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Recit porno : Lucie accueille un couple et va se taper le mari esseulé
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29Recit porno : Lucie accueille un couple et va se taper le mari esseulé
Corrigé et résumé par frtt le 10/11/2015
Publié le 10/11/2015
Hello tout le monde.
Première fois sur ce site, alors je pense qu’une petite description de ma modeste personne ne sera pas de trop.
Je m’appelle Lucie, j’ai 23 ans. Mes atouts physiques sont surement ma belle crinière brune qui tombe en cascade dans mon dos, mes hanches pleines et ma peau toute douce. Je suis une femme, une vraie, pas un de ces squelettes qu’on peut voir dans les magazines. Enfin je dis ça, mais peut-être que certains d’entre vous aiment les filles, très minces. Moi, en tout cas, j’ai des formes.
Il y a plus d’un an, mes parents ont eu un terrible accident de voiture. Je les ai perdus tous les deux... Ça a vraiment été difficile. Au début j’étais totalement dans le déni, je refusais de l’accepter. Et puis il y a eu le chagrin et le deuil. C’est dans l’ordre des choses qu’un enfant voit ses parents partir avant lui, mais ils étaient encore si jeunes... Je n’étais pas prête à encaisser cette épreuve, mais il a fallu que je me bouge, car malheureusement, la première leçon qu’on apprend lorsque l’on perd quelqu’un, c’est que la vie continue. Mon frère et moi avons laissé tomber nos études, et nous avons repris l’entreprise familiale. Pour nous, il était hors de question de laisser le projet de nos parents s’éteindre avec eux. À présent nous tenons des hébergements en roulottes.
C’est drôle, mais j’ai toujours pensé que mes parents n’étaient pas à plaindre et qu’ils avaient un bon boulot. Certes, comme nous sommes nos propres patrons, il n’y a personne pour nous hurler dessus. Mais il y a toute la paperasse, le stress et le boulot... Je me suis retrouvée plongée dans la dure réalité du monde des affaires... Un monde dont je n’avais absolument pas conscience. Et puis comme nous ne pouvons pas nous permettre d’embaucher du personnel, je dois m’occuper du ménage des roulottes… Au début j’avais du mal. Il faut être rapide et efficace, mais j’ai réussi à prendre le rythme. Mon frère lui s’occupe des repas et de l’entretien extérieur.
Enfin je ne suis pas ici pour vous faire un descriptif détaillé de mon travail... Passons aux choses sérieuses.
La semaine dernière nous avons accueilli un couple de trentenaires. Dès qu’ils sont arrivés, j’ai pu sentir la tension qu’il y avait entre eux. Lui essayait de sauver la face. Il était poli et avait le sourire, mais elle...
Le premier soir je les ai entendus avoir une violente dispute et le lendemain, quand je suis venue leur apporter le petit déjeuner, il était seul.
- Tout va bien ? me suis-je risquée à lui demander en lui donnant son plateau.
- J’ai connu des jours meilleurs... m’a-t-il répondu.
Il avait l’air si triste... et pourtant il était terriblement séduisant.
- Si je peux faire quoi que ce soit... ai-je dis.
- Merci, c’est gentil...
Il n’a rien ajouté et je l’ai laissé.
Pendant toute la journée qui a suivi, je n’ai pas arrêté de penser à lui. Le pauvre, partir en week-end en couple et se retrouver seul...
Alors le soir, j’ai pris une bonne bouteille de vin et je suis allée frapper à la porte de sa roulotte.
- Excusez-moi de vous déranger, mais j’ai pensé qu’un peu de compagnie vous ferait du bien.
Il m’a regardée de haut en bas, a semblé hésiter un instant, puis il m’a fait entrer.
- J’espère que vous aimez le vin.
- Pas vraiment, mais à situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle.
Nous nous sommes assis à table, il a débouché la bouteille et il a rempli deux verres.
Nous avons bu, encore et encore, en échangeant très peu. Je n’osais pas lui poser des questions, car j’avais peur de toucher une corde sensible. Lui semblait juste apprécier d’avoir quelqu’un à côté de lui.
Quand j’ai senti que l’alcool commençait à me faire un peu trop d’effet, j’ai décidé qu’il était temps d’aller me coucher.
Je me suis excusée de prendre congé, je me suis levée et je me suis dirigée vers la porte. Là, il m’a attrapée par le bras.
- Ne partez pas. A-t-il soufflé.
Il m’a attirée contre son corps et il m’a embrassée.
Surprise, au début je suis restée figée et puis une bouffée de chaleur m’a envahie et j’ai ressenti d’étranges picotements à l’intérieur de mes cuisses. J’ai entrouvert les lèvres et il a glissé sa langue dans ma bouche. J’ai eu l’impression qu’un incendie se propageait dans mon corps.
Tout à coup, tout s’est accéléré. Il m’a déshabillée en quelques minutes et je me suis retrouvée assise sur la table, complètement nue, les cuisses grandes ouvertes. Lui ne s’est pas embêté à enlever ses vêtements, il a déboutonné son pantalon et baissé son boxer.
La queue toute dressée, il s’est positionné debout entre mes jambes. Il m’a attirée le plus possible au bord de la table et il m’a pénétrée. Lentement, centimètre par centimètre, son sexe a glissé en moi jusqu’à m’emplir complètement.
Il s’est retiré pour se renfoncer plus profond et plus fort et j’ai eu l’impression de m’ouvrir complètement.
Il m’a baisée comme un fou. Il s’acharnait dans ma chatte comme un marteau piqueur et j’adorais ça. Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait l’amour et j’avais oublié toutes ces sensations puissantes qui explosent lorsque deux corps fusionnent.
J’avais chaud, j’avais froid, je ne savais plus. Il grognait tout en me pilonnant de coups de reins. Ses doigts s’enfonçaient dans la peau de mes cuisses.
Soudain il s’est retiré et il m’a fait descendre. Il m’a retournée dos à lui et m’a plaquée le torse contre le table. J’avais les fesses en l’air, je ne pouvais plus bouger et il m’a prise dans cette position.
C’était comme si je n’étais qu’un objet sexuel... Une poupée gonflable avec laquelle il pouvait faire ce qu’il voulait et aussi bizarre que cela puisse paraitre, j’aimais être traitée ainsi.
À chaque fois que sa queue s’enfonçait dans ma chatte, mes fesses claquaient contre lui et la roulotte bougeait dans tous les sens.
J’avais mal aux jambes et j’avais du mal à respirer, mais la délicieuse sensation de ses va-et-vient au plus profond de moi surpassait tout.
Il a donné un coup de reins plus violent que les autres et il s’est vidé bien au fond de ma chatte.
Il s’est écroulé sur moi, essoufflé. Les vêtements qu’il portait étaient trempés de sueur.
Quand il s’est retiré, je me suis rhabillée.
Nous étions tous les deux un peu... gênés... Alors je suis allée me coucher dans mon lit.
Le lendemain, il était parti. Sur la table où il m’avait baisée, il avait laissé un chèque pour son séjour.
Je crois qu’il était complètement perdu et peut-être qu’il a regretté ce que nous avions fait... Moi pas... Le travail ne me laisse pas beaucoup de temps pour avoir une vie sociale et pourtant rien de tel qu’une bonne partie de jambe en l’air pour vous donner la pêche.
Maintenant, j’ai peur que la prochaine n’arrive pas avant longtemps.
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