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Histoire de sexe : Ils découvrent le candaulisme
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28Histoire de sexe : Ils découvrent le candaulisme
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/01/2014
Publié le 15/01/2014
Bonjour à tous,
Avec mon chéri, nous lisons de temps en temps vos histoires. Alors c’est tout naturellement que je viens vous raconter une toute nouvelle expérience pour mon homme et moi ( d'où le pseudo que j'ai choisi).
Jamais nous nous serions crû capables de ça mais que d’émotions en une soirée!
Nous avons 25 ans tous les deux et sommes en ménage depuis 2 ans. Nous nous faisons des petits restos assez régulièrement avec mon chéri, quand nous avons la flemme de nous faire à manger en rentrant du boulot. Il y a trois jours, nous avons décidés de nous faire une pizzeria qui avait ouvert depuis peu. Les pizzas étaient supers bonnes mais je dois dire que le serveur aussi. Vraiment un garçon ultra craquant. C’est rare que je craque comme ça sur un mec maintenant que je suis en couple mais lui vraiment m’a troublé. Brun, la peau très mate, il avait un sourire de pub pour le dentifrice.
Le pire c’est qu’il a commencé à me draguer assez ouvertement dès le début du repas. Bien sûr je ne voulais pas rendre mon homme jaloux mais, avec ce serveur trop craquant, nous échangions malgré tout des petits sourires de connivence, des œillades rapides mais qui en disaient tellement long. Vous savez quand quelqu’un vous plait, que vous ne pouvez pas vous empêcher de séduire malgré tout, ses frissons qui vous parcourent le corps, ces bouffées d’adrénaline inattendues, ce besoin de plaire irrépressible? Et notre serveur, lui, ne cachait pas qu’il me trouvait à son goût. Un petit compliment bien appuyé par ci, un sourire enjôleur par là.
Mon chéri n’est pas d’un naturel jaloux mais j’avais quand même peur qu’il le prenne mal et que ça parte en live. Or ce soir-là, j’ai compris assez rapidement à son regard que cela l’amusait de voir sa chérie se faire draguer sans vergogne. Il n’avait pas l’air d’en prendre ombrage et au contraire j’ai senti une certaine fierté de voir sa compagne ainsi désirée. Il ne disait rien mais il nous observait nous tourner autour comme un mâle et une femelle lors de la parade nuptiale. Je parle d’animaux car je suis assistante vétérinaire.
Et je dois bien avouer que de me sentir surveiller par mon homme et de me sentir désiré par ce beau mâle en chaleur m’ a fait mouiller la ficelle de mon string très vite.
Je suis plutôt du genre sexy. J’aime me mettre en valeur et ce soir-là j’avais un petit top en dentelle noire dont le V plongeant laissait bien plus que deviner le sillon de ma poitrine opulente. Le renflement de mes seins débordait largement d’une façon très provocante. La dentelle épousait parfaitement mes courbes généreuses et à chaque respiration mes seins lourds et fermes se projetaient en avant comme une invitation sournoise à la caresse. Je suis très cambrée et mes deux melons ainsi en évidence, attirait l’œil de mon serveur qui ne se gênait pas pour me parler en plongeant le regard dans mes atouts volumineux.
La soirée s’est finalement bien terminée, moi toute émoustillée de m’être sentie ainsi convoitée alors que mon chéri, je l’ai senti, s’enorgueillissait d’avoir une femme aussi sensuelle.
Rentrés à la maison, il m’a pratiquement sauté dessus. Me sentir désirée par cet autre homme l’avait rendu ardent. Et il m’a fait l’amour passionnément. Rarement nous avons fait l’amour avec autant de fougue. Depuis un an c’est quand même un peu la routine et puis j’ai un homme très doux qui me fait l’amour de façon un peu conventionnelle. Je suis plutôt coquine et au début de notre relation je l’emmenais souvent sur les chemins de la fantaisie mais depuis quelques temps je faisais moins d’efforts. Et là il m’a surprise. La scène du resto l’avait particulièrement mis en forme et j’avoue que pour une fois il m’a prise un peu comme une catin. Et j’ai adoré. Cela m’a rendu explosive. Je geignais comme une petite chienne en chaleur, les mains incrustées dans les fesses de mon homme pour qu’il soit au plus près de moi et qu’il m’empale de son pieu encore plus profondément.
A moment donné, alors qu’il me pilonnait toujours avec bestialité :
-Tu penses à ton petit serveur là !
Ce n’était pas une question. Mais il n’y avait aucune colère ni rancœur dans son affirmation. Juste une pointe de curiosité, l’envie de savoir. Son regard était brûlant de désir et les yeux fermés, prise dans la tempête de l’extase, j’ai murmuré « oui » dans un souffle haletant.
