qui m'est arrivé dans un train. Je ne peux pas le raconter à mes proches parce que j'ai un copain et il péterait un câble s'il apprenait ça!!!
Je vais d'abord me décrire un peu: j'ai vingt et un ans et je suis d'origine italienne. J'ai de longs cheveux noirs, de grands yeux bleus et je suis mince mais avec beaucoup de formes. En principe les mecs me matent pour mes fesses rebondies et pour mon 95C naturel. La nature m'a beaucoup gâté et comme vous l'imaginez bien j'en profite à fond.
Donc, mon histoire commence un vendredi soir en plein mois d'avril. Après avoir quitter ma fac d'histoire de Toulouse pour rentrer passer un week end en famille à Montpellier, je me retrouvais complètement gelée sur le quai de la gare Matabiau. Il pleuvait et plus l'heure avancait plus le froid s'installait. Il faut dire qu'il était déjà 18h30 et que l'on avait annoncé mon train avec plus de 30mn de retard. J'avais laissé ma veste dans ma chambre et je ne portais qu'un léger gilet en coton par dessus mon débardeur. Étant vraiment frigorifiée je décidais alors d'aller me faire une petite place sous l'abri de verre qu'une foule de gens remplissait déjà. Je dû jouer des coudes pour que l'on me laisse passer et quand je me retrouva enfin au sec j'étais entourée de deux beaux militaires. Julien, le plus séduisant, me proposa sa veste que je ne refusa pas. Quand le train entra enfin en gare nous avions déjà bien fait connaissance alors du coup je monta dans le même wagon qu'eux. C'était encore ceux où l'on était assis face à face et qui étaient équipés de rideaux. Installée en face des deux hommes je passa un rapide coup de fil à mon copain pour lui dire que j'étais bien partie. Cela faisait six mois que j'étais avec lui, je l'aimais bien mais malheureusement il n'était pas très doué pour me faire l'amour.
Quand je raccrocha, Nicolas, le second militaire, s'était endormi.
Julien ferma alors les rideaux puis il se rassit à côté de moi. Il me parla de son métier et du sport qu'il devait faire tous les jours. Je lui dit qu'il avait de la chance parce que grâce à ça il devait avoir un beau corps. Sans que je m'y attende il enleva son tee-shirt et me dit que je pouvais toucher si je le voulais. AHHH ça surprend en effet :)
Attirée par la vision de ses tablettes de chocolat et de ses pectoraux gonflés je ne pu résister à toucher ou plutôt à caresser. Il passa alors son bras autour de moi jusqu'à que sa main vienne frôler mon sein droit. Voyant que je ne le repoussais pas il passa ses doigts sous mon pull pour me pincer le téton. Une douce chaleur m'envahit alors et mon clitoris commença à me titiller agréablement. Il se mit à m'embrasser goulument tout en déboutonnant sa braguette. Il sortit sa queue de son boxer noir pendant que sa bouche descendait sur ma poitrine. Il mordillait durement mes tétons et moi j'étais en train de mouiller grave. C'était une situation plutôt improbable, mais je ne rêvais pas.
J'avais envie de sa bite. Je la saisis alors en faisant un mouvement d'aller retour continu. J'entendais Julien gémir de plaisir pendant que je dégrafais mon pantalon. Il passa ses doigts dans ma petite culotte et les enfonça dans ma chatte humide. C'était tellement bon que j'en bavais presque. Il me fit ensuite lâcher sa queue pour passer sa tête entre mes jambes. Sa langue léchait lentement mon clito en faisant des ronds. A ce moment là j'étais vraiment excitée alors je caressa mes seins en pensant à sa grosse bite que j'avais envie de prendre dans ma bouche. Il ne m'en laissa pas l'occasion parce qu'il s'assit à côté de moi et me souleva pour me mettre à califourchon sur lui. Quand il me pénétra je jouis bruyamment, ce qui, à ma grande honte, réveilla Nicolas. Embarrassée,je voulu alors descendre mais Julien m'en empêcha en me disant que Nicolas aimait regarder. Après une brève hésitation j'acceptais que son pote se branle en nous regardant. Il s'approcha de nous et je pu me rendre compte que Nicolas avait une bonne grosse bite, bien plus grosse que celle de Julien!!! Je n'avais jamais couché avec deux types en même temps et je n'en avais jamais eu l'intention mais à ce moment là, à cause de l'excitation ou peut-être de la vue de ce membre si attirant, j'attrapai la bite de Nicolas dans ma main et je la lui souleva pour pouvoir lui lécher les couilles. Il fut tout aussi surpris que Julien par mon geste mais aucun des deux ne s'en plaignait. Pendant que Julien continuait de me pilonner et que je sentais sa bite grossir en moi, j'avais pris la queue de Nicolas dans ma bouche et je la léchait activement. Au bout de quelques minutes, Nicolas, qui était au bord de l'extase, passa derrière moi pour me sodomiser. Contrairement à beaucoup d'autres filles j'adore ça !!!
C'était la première fois que je pratiquais la double pénétration mais je su à cet instant que je ne pourrais plus jamais m'en passer. J'étais au septième ciel, je n'avais jamais autant jouis. Nicolas arriva à l'orgasme le premier et je pu sentir le liquide chaud de sa bite s'écouler en moi. Ce fut à mon tour peu après. Je cria tellement quand je sentis l'explosion de plaisir dans ma chatte que cela m'étonna qu'aucun passagers ne vienne se plaindre. Julien, encore en érection, se retira pour me faire agenouiller. Il cala sa bite dans ma bouche et m'attrapa la tête pour me forcer à le lécher plus rapidement. Il m'étouffait presque mais il n'était pas prêt à me lâcher. Quand il éjacula il me serra encore plus fort pour que j'avale tout son sperme. Le liquide chaud me coulait dans la gorge et j'étais au bord de l'asphyxie. Il me lâcha tellement subitement que je faillis m'étaler par terre. On se rhabilla tous et tout le reste du trajet se passa dans un silence un peu gênant qui ne se rompit qu'au moment où le train entrait en gare de Montpellier. Je dit au revoir aux garçons un peu trop rapidement pour paraître naturelle. Sur le quai j'éclatais de rire. J'étais en train de me rendre compte que n'importe qui aurait pu nous surprendre, que ce soit le contrôleur où un simple passager.
A ce jour je ne les ai jamais revu dans le train mais ce moment passé avec eux restera toujours ma meilleure expérience sexuelle;
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