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Recit X : La mère de mon pote est une vraie salope

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    Recit X : La mère de mon pote est une vraie salope

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Vous ne le savez pas encore car c'est la première fois que je raconte ici une histoire intime qui m'est arrivé il y a de cela quelques jours, mais je suis ce qu'on appelle un vrai désaxé lubrique.
    C'est en quelque sorte un terme poli qui veut dire que je suis tout simplement un pervers sexuel.
    Et je ne m'en cache pas !
    Je me tire sur la nouille depuis tout jeune et je ne peux pas rester une journée sans devoir essayer de me concentrer pour faire dégonfler mon poireau qui s'excite à chaque fois que je croise une jolie nana que j'aimerai sauvagement baiser sur le moment même, dans un coin de rue où même sur le capot d'une voiture si elle ne peut pas plus attendre.

    Je suis un queutard et je ne le cache pas. J'en ai même fait ma force en me forgeant dans mon quartier, une réputation de mec qui saute sur tout ce qui bouge et qui l'assume entièrement.

    Je ne pouvais passer à côté, en voyant ce site, de l'envie de raconter ma première baise avec une couguar.
    Et croyez-moi, ça vaut le détour, car cette belle salope mature que j'ai culbuté comme une malade n'était autre que la mère d'un camarade de classe de la fac.

    C'était un mercredi après-midi, sous un froid glacial d'hiver, alors que je m'étais rendu pour la première fois de ma vie chez Fabrice, qui m'avait invité à venir jouer sur sa console de jeux.
    Lorsque je suis arrivé, je suis resté collé quelques minutes devant sa porte à taper timidement tout en sautillant sur place et en tapotant mes mains l'une contre l'autre, en soufflant dessus pour me réchauffer, tout en regrettant de ne pas avoir pris de gants.

    Lorsque la porte s'ouvrit, je cru voir une lueur éblouissante jaillir et m'aveugler.
    Se dressait alors devant moi, une femme d'une cinquantaine d'année avec une paire de seins à se damner et à se taper le cul par terre en même temps.
    Je ne voyais plus que ces deux énormes engins, moulés sous un petit pull fin et ne pouvais plus ensuite décrocher le regard de cette bouche à pipe qui me demandait quel était le but de ma visite.

    Je reprends alors mes esprits et essaie discrètement de descendre mon anorak pour masquer la bosse qui se fait de plus en plus imposante sous mon jean et l'informe que je suis invité par Fabrice pour venir jouer sur sa console.

    « -mon fils s'est absenté mais il ne m'a pas dit quand il revenait. Si Fabrice t'a invité, c'est qu'il en a pas forcément pour longtemps. Entre, je vais te servir quelques chose pour te réchauffer. »

    Je m'installe alors, après avoir retiré mon blouson, sur le canapé, les jambes bien serrées et les mains sur les genoux pour continuer à cacher mon érection qui n'arrivait pas à se dissiper.
    A chaque fois que je posais mon regard sur les deux gros obus de cette bombasse, je ne me voyais plus du tout en train de jouer à la console mais plutôt à léchouiller ces deux magnifiques melons.
    « -tu veux un chocolat chaud ? »
    Mon regard se fixe alors subitement sur une bouteille de whisky, posée bien en évidence sur une étagère, devant moi.
    Elle enchaîne alors :
    « tu as quel âge jeune homme ? »
    « Je viens d'avoir 18 ans il y a deux jours, madame ! »
    Elle se pince un peu la lèvre supérieure et continue alors en saisissant la bouteille d'une main.
    « Alors tu as l'âge de mon fils et tu peux donc profiter d'un petit verre de sky ! Ça sera plus efficace pour te réchauffer qu'un chocolat chaud »

    Elle s'assoie alors à côté de moi, remplie un verre et me le tend en posant son autre main sur ma cuisse. Puis elle s'approche doucement de mon oreille et me chuchote un truc délirant :
    «- ne t'en fais pas, je sais déjà que tu n'as plus froid et j'ai bien remarqué ta belle petite bosse sous ton futal ! »

    Elle réveille alors le pervers qui est en moi et qui commence à relâcher les cuisses pour ne plus cacher la bête.
    Je me penche en arrière et commence à basculer le verre dans ma bouche.
    Je sens alors sa main qui remonte jusqu'à ma bite et ouvre ma braguette.

    Je n'ai même pas eue le temps de terminer mon verre que la belle salope de maman avale goulue ment ma queue et commence à me pomper le dard avec douceur et délicatesse.
    Je n'arrive pas à réaliser que cette chaudasse qui m'a fait triquer dur depuis mon arrivée, et en ce moment même en train de m'astiquer le manche avec sa bouche.
    Je ne veut plus jamais partir de ce salon !
    Je lui caresse les cheveux et me concentre pour lui donner le meilleur bâton avec lequel s'amuser.
    Elle sait si prendre la gourmande ! Me léchouillant le gland puis descendant lentement avec sa langue le long de ma verge pour recommencer à avaler l'engin.

    Je la saisi encore plus fort par les cheveux et commence à baiser sa bouche avec mon sexe jusqu'à lui enfoncer au plus profond de son gosier ma bite bien dure.
    La voyant presque s'étouffer, je lui concède quelques secondes de répit en ressortant ma queue puis lui ressaisi la tête pour qu'elle recommence.
    Au bout de ce manège qui dura de longue minutes, je me mis à jouir dans sa bouche.
    Elle suffoqua un peu et recula la tête puis, un sourire en coin, elle commença alors à me nettoyer la teube, qui dégonflait, avec sa langue douce et humide.

    A peine ai-je eue le temps de lui sourire que le bruit de la porte d'entrée se mis à claquer.
    Elle se releva alors très vite et je rangeais à toute vitesse mon attirail.
    Fabrice, son fils est arrivé. Il s'étonne de me voir là, alors qu'il m'avait donné rendez-vous chez lui ce jour même, puis se souvenant de sa bourde, m'invite à monter dans sa chambre.

    Sa mère se dirige alors avec le verre vide vers la cuisine en me faisant un petit clin d’œil discret.
    Je ne connais pas son prénom mais ce n'est pas grave, je le demanderai à son fils tout à l'heure ou reviendrai pendant qu'il est en cours dans la semaine pour faire plus ample connaissance avec sa madré !

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par fantasmeur dz :
waowww tu es un chanceux, j'espere que tues repassé chez cette chaudasse, raconte nous la suite stp, j'ai hate lollll
Posté le par mamatt :
Une suite pour notre plaisir et srtt le tien
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Julien

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