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Recit de cul : Mec marié baise avec d'autres mec
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13Recit de cul : Mec marié baise avec d'autres mec
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/07/2014
Publié le 24/07/2014
Bonjour à tout le monde !
Je m’appelle Jérémy, suis marié mais ne résiste jamais à me faire un mec quand ma femme est partie en vacances avec les enfants.
Alors voilà, ce que j'adore par-dessus tout c’est sauter des mecs en plein air, dans mon jardin... des mecs que je ne connaissais pas encore la veille. J’adore l’imprévu. Je me rappelle particulièrement bien de Cyril, c’était l’été dernier. Un mec très viril mais passif et super chienne comme j’en rarement vu. Je pense que j’aurai du mal à en retrouver un comme lui avant longtemps. C’est bien pour cette raison d’ailleurs que c’est le seul que je revoie pour le baiser de temps en temps. Une chienne a trouvé son maître, on pourrait dire ça comme ça.
Ce soir-là, la première fois que je l'ai vu, quand il sonne chez moi, je suis agréablement surpris de constater qu'il est bien comme il me l'a indiqué, c'est-à-dire viril et belle gueule. Nous allons directement dans le jardin derrière la maison. Je suis troublé lorsqu’il se met à poil le premier. Il a un corps superbe, tout en muscles.
Il s’allonge sur la pelouse, suivant le scénario dont nous avons déjà convenu au téléphone. Je lui fais écarter les jambes pour lui lécher immédiatement la raie. Quand ma langue arrive sur sa pastille, je la pointe pour la pénétrer comme si ma langue avait été une toute petite bite. Il pousse sur mon anus, comme s’il voulait chier, pour bien dilater sa rondelle et me l’offrir à bouffer. Mon doigt remplace ma langue dans son anus et le pénètre bien en profondeur.
Son anus se montre tout de suite très friand de mon doigt. Cyril a les jambes grandement écartées et se frotte la bite contre l’herbe de la pelouse tout en ondulant légèrement les hanches. J’en profite pour lui mettre un deuxième doigt aussi profondément que possible.
Après lui avoir travaillé le cul un petit moment, je lui indique de se relever et de me suivre jusqu’à la petite balançoire pour enfant au fond du jardin.
- Accroche-toi à la barre, j’ai envie de te travailler comme ça !
Aussitôt, il saute et accroche ses deux mains à la barre verticale. Ses pieds sont désormais dans le vide, à une vingtaine de centimètres du sol. Je sens que je vais prendre mon pied, et lui aussi d’ailleurs, c’est certain. J’emmanche un pouce dans sa rondelle et le tire vers le bas, comme pour lui allonger le fion et le transformer en fente ovale. Il gémit de plaisir. Il aime trop ça et moi je trique comme un malade, impatient de tirer son cul. Mais patience, chaque chose en son temps, il faut d’abord bien lui chauffer le cul.
Je commence à imprimer un mouvement de balancement à son cul en poussant mon pouce d’avant en arrière, sans oublier de tirer mon pouce vers le bas pour lui allonger sa chatte de mec. Et le voilà qui fait de la balançoire avec mon pouce dans le cul. Trop excitant !
Me vient une nouvelle idée… Je tire le tuyau d’arrosage vers moi et je vais ensuite allumer le robinet. Comme je ne lui ai rien dit de spécial, en mec bien obéissant, Cyril reste suspendu à la balançoire.
Armé du jet d’eau, je commence à l’asperger de la tête aux pieds. Puis c’est sa belle croupe de mâle que je vise et plus spécialement le fion.
- Ca te plaît, hein, de te faire branler le cul comme ça ?!!
Pour me montrer qu’il apprécie le traitement, le voilà qui écarte ses jambes au maximum, ça se voit que c’est un sportif et que l’effort ne lui fait pas peur. Je vise bien le fion avec le jet d’eau. L’air est encore chaud en cette fin de journée. Et même si l’eau est froide bien sûr, ça fait du froid sur du chaud vu comme il a le cul bien chaud, le Cyril.
