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Histoire erotique : Joyeux anniversaire Samatha !

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    Histoire erotique : Joyeux anniversaire Samatha !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    couple baise

    L'alcool n'est, en général, pas conseillé lorsque l'on veut faire l'amour ; surtout pour l'homme. Cela a tendance à le rendre plus difficile à durcir. Ou alors, comme le champagne trop secoué, il peut partir très vite...

    Il y a 3 ans, j'avais un petit ami qui m'avait préparé une fête chez lui pour mon anniversaire. Il avait décoré son appartement avec des fleurs et quelques cœurs (car j'étais son petit cœur...et son petit cul aussi!) et il avait dressé une bien belle table, avec nappe en papier bleu (ma couleur préférée), des serviettes couleur or, et ses assiettes pour les grandes occasions. Il avait aussi sorti ses beaux verres et des flutes à champagne.

    Il m'avait bandé les yeux pour entrer et ce fut la surprise lors que je les ouvris.

    - Bon anniversaire, chérie, me dit-il, en m'embrassant sur la bouche.

    Son premier baiser fut un baiser chaste, mais ensuite il y ajouta la langue et se pelotonna contre moi. Je pouvais sentir sa bite durcir dans son pantalon, tandis que je me sentais euphorique, dans cette sensation où vous sentez que vous n'allez pas tarder à vous humidifier. En plus, il écrasait mes seins contre moi, ce qui contribuait à m'exciter.

    - Tu as dû passer beaucoup de temps à décorer ton salon?

    - C'est normal de se donner du mal pour la femme qu'on aime, non?

    Je l'avoue, il était craquant et avait de beaux yeux verts qui, sans ressembler à un mannequin, le sortait tout de même du lot. Sans compter que j'aimais sa gentillesse.

    Il m'embrassa à nouveau et me dit de me mettre à table.

    Comme il aimait cuisiner, je l'avais laissé faire et il commença à me servir une salade de pâtes aux légumes et truffes, suivie d'une poêlée de gambas flambés au whisky tourbé, avec ses champignons et sa croustade de pomme de terre. Il n'y avait rien à dire, mon amant s'était surpassé!

    Tout le repas était agrémenté d'un bon vin blanc collant parfaitement aux gambas mais la surprise vint après le dessert (un plaisir aux noix) : Damien me ramena une bouteille de champagne. Mais pas n'importe quel champagne : il s'agissait d'une bouteille de Dom Pérignon cuvée vintage, très frais. Lorsque l'on connait un peu le prix des alcools, j'ai su que Damien ne s'était pas moqué de moi en dépassant une telle somme pour ce type de champagne au lieu d'une bouteille à 30 euros en supermarché!

    - Wouah! fis-je, complètement sous le choc! Tu as dû y mettre le prix?

    - Ne t'inquiètes pas chérie! C'est juste pour te prouver combien je t'aime!

    Je vous l'avais dit : il était craquant.

    Damien fis sauter le bouchon et remplit d'abord ma flute avant de s'en verser. Il attendit que la mousse redescende un peu avant de finir de remplir nos deux verres.

    - A la tienne, mon amour.

    Je me levais et, ma coupe dans la main, je lui proposais de boire dans ma flute, tandis qu'il buvait dans la mienne. Nous avions donc croisé nos bras et buvions lentement ce nectar délicieux. Je l'embrassais ensuite et ses lèvres avaient le goût des bulles du champagne. Ce parfum de vin blanc très frais et fleurant bon la terre, la vigne et l'humus.

    Je bus une nouvelle gorgée et continuai d'embrasser mon petit ami.

    - Tu sais ce qui serait sympa? lui dis-je.

    - Non, mais tu vas me le dire.

    - Eh bien, ce serait de profiter de ton cadeau avec le mien.

    - Comment ça? demanda-t-il.

    Je lui fis mon plus beau sourire et j'entrepris de me déshabiller. Je ne m'étais guère couverte et il pouvait déjà voir mon soutif sous mon chemisier. Je me déshabillais comme s'effeuille la marguerite, en retirant successivement le haut, puis ma jupe...sous laquelle je n'avais pas mis de culotte!

    - Ah ah! je vois que tu te dévergondes, chérie! Et en plus tu t'es épilée complètement le minou! Tu sais, ça me donne une idée...

    Sans attendre ce qu'il allait dire, je le pris par la main et l'entrainait vers la chambre, tout en prenant la bouteille de champagne dans l'autre main. Je posais la bouteille par terre et tira le duvet complètement pour m'étendre sur les draps. Je pris la bouteille de champagne et m'en versais un peu sur le sexe.

    - Viens boire ton champagne, chéri...

    Je vis une lueur à la fois espiègle et coquine dans ses yeux. Ni une ni deux, il s'aplatit pour venir lécher mon entrejambe. L'absence de poils lui permettait de lécher, de manière hygiénique, mon intimité agrémentée du parfum du champagne et de ses bulles. Je sentais le coté un peu piquant du champagne sur ma vulve et commençais à aimer ce jeu.

    Damien passa sa langue sur tout mon sexe, clitoris compris, en en fouillant chaque coin et recoin, mordillant les lèvres, insistant sur le bouton d'amour au carrefour de mes replis de chair. Lorsqu'il n'en avait plus en bouche, il reprenait la bouteille et en versait à nouveau sur ma chatte. Bon sang que c'était bon et délicieux! Tout comme sa langue qui aimait jouer avec les préliminaires. C'était aussi pour ça que je l'aimais!

