Histoire de sexe : Première fois avec un inconnu

Dialogue chaud :

Sans attente

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Histoire de sexe : Première fois avec un inconnu
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 04/02/2015
Publié le 04/02/2015
Bonjour à tous et à toutes.

C’est la première fois que je raconte quelque chose sur ce site et c’est aussi la première fois que j’écris une histoire que j’ai vécue, alors soyez indulgent avec moi si je m’exprime mal ou si je fais quelques fautes. C’est une amie qui m’a parlé de dialogue69.com . Elle n’y partage jamais sa vie, mais c’est une lectrice assidue. Quand je lui ai raconté ce qui m’est arrivé, elle m’a dit qu’il fallait que je l’écrive et que je le poste ici. Alors me voilà !

Je m’appelle Maude et je vais bientôt avoir 20 ans. Physiquement je n’ai pas trop à me plaindre. J’ai une belle crinière brune, des yeux verts, un 90c et des fesses bien fermes et rebondies. Je suis hétéro et célibataire depuis 6 mois, enfin je ne sais pas si je peux encore me considérer comme célibataire avec la relation que j’entretiens en ce moment. Mais commençons par le commencement.

Le mercredi 7 janvier, c’était le début des soldes. Une date incontournable pour moi et Sandra, ma meilleure amie. Nous sommes allées au centre commercial dès l’ouverture et nous avons arpenté la galerie pendant des heures. J’ai d’ailleurs trouvé plein de jolies choses.
À midi nous avons déjeuné dans un kebab. J’avais les pieds en compote et ayant déjà dépassé mon budget, j’avais envie de rentrer à la maison. Nous avons donc décidé de retourner au parking où nous avions laissé la voiture. En marchant dans une ruelle, nous sommes passées devant la boutique d’un sex-shop dont les vitrines arboraient de grands panneaux soldes.

- On fait un tour ? m’a proposé Sandra.
- Euh franchement c’est pas trop mon truc, je ne suis pas une adepte des joujoux de plaisir. Ai-je répondu.
- Allez viens, ça va être marrant ! a-t-elle insisté.

Elle m’a attrapée par le bras et elle m’a entraînée dans la boutique. Murs rouges, sols noirs, la déco était assez moderne et intime. Sur des étagères était disposé tout un tas d’objets dont je n’avais aucune idée de l’utilité. Il n’y avait qu’un seul autre client. La quarantaine, grand, des cheveux grisonnants, une barbe d’une semaine, je l’ai tout de suite trouvé séduisant malgré le fait qu’il était beaucoup plus âgé que moi. Je n’arrêtais pas de l’observer et nos regards ont fini par se croiser. J’ai eu l’impression que ses yeux me transperçaient. Il m’a décoché un sourire, ce genre de sourire qui en dit long et qui vous donne des frissons partout, même à l’intérieur des cuisses. Troublée, j’ai baissé la tête en rougissant. J’ai tout de suite eu envie de lui… Mais je suis timide et je n’ai pas osé l’aborder et je suis sortie du sex-shop sans m’être approchée de lui. Heureusement pour moi, je venais à peine de faire deux pas dehors lorsqu’il m’a rattrapée.

- Mademoiselle, vous avez oublié quelque chose ! a-t-il crié.

Et avant que je ne comprenne ou que je ne dise quoi que soit, il m’a glissé un papier dans la main et il a disparu. C’était son numéro.
Bien que Sandra m’a déconseillée de lui répondre, je l’ai quand même fait et c’est comme ça que je me suis retrouvée le soir même à boire un verre avec lui.

Nous étions tous les deux assis sur une banquette dans un coin intime d’un bar. Nous discutions de tout et de rien et plus il parlait, plus il se rapprochait de moi. Très vite, l’une de ses jambes s’est retrouvée collée à la mienne et ses doigts se sont posés sur ma cuisse qu’ils ont caressée par-dessus mon collant. Une vague de chaleur est née au creux de mes reins et je suis devenue humide. J’étais excitée par le contact de cet homme que je connaissais à peine. J’avais envie de l’avoir sur moi, en moi, sous moi. Oui, j’avais envie qu’il me baise. Comme s’il lisait dans mes pensées, sa main s’est aventurée sous ma jupe et a caressé ma petite chatte trempée. J’ai lutté pour ne rien laisser paraître pourtant, j’avais envie de gémir. Mes doigts se sont crispés sur la table et j’ai écarté mes cuisses.

