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Histoire erotique : Partouze dans les douches de la piscine
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51Histoire erotique : Partouze dans les douches de la piscine
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 28/11/2015
Publié le 28/11/2015
L'incroyable histoire qu'il m'a été rapporté tient sa place dans un centre nautique, pendant la saison hivernale. Son héroïne, Laurence V., est une cliente régulière de cet établissement. Énergique , par nature, elle adore faire quelques longueurs, dans la semaine, dans le bassin olympique extérieur.
Cet après midi là, Laurence était dans une forme exceptionnelle. Le moral était bon et les longueurs défilaient sans un temps d'arrêt. En raison du froid, il n'y avait que quelques adolescents accompagnés de leurs mères dans le bassin.
Après un effort intense et suffisant, Laurence se rendit à l'intérieur de l'établissement pour profiter d'une douche bien méritée. L'eau délivrée était chaude à souhait. Au bout de dix minutes de détente, elle commençait juste à se couvrir de gel douche quand les ados sont entrés à leur tour pour se doucher. Elle commença à mater en coin ces nageurs musclés, et pu apprécier la puissance de leur poitrail. Dans son imagination, Laurence commençait à visionner le fessier de ces mâles sportifs. La chaleur aidant, elle commença à adopter une attitude lascive.
Commençant à avoir chaud, elle décida soudainement de dégrafer son soutien gorge. La cinquantaine épanouie, Laurence exhibait des seins généreux et provocants. Fière de ses formes, elle commença à se les masser sensuellement. La conversation des ados s'est alors brutalement stoppée quand ils l'ont surprise en plein massage mammaire. Devant ce spectacle, ils n'arrivaient plus à suivre le cours de leurs pensées. Ayant remarqué le silence assourdissant qui régnait dans la salle de douche, elle se mit à enlever sa petite culotte devant ces ados musclés interloqués. Pour sa toilette intime, elle entreprit d'écarter ses cuisses pour mieux se les caresser contre le mur de la salle. Complètement médusés, les garçons pouvaient mater son fessier ferme et rebondi ainsi que sa parfaite épilation. Leurs maillots de bain avaient du mal à contenir leur début d'érection.
L'ambiance tournait au torride. Les mères de famille sont alors entrées à leur tour dans la salle pour rejoindre leurs ados. Surprises au début, de découvrir le corps ferme et dénudé de Laurence, elles sont restées en arrêt quand elles ont découvert les visages rouges de leurs ados et leur maillot de bain sur le point d'exploser. Elles hésitaient sur l'attitude à adopter. L'une de ces mamans, brune, sportive et élancée, plus audacieuse ou plus excitée que les autres, se dirigea calmement vers son fils avec un sourire malicieux. Arrivée à son niveau, et devant toutes les autres mères, elle glissa sa main dans le maillot de bain de son fils et se mit à masser son sexe en matant les autres mères. Encouragée par leur étonnement, elle plongea sa main plus profondément dans le slip de son fiston pour titiller les testicules qui avaient les dimensions de celles d'un taureau. Elles purent, alors, mater l'ado qui fermait les yeux de plaisir et virent son slip de bain se développer à vue d'œil. Doucement, la maman commença à baisser le maillot de bain de son ado pour en libérer un sexe impressionnant. Excitées devant ce spectacle , les autre mères se regardèrent entre elles et se dirigèrent ensuite, de concert, vers Laurence qui commençait à mater cet énorme phallus avec gourmandise.
Elles entourèrent Laurence pour commencer à la caresser et l'embrasser devant les autres ados. Elles glissèrent des mains entre ses cuisses pour se diriger ensuite vers son clitoris. Étant réceptive, elle écarta davantage ses cuisses pour que les doigts explorent son intimité. Excités par ce spectacle, les garçons décidèrent d'enlever leur maillot de bain pour exhiber des sexes de taureau. En reluquant ces énormes bites, les mamans ordonnèrent alors à Laurence de se mettre à genoux pour rendre honneur à cette vision bénie. Hypnotisée par ces bites monstrueuses, elle se retrouva genoux à terre sans s'en rendre compte. La maman la plus excitée amena son fils devant le visage de Laurence qui n'en croyait pas ses yeux. En tenant toujours la queue de son fils, la mère ordonna à Laurence d'ouvrir la bouche en lui affirmant qu'elle allait savourer un morceau de choix. Elle lui glissa alors à l'oreille qu'elle avait intérêt à faire gicler son fils devant ses copines qui mouillaient déjà.
