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Histoire erotique : Petit écart avec le petit frère de son meilleur ami
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37Histoire erotique : Petit écart avec le petit frère de son meilleur ami
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 23/05/2014
Publié le 23/05/2014
Bonjour à tous,
Tout d'abord merci à vous pour vos histoires, plus excitantes les unes que les autres, et qui n'en finissent pas de rendre ma chatte toute humide..
À force de venir me faire plaisir sur ce site, je me suis dit qu'il était temps que ce soit à moi de vous faire partager ce qu'il m'est arrivé dernièrement.. ;)
Je me présente, je m'appelle Eva, je suis une étudiante de 22 ans ! Physiquement, je ne suis pas trop mal, métisse à la peau caramel, de grands yeux marrons, des cheveux châtains longs et ondulés, et un sourire dont j'avoue user quand c'est nécessaire ;) Je mesure 1m65, je suis plutôt mince,j'ai de grandes jambes élancées, ainsi qu'une poitrine ronde et ferme ornée de petits tétons qui pointent à la moindre occasion !
Il y a un peu moins d'un mois, j'étais invitée à une soirée chez mon meilleur ami Alexandre. Pour l'occasion j'avais enfilée ma robe préférée, noire, courte et près du corps, entièrement fermée par une ligne de bouton sur le devant, relevant ma poitrine d'une telle façon, que bien qu'elle ne soit pas particulièrement opulente, celle-ci s'offrait à tous les regards en pigeonnant généreusement. J'avais laissé tomber mes cheveux en cascade sur mes épaules, maquillé mes yeux d'un simple trait de crayon et mes lèvres pulpeuses de rouge à lèvre bordeaux. Une fois mes talons compensés aux pieds, je m'y rendis donc, bouteille dans le sac, avec l'espoir d'y rencontrer de nouvelles têtes que je ne manquerai pas de faire tourner.
La soirée se passa à merveille, l'alcool aidant, je me souviens encore n'avoir pas cessé de rire, et de danser, seule et accompagnée, même si aucun de mes prétendants ne constituait alors une proie intéressante.
Vers 3h30 du matin, la tête qui tourne, je sortis fumer une clope dans la rue, quand j'aperçu Nathan, le petit frère d'Alex, assis sur le trottoir, au téléphone.
Il m'aperçu, je lui fis un signe pour lui demander s'il préférait que je le laisse seul, mais il me sourit et raccrocha.
Je vint donc m'installer à ses côtés sur le trottoir, tout en tirant sur ma robe qui remontait dangereusement. Cela le fit éclater de rire, et il me dit "tu peux la laisser tranquille tu sais, ça ne me dérange pas le moins du monde !". Je me souviens encore avoir rougi (heureusement ça ne se voit pas avec ma peau métisse, mais moi je le sens !), quel culot ! Je connais Nathan depuis qu'il a 5 ans, il est de deux ans le cadet de son frère, et il ne s'était jamais permis de telles insinuations. Je roulais donc des yeux et lui adressa un "ha ha" très sarcastique, tout en ne pouvant m'empêcher de sourire.
Sans même m'en rendre compte, je détaillai son corps. 1m75, particulièrement musclé, il m'était souvent arrivé de laisser mon regard se balader sur son corps d'apollon quand nous étions à la plage, mais sans arrière pensée, simplement par pur plaisir des yeux. Des bras puissants, de larges épaules, un torse dessiné et taillé en V, et un cul rebondi (dont à son grand dam son frère n'a jamais hérité :p).
Ses yeux verts me scrutait d'une manière déstabilisante, mais il rompit le silence "je rigole Eva, tu es très belle ce soir, comme d'habitude".
Il ne m'avait jamais sorti de compliments, encore moins sur ce ton, si profond. Pour la première fois je ne le considérai pas comme Nathan, le petit frère d'Alex, mais comme un homme, sacrément attirant d'ailleurs. Tant et si bien que je senti que mes tétons se dressaient automatiquement, et évidemment mon regard qui se baissa pour constater ma sensation, me trahit aussi vite, et il remarqua mes seins se tendre sous le tissu de ma robe.
On releva les yeux au même moment et nos regards se plongèrent l'un dans l'autre, l’électricité qui passait entre nous était palpable, mais je n'arrivais pas à admettre qu'il s'agissait de tension sexuelle, il s'agissait de Nathan !! Le petit frère d'Alex mon meilleur ami et ami d'enfance, ce qui se passait là ne rimait à rien, mais pourtant, je n'arrivais plus à détacher mes yeux des siens et mon regard se perdit dans les méandres verts du sien.
C'est alors que sans même détourner son regard, il avança sa main vers moi et passa délicatement son pouce sur mon téton gauche, qui poussa encore un peu plus le tissu de ma robe à ce contact.
Je retins mon souffle en sentant la chaleur de cette caresse m'envahir, il accentua la pression et se mis à effectuer des cercles sur mon téton.
Je n'arrivai plus à réfléchir et commençai à sentir l'humidité envahir mon entrejambe.
Il avança son autre main et me saisit le visage, il passa son pouce sur mes lèvres, déjà entrouvertes par le plaisir, et sans même m'en rendre compte ma langue vint à la rencontre de sa peau, il engouffra son doigt dans ma bouche et je refermai mes lèvres dessus, sentant son pouce aller et venir d'une manière plus que sensuelle.
