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Histoire de sexe : Je débloque mon homme

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Je débloque mon homme

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    JE DEBLOQUE MON HOMME!

    Voici une histoire qui à été vécue, hormis certains détails :

    Cest une nuit du mois de février avec un froid glacial et une pluie qui narrête pas depuis deux jours. Mais à lintérieur, il faut ... même assez chaud, car je me suis arrangée pour relever le thermostat de la chaudière. Cest cette nuit où jai décidé de passer à autre chose avec Alexandre. Il est hors de question que je laisse passer sans réagir ma dernière découverte, avec tous ces boxers et ces caleçons portant les traces dune masturbation en hausse. Alexandre et moi avons pas mal de rapports durant la semaine, notre relation est au beau fixe et, sil vadrouille un peu de temps à autres dans ses fantasmes, ce nest pas pour me déranger. Nous sommes ce que nous sommes... Mais il y a parfois dans nos discussions sur le sexe ou sur les rapports hommes-femmes quelque chose chez lui, comme dans sa personnalité timide dailleurs, qui ma toujours laissé limpression quAlexandre ne séclatait pas tant que cela au lit. Mon envie est de le pousser à bout et peut-être ainsi sera-t-il plus épanoui. Ça vaut le coup dessayer, parce que si ça marche... Dans mon guet-apens prémédité, jai relevé la température intérieure parce que je veux quon soit le moins habillés possible et, surtout, mettre ma nuisette pousse-au-crime, montrer mes jambes fraîchement épilées et mes orteils soignés, mes épaules et mon grain de beauté sur la nuque. Mais si limage et le parfum sont ceux dune femme qui a décidée de se faire sauter cette nuit, le son va complètement dans lautre sens. Sous mon peignoir, pendant le dîner, je le déroute en disant, un verre à la main et lair de rien, que je suis un peu fatiguée et il sattend déjà à ce que je mendorme assez tôt comme dans ces cas là où, dailleurs, il ninsiste pas. En vérité, ses regards trahissent son envie de me sauter dessus. Il me reluque les fesses quand je range la table, tente de provoquer des attouchements en maidant à faire la vaisselle, alors je lui souris et je lui dit tout simplement : cest bien dêtre en ta compagnie, tu es si gentil et si tendre. Je le désarme. Je le torture. Cest moi que ça excite surtout. Vient le moment de se mettre au lit où je le précède dans la chambre à la lumière tamisée. Il veut my rejoindre, mais je lui dis sur le ton du commandement : Tu vas où ? Il stoppe net, surpris. Dabord, tu te déshabilles. Un léger sourire, il sexécute lentement et retire son pyjama, me donnant une nouvelle fois loccasion de dévorer des yeux ses épaules larges. Il garde son boxer et sapprête et venir au lit. Jai dit, déshabilles-toi. Ça veut dire tout nu, je veux voir ton cul si tu préfère. Le regard quil me lance ! Il na pas du tout lhabitude que je lui parle comme ça. Mais il ne dit rien et fait glisser son sous-vêtement vers le sol, me dévoilant sa belle virilité dont jai la chance de disposer. Je le laisse tout bête, debout entre le lit et le mur et je prends tout mon temps pour venir vers lui. Il ne sait pas quoi faire. Une fois presque contre lui, haleine contre haleine, je le flatte pour le rassurer, il est costaud, mon homme, je passe mes mains sur son épaule, son torse, puis sur le devant de ses hanches en faisant exprès de juste frôler sa queue qui gonfle, non sans lui avoir interdit de me toucher. Non Non Cette fois, cest moi qui commande Toi, tu es mon joujou si tu vois ce que je veux dire et ça peut durer toute la nuit si jen ai envie. Alexandre ne comprend pas grand-chose et je le sens mal à laise de ne pas contrôler la situation. Mais je men moque et je compte bien aller jusquau bout. Tournes-toi et penches-toi. Il le fait, se donnant lair amusé, mais en vérité il est terriblement gêné. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Je lui donne une claque sur la fesse et je vois quil lencaisse bien. Jaime tes fesses, tu le sais ?... Elles sont tendres comme des pêches. Je lui susurre pleines dautres douceurs pendant que la fessée continue encore. Il faut voir comment sa verge est dressée ! Surtout lorsque je le claque plus fort que les autres fois et il ne peut sempêcher de lâcher ... !. Je ne le rate pas : tu as dit ?...je suis une ... cest ça ?. Je me saisis de sa queue et je le fait pivoter sur lui-même. Il est complètement confus de mavoir insulté. Il ne sait pas que je mouille comme une fontaine et que les lèvres de mon sexe enflent au point jai limpression quelles vont déborder de mon string. Je continue de profiter de la situation. Vicieuse ? Oh ! Oui. Mais cest pour Alexandre qui le mérite. Nest-ce pas ? Ne me jugez pas et écoutez la suite. Tu vas texcuser, tout de suite. Il met sa main sur mon épaule et me caresse tendrement en chuchotant, pardon, mais cest toi qui. Non, pas comme ça. Tu vas voir comme tu vas me le payer. Je le prends vers le lit où je linstalle et, clou du numéro de ... que le lui fait, je me mets confortablement sur le lit à mon tour : le dos bien calé sur loreiller relevé, les jambes écartées et je commence à me caresser par-dessus mon string. Je sors un téton que je pince lentement, puis les seins, et tout en douceur, je me passe les mains sur ma peau, mes cuisses, je suce mes doigts par une façon qui ne peut faire penser quaux fellations porno. Cest pas vrai ! Tu veux ma mort toi !. Je ne lécoute pas. Et puis, cest moi qui pose les questions :
    -Tu aimes baiser ?,
    -Oui, jaime faire l 'amour avec toi.
    -Répond, mon salaud, est-ce que tu aimes baiser ? ... défoncer, déchirer ? Taimes ça ou pas ?
    -Oui, jaime baiser
    Jai presque pitié de lui, à le voir bander. Son sexe est énorme avec des veines gorgées de vie, mais je continue encore. Je retire mon string, ma chatte parfaitement épilée est offerte à ses yeux. Je me doigte encore, mielleuse à souhait.
    -Tu vas te branler et continuer me regarder jouer. Tu fais comme moi, et si tu triche, on arrête tout !... Doucement, sans te presser, juste en douceur sur cette queue bien dure... Hein, que tu bandes Doucement Voilà
    Je continue, la suite dans les idées.
    - Et ... ?... Tu sais bien, une sodo vite fait bien fait avec une ... qui jouit du cul ? Un bon cul bien rond, ferme, un anus tout rose...
    -Je ne sais pas, jai jamais
    -Menteur ! Je sais que tu voudrais bien m ... et que toses pas, cest tout.
    Il me regarde, excité, perdu, haletant. Le bruit de ses mains frottant son sexe mallume vraiment.
    -Poses-moi la question. Allez !
    -Je veux ton cul ! Oui je veux ton cul ! Je veux te prendre par derrière, técarter les fesses et te défoncer ta petite fente trou parce que cest bon quand cest étroit et je veux jouir dedans !
    Cette première victoire vient à temps. Je suis sous une incroyable tension depuis le début et jai vraiment envie de me faire prendre. Le supplice ne peut durer davantage.
    Je me mets à quatre pattes, je cambre mes reins à lextrême pour moffrir sans la moindre retenue.
    -Tu comptes encore faire comme je te dis ou te conduire comme un homme ?
