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Histoire de sexe : Il couche avec la mère d'une copine
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43Histoire de sexe : Il couche avec la mère d'une copine
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 06/03/2014
Publié le 06/03/2014
Salut tout le monde,
Je me suis dit qu’il fallait absolument que moi aussi je vous raconte ce qu’il m’est arrivé il y a 1 semaine. Un truc de ouf.
J’ai 22 ans et je suis commercial dans la téléphonie. Blond, les yeux marron, je suis plutôt beau gosse. Je n’ai jamais eu de souci pour plaire aux filles et j’en profite grave. J'avoue que j'ai un peu de la chance car je vois certains de mes potes qui galères grave pour chopper...
Mais y a un truc qui me fait kiffer : J’aime les cougars. Mais jusque-là, alors que je suis un mec plutôt canon, je me suis jamais fait draguer par ce type de meuf, enfin sauf quelques sourires, mais rien de concret.
Je me suis souvent branlé en lisant les histoires de femmes mûres qui se tapent un petit jeune.
Et bien voilà, ça m’est arrivé aussi. Je me suis tapé une vieille.
Enfin une vieille est un bien grand mot, elle doit avoir la quarantaine passée et le pire c’est que c’est la mère d’une copine.
Je l’avais rencontré quelques fois mais de façon assez rapide. Et c’est clair que d’entrée de jeu je l’avais trouvé plutôt canon malgré son âge et surtout un air un peu salope. Elle envoyait du lourd ! Divorcée, j’avais bien vite compris qu’elle aimait se payer du bon temps. Rien qu’à sa façon de s’habiller. Jeans hyper moulant, cuissardes, talons aiguilles, jupes courtes et très maquillée. Un peu vulgaire presque je dirais mais pour un plan cul, elle était super bandante. J’avais d’ailleurs bien compris à son regard que je devais bien lui plaire, mais n’ayant jamais été seuls, nous n’avions pas eu l’occasion d’approfondir les choses
Et voilà qu’il y a 10 jours, elle vient à la boutique pour changer son téléphone.
-Ah bonjour Thibaut, je ne savais pas que tu travaillais ici ! Émilie m’avait bien dit que tu étais dans la téléphonie mais je ne savais pas où.
Vérité ou mensonge je n’en sais rien…
Je fais mon boulot avec sérieux mais je la trouve charmeuse, coquine et je joue un peu son jeu. On rigole, elle me complimente, j’ai droit à des sourires enjôleurs, des sous-entendus… Et au final, son portable en main et alors que je m’apprêtais à lui dire au revoir :
- Thibaut, vous pourriez me donner votre numéro portable, pour le cas où je n’arrive pas à bien utiliser mon nouveau téléphone. Vous voulez bien me l’enregistrer ?
Je suis resté un peu con, mais connaissant un peu le personnage, je me suis dit que ce n’était pas que pour du SAV qu’elle voulait mon tel. Je l’ai entré dans son répertoire et elle est repartie, ondulant de la croupe de façon presque indécente, et moi souriant un peu bêtement en le regardant sortir. Elle avait un sacré cul et un sacré culot!
Et voilà que 2 jours après elle m’appelle.
- Thibaut vous pourriez passer à la maison, j’ai un gros problème avec mon téléphone, il est bloqué, je suis très embêté . Émilie aurait été là, je lui aurais demandé de l’aide, mais elle est chez son père cette semaine.
Là aussi, je me suis demandé si c’était bien vrai ce qu’elle me disait…et pourquoi ne venait-elle pas au magasin...mais bon...
Je lui propose de passer vers 19h après le boulot. Je peux vous dire qu’il me tardait la fermeture. Ça sentait le plan louche à 10KM, mais louche comme j'aime :)
J’arrive chez elle, et quand elle m’ouvre la porte, je la découvre, abasourdi, en petite tenue. Une nuisette en satin rose pâle avec un petit peignoir assorti et plus que légèrement entrouvert. Là y a plus de doute. Moi j'en menais pas large, j'avoue mais elle était hyper à l'aise.
D'’un air provocateur, elle me dit :
- Je suis rentrée du boulot y a pas longtemps, aussi et j’ai eu juste le temps de prendre une douche. Je me suis dit que ce n’était pas trop gênant de t’accueillir dans cette tenue vue que tu es un ami d’Émilie et j’avais envie de me mettre à l’aise. ( tu m'étonnes!). Vraiment la grosse salope de base.