Laurence commença alors à saisir cette queue musclée qui sentait la javel. Doucement, elle glissa le sexe dans sa bouche devant toute l'assistance qui la reluquait. Elle sentait qu'aux yeux de tous elle était en train de devenir une putain. Elle sentait qu'elle se transformait en déesse des suceuses. Cette pensée commençait à l'émoustiller. Quitte à devenir une prostituée , elle comprit qu'elle devait devenir la meilleure gagneuse entre toutes. Elle voulait devenir la reine des salopes.
Sans crier gare, elle enfonça le sexe de l'ado au fond de sa gorge. Celui ci pris alors la tête de Laurence entre ses mains pour l'aider à fourrer son sexe. Stimulée par ce spectacle, la maman a commencé à caresser les fesses musclées de son fils devant le groupe. Encouragée par ses copines, elle se mit alors à genoux derrière son fils, pour lui écarter les fesses et glisser sa langue dans son anus . Elles applaudirent alors toutes de joies devant ce spectacle torride.
Pour le plus grand ravissement de ces mamans, Laurence imprimait, en même temps, un mouvement de va et vient de plus intense autour de la bite de l'ado. Celui ci, entouré de Laurence et de sa maman, sentait la sève monter dans son engin quand soudain il gicla de toute sa vigueur son nectar dans la bouche ouverte de Laurence. Sa mère et ses copines étaient aux anges. Laurence avait le visage recouvert de foutre chaud.
Excitées comme des femelles en chaleurs, elles s'emparèrent de Laurence et la forcèrent à se mettre à quatre patte pour lui écarter ses cuisses. Son sexe était ainsi exposé au regard de toutes les mères déchainées. Sentant qu'elle n'était plus réduite qu'à un rôle de chienne, elle cambra davantage ses reins pour rajouter à la chaleur ambiante. L'une d'elles glissa alors un doigt dans l'anus de Laurence et demanda aux autres mères de préparer la queue de son ado afin de défoncer ce cul de salope. Sans se faire prier, celles ci se mirent en devoir de sucer cette bite musclée afin de la durcir à souhait.
Une fois prête, le garçon amena sa bite devant sa mère qui se mit en devoir de la faire glisser, elle même, dans la rondelle dilatée de Laurence. Ayant déjà le sexe d'un nageur dans la bouche, celle ci gémit de plaisir en sentant le phallus s'enfoncer dans ses entrailles. Devant sa mère, l'ado saisit alors les hanches de Laurence pour commencer à la pilonner sauvagement. Devant un tel défoulement sexuel de son fils, la maman, rousse et svelte, ne put se retenir. Elle quitta son soutien gorge et fit glisser son maillot de bain pour dévoiler à ses copines des formes fermes et généreuses. Allongée sur le sol dallé, elle écarta ses cuisses pour commencer à se caresser la chatte. Une de ses copines, totalement fascinée par ce début de masturbation, s'approcha d'elle puis glissa sa tête entre ces cuisses afin de lécher cette chatte totalement lisse et épilée. Un nageur en rut vint alors se joindre à la partie en glissant dans la bouche de la maman son énorme sexe. Observant sa mère en train de se faire sodomiser au fond de la salle de douche par un de ses copains, il commença à se masturber dans cette bouche assoiffée de foutre. Plongeant son regard dans celui de sa génitrice, qui commençait à se faire défoncer l'arrière train, il déchargea toute sa semence dans la gorge de sa partenaire sexuelle.
Laurence avait réussi son effet. Avec un sexe d'éléphant dans la gorge, et un autre qui lui ramonait le con, elle savourait cette fantastique partouze. La compétition de natation s'était transformée en compétition sexuelle où chaque maman vantait la puissance virile de son étalon, quitte à ne plus devenir que les objets de plaisir de leur ado et de leur copain. Ainsi les mères présentes étaient toutes à poil, en train de se faire reluire la foufoune par leur ado et copains. Elles s'étaient transformées en chiennes lubriques, suçant à gorge déployées la bite de leurs ados et offrant leur corps impudique au regard gourmand de leur copine.
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