    Il bondit ou presque. Baises-moi comme une femelle en chaleur, comme une chienne qui en a très envie. Alexandre saute sur ses genoux. Un animal en cage quon relâche enfin dans la nature. A sa manière de magripper par les hanches, je sens monter en lui la fureur dun taureau. Ses mains sont fermes. Je ne peux mempêcher de pousser vers larrière, tant je suis pressée et surtout surprise par une goutte de ma mouille qui me semble descendre le long de ma cuisse. La pénétration est brutale, profonde, complète. Je pousse un cri de plaisir. Le sexe dAlexandre est bon, chaud et puissant. Le coup de rein quil me met est si violent que je me sens encore plus ... Jai presque honte daimer le manipuler comme je lai fait. Je narrive pas à me retourner de peur quil le voie dans mon regard. Je ne veux pas quil pense à quoi que ce soit, alors je lui mets aux feu aux poudres : Jaime cette queue Oh, ce nest pas une queue, cest un gourdin ... tu bande tellement dur, toi ! Et son va-et-vient dans mon entrejambe, qui a commencé à un rythme déjà bien fort, saccélère. Il me baise. Je lui ait que je suis sa femelle et il nest plus quun mâle, une verge dressée prête à exploser et une paire de couilles qui me tapent sur les lèvres comme jaime quand je suis prise comme ça. Je lui en rajoute encore : je sens que, et je ne finis pas ma phrase, je le laisse imaginer la suite quil veut, que je prends mon pied, que je décolle. Et ... que cest vrai. Vas-y, fils de ... ! Baise-moi à mort. Il sexécute, la tête penchée en arrière, il nest plus quun paquet de pulsions qui veulent sassouvir sur mon corps. Il ne me baise pas seulement, il me transperce. Sa queue est extraordinairement dure. Je suis proche de jouir, mais je me ressaisis alors que je pensais ne plus pouvoir le faire. Patience, mon salaud !. Il se retire sans avoir le temps de comprendre. Je me retourne et pose délicatement mes mains sur ses épaules pour quil se couche sur le dos. Je me mets sur lui à califourchon et je mets pas mal de salive sur mes doigts pour bien lubrifier mon anus. Jai tellement entendu sur la première fois et sur ce quil faut comme préparations. Mais je men fiche, je le veux à nimporte quel prix. Je prends fermement son membre à la vigueur intacte et je lajuste vers lépicentre de ses fantasmes inavoués. Tu es sûre ?, dit-il encore. Mais je ne le laisse pas reculer. Pendant que je le regarde droit dans les yeux, je lui chuchote un dernier mot à loreille pour lachever : Maintenant, tu vas être toi-même. Tu vas être égoïste et profiter de ta petite ... bien soumise. Tu vas te taper un joli petit cul en feu. Une rondelle qui va te serrer la queue jusquà te pomper tout sperme. Tu seras content. Tu seras très heureux. La pénétration se passe plutôt mieux et plus vite que je ne redoutais. Je suis déjà remplie de ce pieu denfer et passées les caresses quon séchangeait le temps de bien me détendre, je me mets à monter et à descendre et à monter. Pas le temps de gémir, je râle de plaisir tellement je suis déjà excitée par nos précédents ébats. Lentement au début, puis de plus en plus vite. Je me sens déchirée et la sensation est étrange, mais cest une sensation pleine. Il me remplit et jai le vertige. Cest bon dêtre enculée par un homme aussi fort que toi. Cette fois, il nen peut plus. Il se raidit, se tord, se cramponne à mes fesses et pour la première fois, il crie pendant quil me gratifie de ses longs jets de sperme. Satisfaite de cette victoire pour notre couple, je membrasse comme si nous venions de nous rencontrer après une année dabsence. Lui aussi est heureux, délivré. Il me chuchote quil a jouit très fort, que ce nétait pas la sodomie, mais le fait que je me donne à lui de cette façon. Il me flatte et me supplie de lui faire ça toutes les nuits. Mais, comme je viens de comprendre quelque chose dimportant pour notre couple, je me retire de ses bras et, allant vers la douche, je luis lance comme une promesse que je compte bien tenir : Au cas où ta rien compris, demain, ce sera mon tour de t ... Je te lècherai ta rondelle et te doigterais comme il le faut avant, mais crois-moi, demain tu seras mon joli petit pédé. Enfin, je dis ça juste pour que tu puisse te concentrer sur ton travail pendant la journée.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Kevin :
Hum j'aimerai être ton amant on s'amuserait bien tous les deux dommage écris moi si tu veux
alexandre8819@yahoo.fr bisous et merci
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