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Histoire de sexe : Elle se tape un jeune stagiaire
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29Histoire de sexe : Elle se tape un jeune stagiaire
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 21/11/2013
Publié le 21/11/2013
Mon jeune stagiaire de 25 ans et moi-même étions tout juste arrivés à Rome ou nous devions assister à un colloque. Dès le taxi qui nous menait à l'hôtel, la tension sexuelle qui s'était accumulée entre nous les semaines précédentes s'était libérée doucement, jusqu'à se transformer en feu d'artifice de baise dans ma chambre, la nuit durant.
Il faut dire qu'à 40 ans, mes formes font pâlir de jalousie nombre de jeunes femmes, et saliver leurs pères et leurs petits copains. Mon assurance et mon regard direct ne cachent rien de mes compétences sexuelles, ni de ma gourmandise en la matière.
Jusqu' à présent, je n'avais pas vraiment de type d'homme et je vivais de longues histoires exclusives et passionnelles. Mais depuis que j'avais planté mon dernier amour - un homme très particulier, très joueur, j'y reviendrai quand j'aurai refermé l'épisode stagiaire - donc, depuis que j'avais retrouvé ma liberté, je prenais goût à la jeunesse. Souvent inexpérimentés, mes jeunes amants ne demandaient qu'à apprendre, et j'appréciais ce rapport nouveau de domination douce.
Après une première nuit de folie sensuelle à réinventer les classiques avec mon amant avide, la semaine fut consacrée à tester les endroits les plus improbables, après s'être chauffés lors des conférences et ateliers de travail du jour.
Mon petit chéri, appelons-le Guillaume, avait regagné sa chambre pour se changer. De mon côté, je préparais ma journée, enfilant une robe de lin rouge largement fendue sur le devant et dans laquelle je me savais irrésistible. Ballerines légère couleur crème, large lunettes de soleil, j'étais parée pour une journée de rencontres. A ce moment précis, je n'envisageais pas d'exclusivité entre Guillaume et moi. Nous avions juste partagé une envie commune et je comptais bien me frotter à de l'italien pur jus pour vérifier les rumeurs concernant ces prétendus étalons...
Conférence d'ouverture du colloque, alors que je scrute la salle avant de m'assoir pour repérer d'éventuelles proies, je sens une présence dans mon cou, puis une pression sur mes fesses. "Je ne débande pas quand je pense à toi." me dit-il essoufflé "et je ne fais que penser à toi... viens me sucer dans un coin tout de suite !"
Immédiatement, je mouille et je ne pense qu'à m'exaucer, mais on demande de nous installer, impossible de trouver un emplacement discret. Histoire de me faire partager son émoi, il passe tout le temps du discours à me souffler ses envies dans le creux de l'oreille : "tu vas me sucer dans le parc à côté, bien profond, et si tu es sage, je te prendrai en levrette" ou encore "Plus que dix minutes de discours et tu seras à moi. Je ne pense qu'à glisser mes doigts dans ta chatte, puis ma langue et enfin ma bite ; je le ferais ici si j'osais, au milieu de tous, caché sous ta robe..."
Complètement retournée par ses déclarations, je sens mon string frotter contre mon clito, je remue doucement, mon plaisir monte. Je me concentre pour ne rien laisser paraître, mais mon stagiaire sourit en coin, il sent mon désir croître et recommence à me chauffer : " je t'ai fait jouir 3 fois la nuit dernière, je compte faire mieux, prépare-toi. Je veux le grand jeu, chérie, la gorge profonde et ton petit trou sinon rien... je peux trouver des choses à t'apprendre, t'inquiète"
Et il n'a pas tort. D'après ses propos, je sens qu'il pourrait assouvir un de mes fantasmes inavoués et rien que d'y penser, mon désir explose.
Malgré moi, ma bouche s'entrouvre et laisser échapper un gémissement alors que j'enchaîne les minis orgasmes, transie sur ma chaise en pleine conférence... au moment-même ou éclatent les applaudissements finaux. Tout le monde se lève dans le désordre, Guillaume en profite pour me coller de près, se frotter à moi, puis m'entraîner dans le parc.
Derrière le premier bosquet susceptible de nous dissimuler, je me jette sur sa braguette que je déboutonne, je sors sa queue de son boxer sans baisser son pantalon et je lui prodigue la pipe de ses rêves. Ma bouche va et vient en serrant son membre plus ou moins fort, en l'enfournant de plus en plus loin. Je ne le laisse que quelques instants pour lui gober les couilles et les masser avec ma langue, dans ma bouche. Je sens alors son désir qui culmine, j'arrête, me retourne et lui offre ma croupe, à genou, en relevant ma robe jusqu'à mes reins.
Avant de me pénétrer comme promis, il ne peut s'empêcher de venir suçoter ma culotte - je crois qu'il est du genre fétichiste, ça m'excite encore plus - puis il me fourre sa langue agile dans la chatte, boit à ma source abondante. Sentant que je vais bientôt jouir, il s'arrête à son tour. Après m'avoir laissée reprendre un peu mon souffle, il me commence à frotter son gland contre mon clito, par derrière, puis glisse doucement jusqu'à peser contre mon trou.
Je suis hors d'haleine, mon corps entier crie mon envie de jouir de sa queue au fond de moi. Il pèse de plus en plus contre moi, puis je sens mon corps céder et son membre raide s'introduire brusquement au plus profond. Nous lâchons tous deux d'interminables râles de plaisir alors qu'il me lime doucement mais fermement. Son pénis me défonce une fois, deux fois, trois fois... à chaque fois, le plaisir est plus intense et la jouissance plus proche. Quatre, cinq... il ne tient plus et commence à accélérer, accroché à mes seins, la bouche contre ma nuque, il me susurre des horreurs entre deux souffles rauques. Six... nous explosons ensemble et pendant que je vibre de jouissance, il me fourre sa queue dans la bouche et j'avale jusqu'à la dernière goutte sans me faire prier.
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