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Histoire de cul : Le fantasme de l'infirmière...ça...c'est fait !

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    Histoire de cul : Le fantasme de l'infirmière...ça...c'est fait !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Le fantasme de l'infirmière...ça...c'est fait !

    Lorsqu'on est Parisien et que l'on descend sur la côte d'Azur pour la première fois, on a forcément l'ambition de voir du soleil, la plage, les palmiers et les jolies nanas.

    A peine débarqué de l'Aéroport de Nice, moi, ce que j'ai du voir en premier c'est un vieux pouilleux de docteur et une ambulance des plus sommaires.
    En effet, je venais d'être pris d'un malaise dans l'avion juste avant l'atterrissage. Et ce n'est pas cette jolie hôtesse blonde que je badais les premières minutes de vol qui allait arranger quoi que ce soit avec sonverre d'eau.

    On a dû m'emmener à l'hôpital pour m'examiner et me faire passer différents scanners...Tu parles de premières vacances dans la var !
    Cloué dans un lit à attendre le droit de passer entre deux vieux fossiles dans plusieurs salles d'examens.

    En définitive, pour tout paysage de juillettiste en vadrouille, j'avais de sinistres murs blanc et vert pastel et me retrouvais alité dans une petite chambre tristounette où je n'avait aucun espoir de trouver quelque activité à faire que ce soit !
    Cerise sur le gâteau, mon infirmière attitrée qui s'occupait officiellement de moi était une vieille peau toute ridée qui devait avoir dépassé depuis bien longtemps l'âge légal de la retraite.
    Elle avait aussi un sacré détail qui ajoutait une petite touche à son charme naturel : elle ne souriait jamais, ce qui permettait du coup à ses nombreuses rides sur le front de ne jamais bouger...
    Ma priorité du moment allait être de sortir au plus vite de cette prison.

    Le deuxième jour, le médecin qui s'occupait de mon cas est venu me voir pour la visite du matin et pour m'annoncer que je pourrai sortir le jour même en fin de journée.
    Rien que la bonne nouvelle de quitter cet établissement austère et ses zombies me faisait encore plus d'effet qu'un anti-inflammatoire !

    C'est alors, qu'en début d'après-midi, l'infirmière est arrivée dans ma chambre. Ce n'était absolument plus la même et je me surprenais du coup à regretter de devoir partir si tôt, comprenant que cette remplaçante venait de ranger 'mamie-momie' dans le placard à balais pour la relève.
    Elle était radicalement plus jeune, et je pouvais aisément deviner que la seule ride qu'elle avait, était certainement plus sexy que celles du fossile et sûrement pas sur son front.

    Elle avait les cheveux longs d'un noir ténébreux, un piercing au dessus de l'arcade sourcilière et sa blouse blanche bien serrée laissait entrevoir une poitrine généreuse qui appelait à la tétée !
    Elle m'avait même pas dit son nom que je bandais déjà sous les draps !
    Elle m’annonça se prénommer Eve et remplacer sa collègue qui devait certainement, en ce moment même, chercher les dernières toiles d'araignées au fond de son minou en regardant les feux de l'amour...

    Pour ma part, l'endroit devenait tout de suite plus agréable et je m'empressais alors d'essayer d'entamer une conversation avec la belle. Elle me fit sentir au travers d'un joli sourire qu'elle n'était pas indifférente à mon charme et qu'elle était tout à fait disposée à tailler le bout de gras avec moi.

    Je vous avouerai que ce n'est pas le bout de gras que j'aurai aimé qu'elle me taille la brunette !
    Après tout, on est dans un hôpital du sud de la France...les patients sont déjà tous condamnés avant même d'être rentrés et ce ne sont pas les dix minutes que je vais octroyer à la jolie nana qui changeront quelque chose dans leur programme du jour...