J’entre, elle me fait m’assoir sur le canapé et me demande si je veux un apéro. Je dis oui, il me faut bien ça, pour me remettre de mes émotions. Le pire c’est que je sens ma queue dans mon pantalon qui commence à bander.
Elle m’amène un verre, et prend son téléphone pour m’expliquer qu’elle n’arrive plus à se connecter à internet. J’essaie de me concentrer sur les explications tant bien que mal, mais je sens bien qu’elle n’est pas du tout concentrée.
Au contraire, elle me regarde comme un bonbon appétissant et m’écoute à peine. J’ai vraiment l’impression d’être un morceau de viande ! C’est le monde à l’envers ! Au bout d’un moment, elle me coupe la parole et me demande :
- Dis donc, un beau garçon comme toi, tu dois avoir beaucoup de succès auprès des filles, non ?
- Euh oui je n’ai pas trop à me plaindre.
Plantant son regard de salope dans le mien :
- Et tu es célibataire en ce moment ?
En disant ça, sa main, nonchalamment, s’est posée sur ma cuisse et remonte et redescend. Putain je bande et je suis hyper mal à l’aise.
Mais cette salope a vu la bosse grossir dans mon pantalon. elle attend même pas que je réponde.
- Humm je vois que je te fais de l’effet ! Et si j’allais voir de plus près ce qui se passe là-dessous.
Je n’ai même pas le temps de réagir, qu’elle défait mon pantalon et sort ma queue en érection de mon boxer. Qu’auriez-vous fait à ma place ? Je ne pouvais pas laisser passer une si belle occasion.
- Hummm une belle queue de minet, tu sais j’adore ça. Tu bandes bien mon cochon.
Sans aucune gêne, elle se penche sur moi et commence à me sucer. Elle engloutit voracement ma bite, la lèche voracement comme une glace, salive copieusement sur mon chibre tout raide. Je ferme les yeux, savourant cette pipe extra. Elle sait vraiment bien y faire, elle doit avoir des heures de vol pour sucer comme ça. Je râle de plaisir, c’est trop bon. Je me fais sucer par une grosse cochonne qui a le double de mon âge. Cela dure un bon moment et je ne crois pas que je vais tenir bien longtemps à ce rythme-là.
Je l’ai alors vu tendre un bras sur le côté du canapé pour s’emparer d’un préservatif. Elle avait tout prévu la vicieuse. Elle enfile la capote sur ma queue et m‘annonce :
- Tu me fais sacrément mouiller, baise-moi maintenant. Mais je veux que tu me prennes par le cul, y a que comme ça que je jouis fort !
J’avoue, j’en suis resté sur le cul, c’est le cas de le dire!
Alors elle s’est levée, m’a fait m’assoir au bord du canapé et elle est venu s’assoir sur mes cuisses, dos à moi. D’une main elle a fait glisser ma queue le long de sa chatte pour la lubrifier puis a guidé ma bite à l’entrée de son cul. Je bandais comme un taureau. Elle a forcé un peu l’entrée de son cul (mais y a pas eu beaucoup à faire) et elle s’est empalée directement sur mon gourdin en gémissant. Mes mains, crispées sur ses hanches, la soulevaient et la faisaient retomber sur ma queue pour que je l’encule bien profond. Elle s’embrochait de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle menait la danse, ondulant nonchalamment par moment sur ma bite puis s'excitait sur moi en de violents va et vient bien sentis. Son cul claquait sur mes cuisses. Putain, j’allais jouir !
J’aurais voulu lui palper les seins en même temps mais j’ai eu peur de jouir trop vite. Alors je l’ai laissé faire. Elle se démenait, gesticulait frénétiquement sur mon pieu, gémissait comme une chienne en chaleur. Elle était déchainée, je n’en pouvais plus, j’allais éjaculer. Je n’ai pas pu me retenir et j’ai éjaculé dans son cul avec force. Heureusement, ma queue est restée encore raide et quelques secondes après c’est elle qui a hurlé de plaisir quand l’orgasme a déferlé en elle.
Putain que c’était bon!
J’aurais bien aimé passer la nuit avec elle que je me la sodomise encore quelques fois mais elle m’a demandé poliment de repartir. En me disant quand même qu’elle ne manquerait pas de m’appeler, car j’étais un bon coup...
Putain, j’en reviens toujours pas !
Mais de la grosse cochonne comme ça, c’est trop bonnard. J’ai vraiment envie de me la bourrer encore quelques fois…
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