Eh Oui ! Alors que mon chéri me faisait l’amour comme une bête j’avoue que le serveur est venu hanter mes fantasmes et c’est sans doute aussi cela qui me rendait aussi passionnée. J’imaginais, un peu… beaucoup… que c’était lui que je suçais, que c’était lui qui se déchainait sur mon corps soumis.
Comme si mon homme avait lu dans mes pensées :
-Tu imagines que c’est lui, là qui te baise comme une petite pute hein ? Tu boufferais bien sa queue ?
Je ne savais pas si je devais lui répondre mais en disant ça, il redoublait ses coups de reins et je le sentais au bord de l’orgasme. Moi-même j’allais jouir et ces mots crûs me faisaient mouiller copieusement.
- Alors tu réponds ? T’as envie de te faire sauter par ce type ? Dis-le !
Lui d’habitude si doux était devenu très autoritaire. Il voulait une réponse.
C’est en jouissant d’une force extraordinaire que j’ai crié « ouiiiiiiiiiii ! »
Alors sa queue raide et dure dans mon ventre a accéléré la cadence de plus belle.
- Moi aussi j’ai envie de te regarder te faire sauter par un autre. Ca m’excite. Je veux te voir te faire baiser !
A peine ces mots prononcés, il s’est encore déchainé quelques secondes sur ma fente béante et j’ai senti avec délice son foutre épais se rependre en moi.
Soulagés de la tension sexuelle qui nous avait submergée, blottis l’un contre l’autre, mon chéri m’a finalement dit :
- Tu sais, ce que je viens de te dire, je le pense réellement. Le voir te draguer comme ça, et toi qui paraissait très réceptive, c’était bizarrement excitant.
- Tu aurais vraiment envie de me voir avec un autre ?
- Oui je crois que cela me plairait.
Je n’ai pas été choquée. Alors complices, nous avons pas mal discuté sur l’oreiller. Je suis une fille libérée, ouverte d’esprit et sûre de ses charmes alors je l’ai pris au mot. L’idée était trop excitante pour que je la laisse passer. Je lui ai dit que je m’occupais de tout.
Le lendemain midi je suis allée manger dans la même pizzeria mais toute seule cette fois. Mon beau serveur était toujours là et il n’a pas hésité à me faire du rentre dedans. Moi très aguicheuse, j’ai joué d’abord l’innocente effarouchée. Je peux être très vicieuse quand je le décide. Il m’a demandé mon numéro de téléphone mais j’ai refusé en riant. Pourtant je le draguais aussi ouvertement, je jouais avec lui, cela me rappelait ma vie de célibataire.
Quand je suis partie, je lui ai tendu la petite panière de la note avec mon plus beau sourire. J’avais glissé mon numéro sous l’addition.
Dans l’après-midi il m’a envoyé un texto. J’étais toute excitée. Par contre j’appréhendais de lui parler de vive voix du projet que nous avions. Alors c’est toujours par texto, que je lui ai dit sans détours que mon mari aimerait nous voir baiser. Ça a du bon les textos… lol
Il m’a répondu dans la foulée que cela ne lui posait aucun problème! Alors nous avons convenu d’un rendez-vous le mardi soir suivant, jour de congés pour lui.
Ce soir-là j’étais follement excitée. J’avais pris mon après-midi pour faire un peu de shopping. Et je me suis offerte une très jolie guêpière ouverte en résille transparente noire. De fins rubans de satin rouge soulignaient très sensuellement mes seins nus. Un petit string rouge avec des bas et le tour était joué.
Le soir, sur ma guêpière , j’ai juste enfilé une petite jupe fluide rouge, fendue sur le coté, qui, quand je bougeais laissait deviner l’attache de la jarretelle. Un petit chemisier en satin noir cintré avec deux boutons défaits pour laisser apparaitre le creux de mes seins de façon honteusement érotique. Je me suis sentie belle et désirable. Je sentais le sexe. Et mon chéri, en me voyant dans cette tenue plus que subjective n’avait qu’une envie, me sauter dessus. Mon string était déjà bien humide quand Alexandre a sonné.
C’est mon mari qui lui a ouvert et quand il m’a aperçu, il a eu un sifflement d’admiration qui m’a toute émoustillée. J’ai servi un petit apéro et tandis que les hommes sirotaient un whisky on the rocks, je m’enfilais un kir royal puis deux. Alexandre, lui, était très à l’aise, mais pour nous ce n’était pas pareil.
Je me demandais si finalement mon chéri allait supporter de me voir faire l’amour avec un autre et si moi-même j’allais pouvoir franchir le cap. Alexandre n’avait jamais tenté l’expérience non plus mais ça n’avait pas l’air de lui posait de problème. Il me dévorait littéralement des yeux, je le sentais excité au plus haut point. Il était plein d’humour et a su nous décoincer un peu.