Il le retira, m'attrapa le cou avec sa main et m'approcha si près de lui que mes lèvres frôlèrent les siennes, je pouvais sentir son souffle chaud, son haleine alcoolisée se mélanger à la mienne. Dans le même temps son autre pouce arrêta le calvaire qu'il infligeait à mon téton si sensible et s'empara fermement de mon sein, le malaxant avec force.
Je restai ainsi, le souffle court, dans l'incapacité de comprendre ce qui était en train de se produire. Je me laissais faire, mais était incapable d'entreprendre quoi que ce soit, comme écraser mes lèvres sur les siennes bien qu'elles en mourraient d'envie. Il le sentit, fit glisser sa main le long de ma nuque et avec l'aide de son autre main, entreprit de défaire les premiers boutons de ma robe.
Je sentit l'air frais s'y insinuer, électrisant mes tétons un peu plus. Une fois ma poitrine libérée, il la saisit fermement de ses deux mains, la malaxa, tira sur mes tétons, les fit rouler entre ses doigts. Frôlant ma bouche avec la sienne encore une fois il la descendit le long de mon coup et se mit à l'embrasser sauvagement, je ne pu refréner un râle de plaisir. Il descendit encore, et ses mains laissèrent place à sa bouche et à sa langue, qui lapèrent, sucèrent, gobèrent, et mordillèrent avec avidité, mes seins exposés.
Je suffoquai littéralement, la situation m'échappait complètement, mon souffle était court, je ne pouvais plus contenir mes gémissements, et me laissa aller au plaisir, tout en sentant ma chatte se liquéfier.
Il du me sentir me détendre, c'est pourquoi je sentis ses mains défaire les boutons du bas de ma robe, instinctivement j'écartais mes jambes, et sentis les doigts d'une de ses mains s'insinuer entre mes jambes pendant que l'autre s'accrochait fermement à ma cuisse.
Sa bouche continuait de sucer mes tétons, et quand je sentis ses doigts entrer en contact avec la dentelle de mon string trempé, les dernières parcelles de retenue qui me restaient tombèrent. Je plongeais ma bouche sur sa nuque, l'embrassait, mordait le lobe de son oreille.
Ses doigts frottaient avec une lenteur toute calculée ma chatte, encore couverte de mon string, je sentais la chaleur m'envahir.
Puis ses gestes s’accélérèrent, il frottait avec vigueur, les accentuant au niveau de mon clitoris, et mon bassin accompagna ses doigts d'un mouvement de va et vient.
Je n'arrive pas à effacer de ma mémoire le frisson qui m'a parcouru l'échine, lorsque ses doigts passèrent sous mon string, et que je sentis la fraîcheur de ses doigts tout contre ma chatte. Il releva la tête et me regarda dans les yeux, puis plongea sur mes lèvres tout en enfonçant deux de ses doigts dans ma chatte humide. Il me doigtait avec intensité tout en massant mon clito avec son pouce, et nos lèvres ne se décollaient plus. Il me mordait la lèvre avec sauvagerie, et la minute d'après passait sa langue avec tendresse sur mes lèvres endolories.
Il recula sa bouche d'un centimètre et me susurra "t'aime ça hein", ça n'était pas une question, il n'y en avait pas besoin, mon corps criait déjà la réponse, mais dans un souffle je répondis "huum ouais", subitement coupé par la sensation d'un troisième doigt s'enfonçant avec force dans ma chatte déjà occupée. La sensation fut immédiate et je sentis un intense orgasme m'envahir, faisant trembler tous mes membres, et mes bras tendus derrières moi pour me maintenir en position assise s'écroulèrent sous le tsunami qu'il provoquait en moi. Je me retrouvai allongée, pratiquement nue sur le trottoir, sa main fouillant encore en moi jusqu'à ce que mon râle de plaisir se dissipe et laisse place à un souffle bruyant et désordonné.
Il retira ses doigts et les porta à la bouche sans me quitter des yeux, les suça, puis esquissa un sourire en coin.
Subitement, la raison revint à moi. Tout ce qui venait de se passer, toutes les conséquences que cela impliquait me revenaient comme une gifle en plein visage.
Il du voir mon expression tourmentée, car sa propre expression changea pour passer de la satisfaction à l'incompréhension.
Je me relevais précipitamment, rattachais les boutons de ma robe aussi vite que possible (mal comme un checking au toilettes plus tard me l'a confirmé ...), et détalais en vitesse.
Mon souffle était court, mais plus pour les mêmes raisons, qu'est ce qu'il m'a pris ce soir là ???! Quand j'entendis sa voix appeler mon prénom derrière moi, je ne me retournai même pas, et rentrait en courant presque dans la maison où la soirée battait encore son plein.
Je ne pu m'empêcher de me dire que ça avait était bon, en relisant tout ça, ça a été sensationnellement orgasmique.
Le pire, je me connais, c'est que je sens que ça va recommencer.
Voila ce qu'il s'est passé il y a quelques semaines... J'espère que cette histoire vous plaira, personnellement, j'ai senti ma petite chatte s'humidifier rien qu'à vous l'écrire ! Promis, s'il se passe quelque chose de nouveau, je vous en ferai part !
Bisous, Eva.
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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