    Elle s'est assise à côté de moi et a répondu à la plupart de mes questions bateau avec conviction et un petit brin de folie.
    Je pose alors ma main sur sa cuisse en poussant une petit rire étouffé comme si elle venait de me raconter la dernière blague trouvée dans un carambar.
    Tout ce qu'elle me racontait m'intéressait bien sur...mais je vous avouerai qu'à chacune de ses réponses, j'entendais des mots très lointain et ne décrochais le regard pas de son énorme poitrine qui ne demandait qu'à être palpée avec douceur !

    Elle me demanda alors comment je me sentais.
    Je lui répondait très agilement que j'allais mieux depuis notre conversation et que je ne regrettais finalement pas d'avoir été obligé de finir dans cette chambre qui m'a permis de découvrir tous les charmes de la côte d'Azur !
    Elle s'est mise à rougir et, ne retirant toujours pas ma main de sa cuisse, s'est approché de moi en me soufflant :
    -Alors comme ça les filles du sud vous plaisent?
    Il me fallait quelques secondes de concentration pour ne pas répondre instinctivement ce que ma bite pensait tout bas.
    En effet, dans ce cas là, les premières paroles lâchées instinctivement auraient été plutôt du genre 'Oui et j'aimerai faire claquer mes couilles contre ton cul maintenant ' ou 'oui et j'aimerai voir si ma bite se plairai aussi bien entre tes deux gros nibards !'...
    -Oui, si elles sont toutes comme vous, je serai capable de rester vivre ici !

    Ma main a commencé alors à bouger pour caresser sa cuisse. A ma grande surprise, elle ne se trémoussa même pas.
    Au contraire, elle se mit à ôter le drap qui me recouvrait et glissa sa main dans mon caleçon tout en me fixant du regard avec un beau sourire.

    Elle savait s'y prendre pour prendre la température la garce !
    A peine ai-je eue le temps de lui rendre un sourire que je senti sa bouche avaler ma bite.
    Elle léchouilla alors les boules et je commençais à me persuader que mes vacances ne commençaient pas finalement, si mal que ça !

    Un petit bruit dans le couloir la fit sursauter et elle s'arrêta net.
    Quelques secondes après, elle replongea ma queue dans sa délicieuse bouche de velours et me pompa le dard comme si c'était le dernier qu'elle avait l'occasion de bouffer avant un long moment.
    Un autre bruit dans le couloir l'incita à stopper une seconde fois mais j’eus le réflexe de la saisir des deux mains par les cheveux et de lui maintenir ma bite au fond du gosier.
    Je lui donnais alors le rythme avec mes bras, bien déterminé à me servir de sa bouche comme d'un vide couilles express.

    Je bandais si dur en la voyant s'étouffer avec mon chibre que je me mit alors à jouir, prenant soin quand même de me retirer juste avant, en la lâchant de mes deux mains, et en lui repoussant le visage en arrière afin de ne pas lui cracher ma semence dans la bouche ou sur la face.

    Elle s'excusa, un peu de rimmel dégoulinant le long de ses joues, en prétextant que le va-et-vient dans l'aile du bâtiment pouvait la mettre en danger si quelqu'un la surprenait en train de faire des cochonneries avec un patient.

    Je lui fit comprendre que je comprenais la situation et maudissais le mec qui avait un jour pensé qu'il ne fallait pas mettre de verrous à la porte de cette chambre d'hôpital !
    Je lui aurai bien fait la totale, histoire de profiter également de son minou et de ces gros lolos fermes.
    Mais après tout, elle m'avait fait une pipe magistrale, m'avait fait gicler en quelques secondes et m'avait fait oublier la vieille biquette du jour précédent.
    Elle se leva et disparue aussi vite que ce qu'elle été apparue.

    Quelques minutes plus tard, le médecin est revenu dans la chambre pour m'annoncer que je pouvais partir à présent.
    Je lui suggérais de continuer peut-être les analyses, histoire de rester un peu plus longtemps.
    J'étais bien motivé...jusqu'à ce qu'il m'annonce le coût total des frais actuels d'hôpitaux à ma charge...

    Nicolas

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