De mon côté, ma bite n’en finit plus de durcir, encore emprisonnée dans mon futal. Je me décide à la sortir et la tripoter un peu tandis que je continue de lui branler le fion avec le jet d’eau, pleine puissance cette fois.
Bon ok, on est venu pour s’amuser un peu mais il s’agirait de passer à des choses plus sérieuses. Je demande à Cyril de venir se présenter à genoux devant ma bite.
Comme il commence à la pomper, je l’arrête net et lui dis :
- Pas si vite, pas si vite !
Je lui confisque ma bite de la bouche et me mets à lui frapper tout le visage avec ma tige de chair bien dure.
- Ma grosse queue, elle se mérite, mon gars ! Je veux d’abord que tu me bouffes les couilles bien comme il faut.
Je n’ai pas besoin de le lui dire deux fois, Cyril entreprend aussitôt de me lécher les couilles, limite timidement.
- Tu crois que c’est du bon travail ça ?!! lui dis-je en lui flanquant un grand coup de bite sur la figure.
Je crois qu’il a compris ce que j’ai voulu dire. Il se remet au travail mais cette fois-ci, il me broute littéralement les burnes.
- Ah, c’est mieux ça ! Vas-y, mange bien !
Il me dévore les couilles, c’est le mot, l’une après l’autre ou les deux en même temps dans sa bouche.
- C’est bon, maintenant tu peux passer à la queue ! Mais sans les mains !
Il se débrouille pour me choper le gland dans sa bouche, il me le suçote amoureusement mais moi je veux du plus hard que ça. Je le saisis par ses cheveux mouillés et lui plante une bonne partie de mon morceau dans la gueule.
Le Cyril se fait défoncer la gueule par ma pine et ça à l’air de lui plaire, à en juger par ses gémissements mêlés aux bruits de succion.
Tout d’un coup, n’y tenant plus, je lui confisque à nouveau ma bite et je le repousse si fort qu’il bascule de tout son long dans l’herbe. J’ai trop envie de le baiser, là, maintenant.
Je m’allonge près de lui, sur le dos et la bite en main…
- Viens te baiser là-dessus ! lui dis-je en lui désignant ma bite
Cyril se redresse, vient se positionner à la verticale de ma queue et le voilà qui s’enfile tout seul, comme un grand, sur ma bite gonflée.
Je n’ai même pas besoin d’aller et venir dans son cul, il se baise tout seul, avec sa rondelle qui se resserre bien sur ma queue. Je me décide à imprimer quelques coups de queue, bien profonds, pour bien le faire jouir du cul.
Une nouvelle idée me vient tout çà coup. Je lui demande de tout arrêter et d’aller me chercher la chaise de jardin, là-bas.
J’y prends place, et je lui demande de venir s’asseoir sur moi. Il est prêt à s’empaler quand soudain je le saisis par les hanches et le soulève légèrement. L’objectif va être qu’il s’empale violemment le cul d’un seul coup jusqu’au fond. Son cul est bien ouvert et ça ne devrait pas lui faire mal.
Son cul me surplombe la bite d’une vingtaine de centimètres maintenant. C’est le moment, je l’agrippe violemment par les reins, et le tire vers ma queue. Il s’empale alors de tout son poids tout en poussant des gémissements de chienne en chaleur.
Après ce petit numéro d’acrobatie, je lui demande à nouveau de se défoncer lui-même le cul sur ma tige. Je suis du genre fainéant, vous avez remarqué ? Avec des chiennes comme Cyril, on n’a pas grand-chose à faire, c’est bien reposant.
A mesure qu’il s’encule sur ma queue, je le masturbe pour qu’il jouisse aussi par la bite. Je suis bon prince. Mais ce petit traitement de faveur n’est pas sans risque car il jouit quasiment l’instant d’après.
Pour ne pas être en reste, je lui demande de venir me finir en me suçant. Il se met à me pomper, tout aussi vaillamment qu’au début, tant est si bien que je lui envoie toute mon foutre sur sa belle petite gueule de mâle.
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