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Histoire de sexe : Rencontre coquine pour la St Valentin

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Sans attente
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    Histoire de sexe : Rencontre coquine pour la St Valentin

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous ceux qui comme moi ont découvert ce site.

    Je m'appelle Lesly, j'ai 34 ans et c'est déjà la deuxième fois que je viens vous raconter l'une de mes petites aventures. Aventure.... Un mot dont mon mariage m'avait fait oublier le sens, mais je dois dire que depuis que je suis divorcée, ma vie est palpitante. Plus de routine, je sors, je fais des rencontres, je revis.

    J'ai lu des témoignages sur ce site de certaines personnes très épanouies en couple, mais il faut croire que moi, je n'ai pas encore trouvé chaussure à mon pied. Enfin pour l'instant, je ne réfléchis pas trop et je profite de ma liberté retrouvée.

    Comme je suis célibataire, le 14 février je n'avais rien de prévu. J'avoue que même si je suis contente de n'avoir personne dans ma vie, j'étais un peu déprimée à l'idée qu'aucun homme ne me déclare sa flamme.
    Un couple d'amis qui a sans doute eu pitié de moi, m'a proposé d'aller à la patinoire. En temps normal j'aurais décliné cette invitation, car je ne suis vraiment pas douée sur des patins, mais je n'avais pas envie de passer la soirée à tourner en rond dans mon appartement. Je suis donc partie avec eux.

    Les quelques premières minutes sur la glace se sont bien passées. Mes amis sont restés avec moi pour m'aider à patiner, mais très vite ils se sont lassés d'avancer comme des tortues et de me retenir à chaque fois que je perdais l'équilibre. Main dans la main, ils se sont éloignés à toute vitesse. Accrochée au bord, j'ai lentement progressé. Au bout d'un moment, je me suis risquée à lâcher mon appui et durant quelques mètres, j'ai cru que j'avais enfin progressé. C'était avant que je m'étale comme une crêpe sur un grand black, qui m'a retenue de justesse avant que je ne finisse sur les fesses.

    - Vraiment désolée! me suis-je excusée.
    - Y'a pas de soucis.

    Sa voix grave et chaude me faisait un drôle d'effet. C'était comme si en quelques mots, il m'avait rendue humide.

    - Vous avez besoin d'aide peut-être? m'a-t-il demandé.
    - Oh, je crois que mon cas est désespéré.
    - Avec moi, aucun cas n’est désespéré.

    Et là, il a attrapé ma main. Il m’a entraînée sur la glace. Il me tenait si fermement qu’il m’était impossible de perdre l’équilibre. Nous avons fait un tour, puis un deuxième, puis un troisième et quand j’ai commencé à prendre le rythme, il m’a lâchée. Il a pris de l’avance et s’est retourné pour me regarder faire. Heureusement pour moi, je ne me suis pas trop mal débrouiller.

    - Je m’appelle Khendal. s’est-il présenté quand je suis arrivée à sa hauteur.
    - Moi s’est Lesly.
    - Tu fais quoi après Lesly ?
    - Rien de spécial.
    - Mais si.
    - Comment ça ?
    - Tu viens chez moi.

    Il n’y avait aucun doute sur ce qu’il avait l’intention de faire. Tout ça allait très très vite et pourtant, quand mes amis ont décidé de rentrer, je ne suis pas partie avec eux.

    Voilà comment, une heure plus tard, je me suis retrouvée dans l’appartement de Kendhal.
    J’avais à peine franchi la porte qu’il me prenait déjà la bouche. Il m’a plaquée contre le mur et il a relevé mes poignets au-dessus de ma tête. Ses lèvres sont descendues sur mon menton puis dans mon cou et je suis devenue brûlante. Son bassin appuyait contre le mien et je pouvais sentir son érection qui déformait son pantalon. J’avais envie de caresser sa bite, mais je ne pouvais rien faire, l’une de ses immenses mains me tenait fermement. Celle qui était libre s’est glissée sous mon jean et mon string pour enfoncer ses doigts dans ma petite chatte. J’ai gémi en les sentant s’introduire en moi. Il m’a doigté plutôt brutalement, mais j’ai adoré ça. Je tremblais comme une feuille, mes jambes étaient comme du coton. C’était trop bon, trop fort… Je dégoulinais sur sa main.

    Il s’est arrêté aussi soudainement qu’il avait commencé pour me déshabiller entièrement. Mon haut, mon pantalon et mes sous-vêtements se sont retrouvés par terre en quelques minutes. Il s’est ensuite mis en tenue d’Adam à son tour. Sa bite était tellement énorme, jamais je n’en ai vu une aussi imposante.

    - Elle te plait hein ? m’a demandé Kendhal en remarquant que mes yeux étaient fixés sur son entrejambe.
    - Je… oui… ai-je timidement bredouillé.

    Je dois l’admettre, j’avais peur que ma petite chatte ne puisse pas l’accueillir. Comme s’il lisait dans mes pensées, il m’a dit de ne pas m’inquiéter, et qu’il irait doucement.
    Il m’a entraînée dans sa chambre ou il m’a demandé de m’allonger sur le ventre, c’est que j’ai trouvé à la fois excitant et plutôt inhabituelle.
    Je me suis étendue sur le matelas et il a enfilé un préservatif avant de s’installer sur moi. Son gland gonflé a lentement glissé le long de ma fente jusqu’à l’entrée de mon vagin. Tout doucement, centimètre centimètre, il s’est enfoncé en moi. Sa bite était si énorme que j’avais l’impression d’être étroite et elle a eu du mal à se frayer un chemin jusqu’au fond de ma chatte. J’ai ressenti sa pénétration dans chaque partie de mon corps. C’était hallucinant, jamais je n’avais éprouvé pareille sensation. D'habitude, j’aime être prise vite et fort, mais là je me délectais de la lenteur de ses coups de reins.

    Au bout d’un moment, une fois que j’ai été un peu plus élargie, il a accéléré le rythme. Son corps se soulevait et s’abaissait sur moi, faisant claquer mes fesses et m’écrasant chaque fois un peu plus.
    Il m’a défoncée avec sa grosse bite de black. Jamais aucun homme ne m’avait fourrée comme ça. Je hurlais et je prenais un pied comme pas possible.

    Et puis tout à coup, ça a été l’explosion. Une vague de chaleur a déferlé dans mon corps et j’ai joui violemment. Kendhal m’a rejoint presque instantanément…
    J’étais dans un état de plénitude totale et tellement vidée que je me suis endormie.

    Quand je me suis réveillée à 4 heures du matin, je me suis discrètement éclipsée. J’avais repéré un arrêt de bus à côté de l’immeuble. Il était hors de question que je passe la nuit avec lui. J’ai appelé un taxi et je suis rentrée chez moi.

    Bon je sais, je me suis un peu enfuie comme une voleuse, mais ma nouvelle devise c’est du sexe, pas de prise de tête !

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