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Histoire de sexe : La cougar et le livreur
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26Histoire de sexe : La cougar et le livreur
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/05/2015
Publié le 20/05/2015
Une vieille peau me suce alors que je venais juste pour lui livrer ses surgelés
Je suis Franck, j'ai 28 ans et je suis livreur de surgelés d'une firme bien connue dont je dois évidemment taire le nom ici.
Dans notre métier, nous rencontrons chaque jour énormément de clients à leur domicile.
Nous devons faire vite pour être efficaces et pour pouvoir livrer les produits à temps. Ce métier est bien stressant et vous avez intérêt à être plutôt dynamique et sportif pour pouvoir tenir la journée à livrer des cartons à tous les étages, toute la journée.
Mais la livraison dont je me souviendrai toute ma vie est celle de Claudine, une femme d'une soixantaine d'année et nouvelle cliente chez nous pour qui j'ai effectué la livraison de sa première commande.
J'ai conclu un rendez-vous chez elle pour 15 heures.
Elle m'assure que c'est le seul moment où elle est disponible, chez elle, car elle regarde son épisode quotidien des feux de l'amour.
Le reste du temps, elle le passe chez ses copines ou en sortie au grand air.
Je me présente donc à son domicile à 15 heures pétantes en sonnant à sa porte.
J'entends une petite voix au loin qui me cri qu'elle arrive. Je suis habitué à entendre les voix des vieux avant de les voir ouvrir après quelques minutes...Certains sont carrément équipés parfois d'un déambulateur et on a presque le temps de se taper une conversation par SMS avec un ami avant de les voir déverrouiller la porte et nous accueillir.
La porte s'ouvre et une femme en tenue très légère se présente à moi.
Je connaissais son âge et ne pouvait pas m'empêcher de rester stoïque devant cette femme qui semblait en faire beaucoup moins.
Un grand sourire aux lèvres, cette dame aux cheveux blancs, mais au corps encore bien entretenu, m'invite à entrer pour poser les cartons dans son salon.
Je prépare le bon de livraison à lui faire signer et ne peux m'empêcher de fixer son énorme poitrine qui semble encore ferme et qui déborde de sa petite robe de chambre légère.
Je me sens un peu gêné, mais tout à la fois excité par le spectacle.
Elle me grille alors en train de reluquer.
« -Vous avez quel âge jeune homme? » me demande-t-elle avec assurance.
Je lui réponds assez timidement.
« -Vous avez déjà vu une femme de 60 ans aussi bien foutue que moi ? »
De toute évidence, cette cliente n'est pas étouffée par la modestie. Mais je lui réponds poliment et avec diplomatie que non, et que j'étais même surpris et avait cru en la voyant que son âge indiqué dans son fichier était erroné.
La femme semble ravie et esquisse un énorme sourire avant de commencer à se coller à moi en écartant doucement les deux côtés de sa robe de chambre pour me faire voir encore plus en détail ses deux gros obus.
« -Cent pour cent naturels ! Encore ferme et je peux vous dire qu'ils ont fait tourner la tête à de nombreux hommes mes deux gros lolos adorés !!!! Ce n’est pas du faux comme la plupart des femmes de maintenant ! Vous voulez toucher ? »
Je fais un pas en arrière et imagine tout de suite la scène si ça venait à se savoir ! Ce métier n'est pas le job de ma vie, mais pour le moment il est le seul qui m'assure de pouvoir payer mes factures, et je compte bien le garder.
Je ne me risquerai pas d'avoir des histoires pour avoir peloté les mamelles d'une vieille cochonne de cliente excitée...
D'un autre côté, cette femme avait un je ne sais quoi qui me filer une demi gaule. Je n'étais pas habitué à mater les matures et encore moins à bander devant des vieilles, mais celle-ci avait un je ne sais quoi de plus que les autres qui forçait mon respect et me faisait monter aussi vite la gaule que ce que j'essayais de la faire redescendre.
Claudine saisit alors ma main droite, me surprenant, et tout en sortant un de ses énormes seins, me place la main dessus pour que je le saisisse entier dans la paume.
Je me retrouve avec cet énorme nibard dans la paluche et je ne sais plus quoi faire.
Je suis tétanisé.