    Je sentais le plaisir arriver mais je lui dis de venir penser aussi à mes seins. Damien m'en versa alors un peu sur chacun de mes mamelons, en insistant bien sur chaque téton. Il aspira alors le liquide alcoolisé sur ma peau, léchant mes aréoles, suçant mes petits bouts qui étaient à présent bien durs. Je gémissais presque comme il s'occupait de mes seins, surtout que dans la foulée, je me caressais aussi le clitoris de la main droite ; histoire d'entretenir le plaisir à cet endroit.

    Damien me suça et me lécha les seins pendant bien cinq bonnes minutes avant que je ne lui dise d'autorité :

    - Maintenant, à toi! Je veux boire du champagne sur ta bite!

    Je lui sautais dessus et ouvrit la fermeture éclair de son pantalon, tout en enlevant le bouton pour mieux abaisser celui-ci, en même temps que son shorty. Son sexe était un beau membre bien dilaté, et surtout bien dur. Je n'aurais pas eu besoin de le sucer pour le faire durcir mais je versais quelques gouttes de champagne dessus et le lécha abondamment pour retrouver le goût de ce liquide pétillant. Des gouttes avaient coulées sur ses couilles et je me faisais un plaisir de les sucer et lécher pour j'en rien perdre du jus qui y avait coulé. Surtout que Damien adorait se raser les couilles. Il disait que cela lui faisait plus de sensation lorsqu'on le léchait sans poil à cet endroit. Et puis, c'était beaucoup plus sympa pour moi. J'en reversais plusieurs fois et le léchais avec passion.

    Damien retira ensuite le reste de ses vêtements et me reversa quelques gouttes de champagne sur le minou, écartant bien les lèvres pour que le liquide pénètre bien dans ma chatte. Il se faisait un plaisir de bien lécher et d'en aspirer le liquide mêlée à mes sécrétions de plaisir. j'étais littéralement mouillée, à la fois de l'intérieur et de l'extérieur.

    Damien s'enfonça ensuite en moi, doucement, puis de plus en plus violemment. J'étais tellement excitée que je sentis monter le plaisir de l'orgasme très vite.

    Damien reprit la bouteille et me vida quelques gouttes dans la bouche, avant d'en boire un peu aussi à la bouteille. Puis, nous nous embrassâmes, mélangeant nos salives avec ce liquide si cher et si luxueux.

    S’apercevant que la bouteille était vide, il répandit les dernières gouttes sur mes seins et, sortant de ma chatte, il entreprit de me branler avec le goulot de la bouteille.

    J'en riais, tellement c'était inhabituel et drôle. Et puis, je crois que je commençais à être un peu éméchée, à la fois sous le coup de l'alcool et de la passion amoureuse.

    Pendant que Damien enfonçait la bouteille de Dom Pérignon toujours plus profond, dans des mouvements de va et vient toujours plus rapides, il caressait aussi mon bouton d'amour. Là, je criais de plaisir, ne pouvant plus me retenir. Surtout que Damien avait commencé à tourner la bouteille dans tous les sens, ce qui ne faisait qu'ajouter au plaisir et la mouille qui inondait la bouteille et mon entrejambe.

    Puis, Damien me remit la bouteille et il me pénétra à nouveau, fort et vite. Il jouit assez vite et lâcha une quantité impressionnante de sa liqueur d'amour sur mon ventre et mes seins. C'était bien chaud et crémeux comme je l'aimais.

    après un rapide nettoyage, je poursuivais les agapes en me couchant à ses cotés sur le lit. Je le suçais avec avidité tout en me branlant avec la bouteille de Dom Pérignon que j'enfonçais au plus profond de moi tout en la faisant tourner. Cela me procurait de sensations nouvelles. Et j'ai jouis une nouvelle fois, très vite cette fois-ci, en criant fortement.

    Je me consacrais alors à mon homme sur lequel je suçais sa bite et léchais ses couilles alternativement ; quand ce n'était pas le contraire.

    Puis, toujours un peu éméchée, et pour rire, je pris la bouteille et décidais de caresser son anus avec.

    - Qu'est-ce que tu veux faire, petite coquine? dit-il en me souriant.

    Je lui répondis par mon plus beau sourire et, lorsque je sentis que sa fente rose était prête, j'enfonçais doucement la bouteille de champagne dans son anus, sachant qu'elle avait été bien humidifiée auparavant par mes sécrétions. Il fit une petite grimace lorsque le goulot passa le seuil de son trou du cul, puis se laissa faire, sans rien dire. Il m'aimait et jugeait que puisque cela me faisait plaisir, alors c'était bien.

    Je continuais de le sucer et le lécher et, sa bite redevint vite bien dure. Au bout d'un certain temps, il sentit qu'il était à nouveau prêt à éjaculer et lâcha à nouveau son sperme sur mes seins, bien qu'en quantité légèrement inférieure à la fois précédente. Il jouit bruyamment et retira de lui-même la bouteille entre son cul.

    Je ne sais si la bouteille l'avait émoustillée mais il avait bien aimé et cela avait augmenté sa jouissance.

    Depuis, nous l'avons refait plusieurs fois avec une bouteille de champagne, ou de vin lorsque nous avions moins d'argent, et nous y avons pris grand plaisir à mêler ces deux voluptés terrestres : le vin et le sexe!

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Samantha

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