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Histoire de cul : Elle se tape encore son stagiaire
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25Histoire de cul : Elle se tape encore son stagiaire
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 05/01/2014
Publié le 05/01/2014
Coucou à tous
Cela fait un petit moment que je ne suis pas revenue vers vous mais le taf prend beaucoup de mon temps, comme beaucoup d'entre vous j'imagine.
Si vous vous souvenez, je me tape le petit stagiaire de mon service, Jérémie, 20 ans. Petit rappel, je suis rousse, des formes pulpeuses, des seins bien lourds que j’adore montrer, du moins mettre très en évidence, j’ai 31 ans et mariée à un homme très pris lui aussi. Je raffole de sexe et je kiffe particulièrement le sexe au boulot. Je peux vous dire que depuis fin septembre je m’en donne à cœur joie avec mon petit Jérémie. On fait ça surtout le soir quand les bureaux sont presque déserts et on baise dans tous les endroits possibles mais les moins risqués bien sûr. Mon bureau le plus clair du temps, la salle d’archives de mon service, les salles de réunions, même les toilettes, les moins fréquentées quand même mais la plus part du temps le soir. Il devient de plus en plus expert mais sans paraître prétentieuse, je suis aussi un très bon professeur ! Mais pas de relation en dehors du boulot. Cela reste strictement professionnel, si je peux m’exprimer ainsi ! Hihi Nous ne nous voyons pas en dehors.
La semaine de Noël, nous bossions tous les deux et la moitié, en gros, des employés étaient en congés. Donc même dans la journée, les locaux ne fourmillaient pas de monde comme d’habitude. J’étais à mon bureau et j’avais laissé la porte ouverte. En me penchant un peu, je me plaisais à le regarder, et je me suis mise à l’imaginer en train de me sauter. Cela m’est bien sûr très souvent arrivé d’avoir ses idées-là, vous pensez bien! Mais en journée, c’est quand même plus délicat. Il ne faut pas tenter le diable même si cela nous est arrivé une fois ou deux de déroger à la règle. Et là, je le regardais, concentré sur son pc, la mine sérieuse et j’ai vraiment eu une folle envie de lui. une pulsion sexuelle quoi! J’avais envie de chair fraîche. J’étais chaude comme la braise !
J’ai réfléchi un petit moment pour choisir l'endroit où nous pourrions copuler sans trop de risques mais j'avais envie de changer de lieu un peu. Je me lasse vite. Et puis j’ai pensé à la salle d’archives centrale qui se trouve au sous-sol du bâtiment. Cela m’était déjà arrivée d’y faire quelques cochonneries, mais pas avec mon petit Jérémie. L’endroit est un peu comme une immense bibliothèque mais avec un mobilier des plus sommaire. En sous-sol donc avec de grands rayonnages pleins de cartons d’archivage qui vont du sol au plafond, pratiquement. Il y a une petite pièce juste avant d’y entrer où deux salariées bossent. Mais en période de fêtes, j’avais su, le matin, en m’y rendant, qu’il n’y a avait qu’une seule employée.
L’excitation et l’envie d’avoir la bite de Jérémie dans ma chatte était trop forte.
Quand on a faim, on a faim! J’ai enlevé mon string et je l’ai rangé dans un tiroir de mon bureau puis j’ai pris une capote. Alors ni une ni deux, je suis allée le voir à midi et je lui ai demandé de me suivre aux archives. A mon petit sourire de salope, il a très vite compris ce que j’attendais de lui. Il m’a suivi comme un bon petit toutou, j’avais pris quelques dossiers sous le bras et lui un bloc note, histoire de faire studieux et nous voilà descendus au sous-sol.
Dans le dédale de couloirs qui y mène, il me chauffait grave, me mettant la main au cul, me le palpant grossièrement, me fourrant brièvement sa langue dans la bouche.J'adore! Prise au jeu, je pétrissais ses belles fesses fermes de jeune premier, ou lui mettais carrément la main au paquet que je sentais déjà grossir sous l’excitation.
Nous nous sommes calmés en arrivant devant la porte de la petite pièce attenante et oh la chance, la porte était fermée. L’employée avait dû allait manger. Mais étant cadre, j’ai la plupart des accès des locaux et j’ai donc pu ouvrir grâce à mon badge programmé pour les accès. La porte s’est refermée automatiquement derrière nous et je savais que même du fond de la grande salle, je devrais entendre le bip d’entrée si quelqu’un pénétrait.
