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Histoire de sexe : Partie de jambe en l'air dans la cuisine

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    Histoire de sexe : Partie de jambe en l'air dans la cuisine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Sexe dans la cuisine

    Virginie, la coquine amie de ma copine
    Erica et moi allions fêter notre première année de couple. Nous avons convenu d'organiser une soirée chargée et riche en émotion, mais tout compte fait, elle me faisait savoir qu’une petite soirée à deux pleine d’intimités lui convenait amplement. Elle ne travaillait pas à l’époque, et elle avait une cousine, Virginie, qui partageait le loyer avec elle. Virginie était une femme très séduisante. Dans la trentaine, plus âgée qu’Erica, elle ne m’était pas indifférente, et j’avoue qu’elle me faisait quelque chose. J’apprenais plus tard qu’elle a déjà un enfant dont elle n’avait pas la garde.
    Pour ma soirée avec Erica, j’allais réserver une petite chambre d’hôtel ou nous allions passer la nuit, mais elle refusa. Je comprenais enfin qu’elle ne souhaitait pas faire de dépense inutile, et qu’il fallait mettre de côté. Tu passeras la nuit à la maison, me dit-elle, mais Virginie ne dormira pas au milieu ! Elle me l’annonça avec le sourire, probablement sans arrière-pensée. Erica est une femme sincère et droite qui ne soupçonne pas le mal chez autrui. Je ne me voyais pas sans elle dans le futur.
    Comme d’habitude, je sortais du bureau à 16h30. Je devais faire quelques courses, ramener deux ou trois bouteilles de vin rouge et quelques amuse-gueules. Nous avons commandé un gâteau chez un pâtissier qui est un ami de la famille d’Erica, avec nos deux noms dessus. C’est elle qui devait s’en occuper. Je me hâtais, je devais la rencontrer et la serrer fort dans mes bras.
    Arrivé chez elle, c’est Virginie qui m’ouvrit la porte. À ma plus grande surprise, cette dernière aurait quitté le travail plutôt que prévu. Une petite bise à l’entrée, elle m’invita à m’installer dans le salon pour attendre l’arrivée d’Erica. Apparemment, elle n’a pas eu le temps d’aller chercher le gâteau dans la journée. Virginie de son côté se préparait à prendre une douche. La pauvre a eu du mal à défaire la fermeture de son haut, et demanda mon assistance :
    - Guillaume, peux-tu me donner un coup de main s’il te plait ? Descends la fermeture de mon haut, je ne peux pas le faire, c’est Erica qui m’a aidée ce matin.
    Je me suis levé, et me suis approché d’elle pour l’aider. L’idée me faisait un peu palpiter, et j’avais une petite érection. Sans le faire exprès, je me suis peut-être un peu trop rapproché d’elle, que mon sexe déjà un peu dur avait cogné sa jambe.
    - Oh lala, le petit coquin me dit-elle. On dirait que t’as la gâchette facile.
    Virginie me lançait ça avec un sourire qui me faisait penser qu’elle avait envie de tenter quelque chose. J’essayais cependant de rester raisonnable, et je me suis excusé auprès d’elle. La situation était presque honteuse pour moi. De quoi t’excuses-tu ? me dit-elle. Cela ne me dérange pas si t’es le copain de ma cousine ! Nous nous sommes fixé un court moment dans les yeux, sourire aux lèvres, et je caressai son visage en lui avouant que cela ne me dérange pas non plus qu’elle soit la cousine d’Erica. Tout était dit, et c’est maintenant ou jamais. Je me suis alors approché d’elle pour lui rouler une pelle. Sa main m’agrippait la queue, tout en cherchant à ouvrir ma braguette. Je me retirai un peu d’elle, et j’enlevai mon pantalon. Elle se mit à s’agenouiller devant moi, et branla mon sexe avec sa main gauche, me fixant toujours dans les yeux. Elle commença avec quelques coups de langue sur mon gland, sans arrêter de bien la branler. Elle le mit ensuite dans sa bouche, et m’attaqua avec d’énormes coups de va-et-vient. Mon sexe ne cessait de durcir. Elle l’enleva un court moment, le branla toujours avec un peu de salive, et passais sa langue sur mes testicules. J’ai affaire à une pro de la fellation. Je n’en pouvais plus. Je la soulevai lentement en lui priant de venir dans le salon pour la pénétrer sur le canapé. Tu es fou me disait elle. Erica pet revenir à tout moment. Soit tu me prends ici, debout, dans la salle de bain, soit nous allons remettre ça à un autre moment. Impossible de rater une telle occasion bien que le risque demeure, et il n’était pas question pour moi d’attendre. Je lui enlevai délicatement ses habits, et me suis placé derrière elle. Automatiquement, Virginie s’est placée dans une position encore plus bandante, debout, me tournant le dos, mettant en avant la beauté de ses formes. Je lui passais délicatement mon sexe dans son vagin. C’était chaud et agréable. Je n’osai pas lui mettre d’énormes coups de reins, mais c’est elle qui venait vers moi, rapportant ses fesses, pour m’inciter à aller plus fort et plus vite. Je ne faisais que suivre le rythme tout en y prenant gout.
    Je m’enivrai d’un cocktail d’excitation et de peur. L’idée de se faire surprendre par Erica me hantait l’esprit, et je dois dire que cela m’excitait encore plus. Je n’allais quand même pas jouir et me faire passer pour un chaud lapin, en plus d’avoir la gâchette facile. Je me retirai de Virginie, et en profitais pour lui lécher les seins. Elle me semblait hypnotisée et n’était plus maitre de son corps. Cette fois-ci, j’étais résolu à en finir. Peux-tu te mettre à 4 pattes s’il te plait ? Lui demandais-je gentiment. Elle m’obéissait sans hésiter. Je me plaçais derrière elle, la jambe droite soulevée, et la gauche à genoux, et je remis mon sexe dans son beau vagin. Je fis pleuvoir les coups de queue, et soudain, elle criait fort que quelqu’un risquait de nous entendre. Je m’arrêtai un court moment, et je sentis quelques crispations au niveau de son vagin. Elle venait de jouir. Je recommençai le va-et-vient, et Virginie tentait de me caresser les testicules entre ses jambes. Je n’en pouvais plus, j’ai tout lâché en elle.
    Une fois l'acte terminé, nous nous levions de notre position, et faisant un petit bisou coquin, elle m’annonçait qu’elle souhaitait recommencer dès qu’on aura l’occasion.
    Erica mettait du temps à revenir du pâtissier. Il fallait que je récupère et que je me rince un peu le sexe, car ma petite gourmande de fiancée ne me laissera pas de répits après.


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