- Je vais aux toilettes, tu me rejoins dans 5minutes ? a-t-il murmuré à mon oreille.

Sans attendre ma réponse, il s’est levé et s’est dirigé vers les cabinets. Tout se bousculait dans ma tête. Ce n’était pas mon style de me faire prendre par un quasi-inconnu de 20 ans de plus que moi dans des toilettes, mais, ce soir-là, je n’avais envie de rien d’autre.
Les jambes tremblantes, je me suis levée et je l’ai rejoint. Nous nous sommes enfermés dans les toilettes handicapées. Là, à l’abri des regards, il est passé à la vitesse supérieure. Il a relevé ma jupe et il s’est agenouillé en baissant d’un coup mon collant et mon string. Son visage était face à mon sexe et il a donné des coups de langue sur mon clito et mes lèvres puis son muscle s’est insinué dans ma petite chatte trempée. C’était si bon… si chaud, si humide. J’avais l’impression qu’il me baisait avec sa bouche. Tout mon corps était tendu, les muscles de mon ventre se contractaient violemment. J’étais haletante et la pointe de mes seins était dressée de plaisir. Je me suis agrippée à ses cheveux pour ne pas totalement perdre pied. J’avais tout oublié, je ne pensais plus qu’à sa langue qui allait et venait le long des parois de mon vagin. J’ai senti quelque chose monté lentement au fond de moi et j’ai été frappée par un violent orgasme qui a agité tout mon corps de spasmes. Mais il n’en avait pas fini avec moi.

- J’adore le goût de ta chatte. a-t-il déclaré en se levant.

Je ne saurais pas dire pourquoi, mais ses mots dans sa bouche me mettait le feu en bas. Il a sorti une capote de la poche arrière de son pantalon. Il a défait sa braguette et légèrement baissé son boxer, me dévoilant son énorme queue toute dure et toute gonflée. Il a ensuite enfilé la protection en latex.

- Retourne-toi ! m’a-t-il ordonné.

Je me suis docilement exécutée et une fois dos à lui, il m’a plaquée contre le mur froid des toilettes. Il s’est collé dans mon dos et j’ai senti son gland gonflé disparaître entre mes fesses et glissé le long de ma fente humide jusqu’à l’entrée de ma petite chatte. Il a agrippé mes hanches et il a enfoncé sa queue en moi. J’étais déjà si mouillée qu’en un seul mouvement, il m’a empli totalement. C’était tellement puissant qu’un cri m’a échappé. Aussitôt ses doigts se sont plaqués sur ma bouche pour étouffer mes plaintes de plaisir.

Il s’est retiré complètement de moi pour me pénétrer plus vite et plus fort puis il s’est acharné dans ma chatte comme s’il voulait me clouer au mur. Je pouvais presque sentir son désir qui le dévorait et le faisait agir comme une bête sauvage. Jamais personne ne m’avait baisée comme ça et je prenais un pied pas possible. Plus il allait et venait en moi, plus je mouillais, plus je m’ouvrais. Toutes ces sensations qui se mélangeaient en moi, chaleur, humidité, frottement, puissance… c’était indescriptible et j’ai de nouveau sentis la jouissance montée dans mon corps. Je ne pouvais plus lutter, je ne pouvais plus me contenir. Les parois de mon vagin se sont contractées et j’ai explosé une deuxième fois. Lui a continué à me donner des coups de reins encore et encore. J’étais épuisée, pleine et vide…
Tout à coup, il s’est figé. Je l’ai senti se crisper et il a émis un bruit rauque.
Au bout de quelques minutes, il s’est retiré. Je me suis retournée et je l’ai vu enlever sa capote pleine de sperme. À ce moment-là, je me suis promis de le goûter si je le revoyais.

Nous sommes retournés boire notre verre et nous nous sommes quittés en nous disant à bientôt.

Je n’ai pas eu de nouvelle pendant un moment, mais il m’a appelée hier. Il m’a invité à venir cher lui demain soir. Je pense que vous l’aurez deviné, j’ai accepté…

Si ma petite histoire vous a plu, je vous raconterais la suite.

J’espère en tout cas que vous avez eu autant de plaisir à lire mes mots que j’en ai eu à les écrire. D’ailleurs je suis vraiment étonnée, ça m’a un peu émoustillée de vous raconter tout ça.

Enfin je vous laisse et je vous dis à très vite.

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