- Tu permets que je caresse ta copine ? a-t ’il demandé à mon chéri, très naturellement.
Mon homme a acquiescé de la tête. Alors Alex s’est rapproché de moi sur le canapé et il a commencé à jouer avec l’attache de mon porte-jarretelles. Il a glissé un doigt sous le liseré de mon bas pour caresser ma peau satiné. A ce contact, j’ai eu la chair de poule. Ses doigts ont couru sur l’intérieur de mes cuisses ou la peau est fine et vulnérable. Sans m’en rendre compte j’ai écarté les jambes pour mieux sentir sa caresse. J’ai poussé un petit soupir de satisfaction. J’avais terriblement envie de m’abandonner à cet homme qui me troublait prodigieusement.
Alors doucement sa bouche s’est emparée de la mienne. Il m’a embrassé longuement. Je me laissais faire avec volupté. Sa main est remontée vers ma petite chatte déjà en feu et il a insinué un doigt puis deux dans ma fente. Il faisait des va et vient légers, fouillant mon intimité avec précision. Toujours bouche à bouche, de son pouce il a branlé mon clito déjà tout gonflé et sensible. Je cambrais les reins un peu plus à chaque vague de chaleur qui enflammait mon ventre.
Puis il a délaissé ma vulve toute trempée pour s’attarder sur mes seins. Mes seins pointaient déjà insolemment sous le tissu soyeux. Il a déboutonné mon chemisier pour découvrir mes globes dressés et les a pris à pleine main. Il caressait mes aréoles larges d'un rouge pourpre et excitait mes tétons avec dextérité.
J’avais fermé les yeux pour ne pas regarder mon chéri. J’avais peur de voir sa réaction. Mais il ne disait rien et ne bougeait pas. Je le sentais pourtant bien dans le jeu quand il poussait discrètement de petits soupirs de satisfaction. Alors j’ai compris qu’il prenait son pied à nous regarder et cela m’a rassuré. Alexandre m’a couverte de petits bisous pour descendre jusqu’à mes seins. Et là, il a commencé à les lécher, à les sucer gloutonnement en reprenant l’exploration plus énergique de ma petite chatte humide. Il me bouffait complétement les seins. J’ai ouvert les yeux, l’esprit un peu embrumé. Sa langue laissait de larges trainées de salive sur mes nichons en érection.
- Putain les obus que tu as ! C’est un régal !
Il a continué un petit moment à me doigter et à dévorer mes seins puis brutalement :
- J’ai envie que tu me suces.
Il s’est levé, à descendu pantalon et boxer sur ses chevilles et s’est posté devant moi. Alors timidement j’ai enserré son gland entre mes lèvres et ma langue a avalé la petite goutte transparente qui perlait du méat.
- Avale ma queue ! M’a-t-il ordonné en poussant ma tête contre son sexe pour que je l’enfourne entièrement.
J’ai osé regarder mon homme. Il avait les yeux rivés sur ma bouche qui allait et venait sur cette queue étrangère. Il avait une fièvre indescriptible dans le regard, il aimait me voir sucer ce mec et des bouffées de chaleur ont à nouveau envahi ma chatte béante qui libérait de plus en plus de mes sucs intimes. Alexandre m’appuyait sur la tête, me tirait par les cheveux de plus en plus fort pour que sa bite cogne contre mon palais. Il était en transe et poussait des soupirs d’aise un peu animal.
Mon chéri bloquait toujours sur ma bouche gourmande de suceuse de bite et nos regards se sont enfin croisés. Il m’a encouragé du regard. Puis Alex a fléchi un peu les jambes et a fait coulisser sa queue entre mes seins. Il se branlait entre mes gros seins. J’ai salivé un peu dans mon sillon pour que ça glisse mieux. Puis de mes mains, j’ai rapproché mes nichons pour emprisonner sa bite. Avec les mamelles que j’ai, la branlette espagnole c’est un peu mon péché mignon et les hommes aiment beaucoup se branler entre mes globes très généreux.
A chaque fois que sa queue remontait vers mon visage, je lui donné quelques coups de langue. Mais j’avais envie d’’être prise. Mon minou en feu n’attendait que ça. Je voulais qu’il m’emplisse.
- Baise-moi.
Je n’en revenais pas de ce que je venais de dire. Alors Alexandre m’a relevé et m’a emmené vers la table du séjour.il a sorti au passage un préservatif.
- Tu veux que je te baise ? Je vais te baiser comme il se doit, petite vicieuse.