On est allé au fond de la salle, entre le dernier rayonnage et le mur et je l’ai plaqué contre la paroi. Je me suis emparée de sa bouche goulument, j’avais vraiment envie de cul et je mouillais comme une bonne petite cochonne. Tout en lui bouffant la bouche, j’ai ouvert sa braguette pour faire jaillir sa grosse queue de petit minot déjà prête à me fourrer vigoureusement. Je l’astiquais en vraie petite chienne en chaleur. Il a remonté ma jupe de tailleur, fait claquer mes bas qui tiennent tous seuls pour jouer un peu et a pétris mes belles fesses bien rebondis avec rudesse. Puis sans ménagement il a fourré deux doigts dans ma chatte trempée qui n’attendait que ça.
« - Petite salope, t’as pas mis de culotte ! Pas possible d'aimer autant la baise! Tu vas me tuer à ce rythme-là ! »
Pas la peine de lui répondre, perte de temps et puis de toute façon je geignais de plaisir, me mordant les lèvres pour faire le moins de bruit possible, déjà tellement excitée par ses doigts qui s’enfonçaient de plus en plus fort dans ma chatte en chaleur.
Je l'ai alors retourné pour me positionner moi contre le mur. Fallait faire quand même vite. Je me suis mise en appui sur mes mains contre le mur, j’ai relevé complétement ma jupe pour lui mettre devant la queue mon « gros cul » comme il dit, bien tendu, pour qu’il me laboure enfin la chatte.
"- Vas-y défonce -moi la chatte!"
Je lui ai filé le préservatif qu’il a enfilé aussitôt. Il m'a écarté les fesses, histoire de voir un peu mon petit trou du cul et s'est amusé à le titiller. II faisait exprès de rentrer juste le bout de son doigt puis le ressortait en sale petit vicieux. Et tandis qu'il continuait son manège, d’un grand coup de rein il est venu m’empaler la moule. Son engin glissait à merveille avec ma cyprine qui coulait abondamment de ma fente et il a commencé à s’acharner sur moi. Avec ses mains, il avait défait mon chemisier et me tripotait les nichons violemment. Un doigt dans le cul, sa belle queue de petit minet dans ma fente, il soupesait de sa main libre mes gros nibards comme s’il s’agissait des mamelles d’une vache mais put..n qu’est-ce que c’était bon de se sentir chienne. Sa queue entrait, sortait, disparaissait dans ma chatte en ébullition, pour ressortir et me bourrer plus violemment. Il me mettait de grands coups de butoir et je le sentais transpirer sous l’effort. Il a fini par m'attraper par les hanches pour bien me déchirer la moule profondément. Il m’a baisé comme une pute et c’était excellent. C'est ce que j'aime et que je veux. Nous avons joui tous les deux rapidement. Cela n’a peut-être duré que 10 mn, mais un grand coup de bite à la va vite, ni vu ni connu, ça vous met en forme pour le reste de la journée.
Certains me trouveront sans doute un peu triviale dans ma façon de m'exprimer et je m'en excuse d'avance, mais quand il s'agit de cul, c'est comme au boulot, je n'aime pas tourner autour du pot... Hihi
Bonne journée ;)
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Pascale
Demoiselle d'honneur
Un beau jour, je reçu le faire part de mariage de ma meilleur amie, Chantal. Je tombais sur le cul en apprenant cette nouvelle. On s'était connu sur les bancs de la faculté. Comme on s'entendait bien toutes les deux, on loua un appartement ensemble au bout de deux mois. On a bien vécu toutes les deux. C'est avec elle que j'ai connu mes premiers émois saphiques.
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Baisée par un supèrieur
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 28/02/2014
Publié le 28/02/2014
Ahh revoilà notre chaudasse accro au sexe ! Elle a mis son minet aux oubliettes...et se réconforte avec un homme qui a plus d’expérience...
Merci Pascale, on a bien reçu ta commande coquine et tu vas la recevoir très vite ;) - 284 33
Je lui plaque la bouche dans ma chatte
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 07/11/2013
Publié le 07/11/2013
Cette femme qui a l'air très sûre d'elle donne vraiment très très envie, j'en ai la chatte toute mouillée et je dois l'avouer une fois l'histoire publiée je vais aller me donner du plaisir :)
Elle se tape le stagiaire et je pense que cela donnera envie à tous les petits jeunes qui la liront.
Merci à toi Pascale et tu es la bienvenue sur le site.
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