Elle balance alors sa seconde main sur mon pantalon ,à hauteur de ma bite et commence à me caresser la teub qui ne tarde pas à gonfler et à montrer toute sa joie que lui procure ces caresses.
Je fixe cette bouche goulue de vieille truie qui commence à saliver et lui demande avec naïveté où elle veut en venir en faisant ça.
Sa deuxième main se dirige vers ma ceinture qu'elle détache avec habilité avant de dézipper ma braguette et voir ma bite bien dure jaillir hors de sa cage.
« -Madame ! Madame ! Que faîtes-vous ! On ne doit pas on ne... »
Elle était plutôt rapide pour une vioque puisque je n'avais même pas eu le temps de finir ma phrase que cette cougar mort de faim était déjà à genoux devant moi, la bite dans la bouche et le regard pétillant.
Je pose alors mes deux mains sur mon visage, pour masquer mes yeux et ne pas voir ce qu'il se passe. Mais je suis vite convaincue que ce n'est pas forcément si terrible que ça...
J'ai un comportement humain, social, je donne après tout un peu de plaisir à une femme qui n'a pas dû en avoir depuis un bail...
Elle est là, à s'activer à bouffer ma bite comme une goulue, un peu comme si c'était la dernière qu'elle aurait en bouche avant de rejoindre les cieux.
Alors que la musique de fin de son feuilleton se fait entendre dans sa télé, elle continue en donnant de bons coups de langue bien placés tout le long de ma verge.
De toute évidence, elle a une sacrée expérience de la pipe et je la soupçonne d'avoir dû dérouler un sacré kilométrage de câbles dans sa vie de petite coquine.
Elle se pelote les mamelles alors qu'elle a ma bite bien en bouche.
Elle sort ensuite ma teub de son gosier pour venir la faire caresser du bout du gland ses deux obus.
« Si tu veux, tu peux me jouir sur les seins ! »
Je saisis ma bite de la main droite et commence alors à me branler en la mettant de temps en temps avec ses deux engins bien fermes.
Elle penche un peu la tête en arrière, bombe le torse en avant et tout en saisissant sa poitrine à deux mains pas les côtés, me cale ma bite entre eux et commence à me faire une branlette espagnole.
Je n'en reviens pas de bander si dur devant cette vieille bique qui me plait encore plus que la grosse cochonne de 30 ans que j'ai en fond d'écran sur mon pc à la maison.
Et la voilà qui me suce le gland alors qu'en même temps elle me branle avec les seins.
J'en peux plus ! Je l'attrape par les cheveux à deux mains et lui dirige ma bite à nouveau dans la bouche.
« -Avale toute grosse cochonne ! »
Cette fois, c'est sûr...là je me suis lâché !
Je balance des coups de reins violents comme pour baiser l'intérieur de sa bouche.
J'essaie de fourre mon zob au plus profond du gosier de cette bonne suceuse et arrive à la faire parfois suffoquer.
« Ha tu veux de la bite ! Je vais t'en donner moi ma petite truie ! »
Je l'attrape par les oreilles afin qu'elle ne puisse plus retirer sa tête et continue a baiser l'intérieur de sa bouche. Des larmes coulent le long de sa bouche et elle semble apprécier ce forcing qui essaie de lui chatouiller les amygdales !
Je me retire un peu pour la laisser respirer et vérifier quand même que la vieille bique ne me fasse pas un malaise.
Elle rapproche d'elle même sa bouche avec vivacité pour engloutir mon sexe avec encore plus de violence et me fais comprendre qu'elle est bien déterminée à me faire jouir dans sa bouche.
Ce que je ne tarderai pas vraiment à faire.
Je lui ai lâché, ce qui m'a semblé être plusieurs litres de gicles, dans la bouche avant de vite me rhabiller et d'esquisser un petit sourire de soulagement.
Claudine s'est redressée, a remis sa robe de chambre correctement et m'a demandé combien elle devait pour régler la facture.
Je suis reparti de mon côté comme si rien ne s'était passé et elle en a fait de même, un grand sourire sur la face et après m'avoir raccompagné à la porte en me confirmant qu'elle repasserait une commande le mois prochain.
Je pense que j'ai trouvé mon vide-couille express mensuel...
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Commentaires
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