Ses mots m’ont grisé. Il m’a allongé sur la table, a relevé mes jambes à l’équerre et les a bien ouvertes pour regarder ma chatte toute lisse prête à se faire exploser. Il a mis le préservatif, n’a même pas pris le temps de m’enlever mon string et sans aucun ménagement, il m’a pénétré violemment. J’ai poussé un gémissement de bien-être. Je me sentais enfin pleine. Sa queue s’enfilait dans ma chatte et en ressortait gluante de mes sécrétions. Ses coups de reins étaient solides et puissants. Mes seins se balançaient lourdement au gré des secousses. Ma tête allait de droite à gauche dans un mouvement incontrôlé. Il me défonçait avec brutalité et il n’en a pas fallu plus pour que je jouisse comme une petite salope.
- Je vais te faire jouir encore, petite pute.
Il me limait tellement fort que mon minou était tout échauffé. Mais c’était tellement bon. A nouveau, j’ai senti le plaisir qui remontait tout doucement.
- Retourne-toi ! Je vais t’enculer.
D’autorité il m’a plaqué le buste sur la table. Mes gros nichons se sont écrasés sur le bois dur mais chauffé par mes fesses, l’instant d’avant. Avec mon homme, nous avons pratiqué la sodomie quelques fois mais sans plus. Ce n’était pas trop son truc. Je l’ai regardé pour avoir son approbation mais il ne me regardait même pas. Alex m’ayant écarté les fesses pour mettre à nu mon petit trou du cul, mon chéri était fixé sur ma rondelle honteusement exposée. Alors je me suis laissé faire avec un peu d'appréhension.
Alex a craché sur ses doigts pour m’en humecter le cul. Il a glissé à nouveau sa bite dans ma chatte pour recueillir un peu de cyprine puis l’a étalée sur mon petit trou plissé. Il a commencé à entrer son gland mais j’étais toute crispée.
- Humm vous ne devez pas faire ça très souvent ! Ton trou du cul est tout serré. Mais j’aime ça, ça n’en sera que meilleur. Allez détend-toi.
Il a à nouveau pris de mes sucs sur ses doigts et m’a enfiler un doigt dans le cul pour en forcer le passage. Il fouillait à l’intérieur de mon anus et un plaisir sourd a commencé à émerger en moi. Petit à petit, mon anus s’est dilaté et quand il a jugé que j’étais assez ouverte il m’a empalé sur son pieu dur comme du béton. Ses va et vient dans mon cul se sont fait de plus en plus amples et de plus en plus rustres.
Il entrait et ressortait entièrement sa queue pour qu’à chaque fois elle bute contre mes sphincters qui se refermaient. Il m’avait empoigné les hanches et guidait le mouvement pour me démonter le cul le plus possible.
Ses couilles tapaient contre ma vulve et à nouveau j’ai senti que j’allais jouir. J’ai regardé mon chéri qui n’en perdait pas une miette. Le tissu de son jean était tendu par la bosse qu’il ne pouvait pas dissimuler. Son regard était brûlant. Jamais je ne l’ai vu dans cet état-là. Il me regardait comme on peut avoir envie d’une putain qui se fait enculait par un autre. Pour une fois il me voyait comme un objet de plaisir et non plus comme la femme qu’il aime tendrement. Mes fesses pourtant fermes tremblaient sous les assauts violents et répétés d’Alex.
Alors c’est en regardant mon chéri, qui enfin, m’a regardé dans les yeux, que j’ai joui à nouveau. Des spasmes de plaisir se sont propagés dans mes entrailles et il m’a fixé comme s’il regardait un film porno. Avec bestialité et envie. Je n’étais plus sa compagne, j’étais devenue une chienne en chaleur.
Alex m’a encore limée pendant un petit moment et il a fini par jouir dans un coup de rein ultime. C’est dans un rhaaaaaa d’homme des cavernes qu’il s’est vidé dans mon cul.
Le sentiment que nous avons est étrange. Nous en avons bien sûr parlé avec mon homme quand Alex est parti. Un mélange d’envie de recommencer au plus vite et une certaine culpabilité d’avoir dépassé les limites du « convenable ». Mais je ne pense pas que nous pourrons revenir en arrière. Et puis au final, c’est quoi le « convenable » ? A partir du moment où les partenaires prennent du plaisir ? En tout cas sacrée expérience…
Cette histoire de cul t'a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/02/2014
Publié le 08/02/2014
Il y a peu de temps notre coquine s'est faite baiser par un mec devant son homme...et comme on est toute les mêmes, une fois lancées...
Donc ? Notre coquine est retournée voir le mec en question, mais seule cette fois !
Merci pour ce témoignage, et si je peux me permettre de te donner un conseil, tu devrais l'avouer à ton mec en lui disant que tu est trop une cochonne et je suis certaine qu'il va adorer.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
