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Histoire de cul : Sa première sodomie avec un amant
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51Histoire de cul : Sa première sodomie avec un amant
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 21/07/2013
Publié le 21/07/2013
Bonjour, c'est Isabelle, vous vous souvenez ?
La petite bourgeoise coquine qui a découvert le plaisir des chaudes rencontres avec des inconnus...Je ne pense pas être la seule car quand je vois le nombre de membre sur mon site de rencontre, je doute qu'ils soient tous célibataire.
Cette fois-ci, je vais vous raconter ma rencontre avec D., un beau lyonnais, qui reste un de mes plus torrides souvenirs, puisque c'est lui qui m'a fait découvrir les plaisirs de la sodomie et j'espère que ça va vous plaire autant qu'il m'a faite crier !
C'est samedi matin. Je me lève avec le sourire. Jai rendez-vous ce soir avec un homme. Mon mari est parti en déplacement quelques jours, et mes précédentes rencontres avec M. m'ont bien donné envie de recommencer...
Ca fait quelques temps que je le travaille au corps celui là. Cest un vrai ours des montagnes.Jallume mon PC. Je regarde mes mails sur le site de rencontre. Un mail de lui . Il se désiste sous un prétexte bidon.. .Quel nul ! Je suis furieuse ! Tellement furieuse qu'il faut que je le dise à quelqu'un.
Je regarde mes contacts msn connectés. Juste une personne, cest un contact que jai récupéré via toujours le même site de rencontre, avec qui jai peu échangé, sauf pour lui raconter ma rencontre avec M. Et puis plus rien.
Après quelques échanges de courtoisie je lui dis ma colère de m'être fait plantée à la dernière minute. D'autant que je suis en week-en « célibataire » et que j'avais bien décidé d'en profiter ! Décidément les hommes n'ont que de la gueule parfois !
Il me dit « et si je te propose de me rejoindre dans un hôtel ce soir , qu'en dis tu ? ». Perplexe. Cet homme est un dingue ou un baratineur. Je lui fais part de mes doutes. Il me donne son nom, son téléphone fixe et portable son adresse. Il me provoque un peu : 'viens, et tu verras que tous les hommes nont pas que de la gueule. Je paye tout. Je t'envoie un scénario, un texto avec le numéro de la chambre et voilà."
J'hésite. Dun côté jai très peur qu'il soit dérangé. D'un autre si ça nest pas le cas ça pourrait être bien une rencontre de folie. Oui ? Non ? J'ai déjà pris le goût du risque des aventures clandestines. J'accepte.
Je vais passer cette journée avec un noeud dans le ventre... Qu'est-ce qui me prend daccepter un truc pareil ? Suis-je dingue ? En même temps, le désir est aussi fort que la peur.
15h00 : je reçois un texto : je t'attendrai à l'hôtel X, chambre 222, place des célestins à Lyon, à 22h00.
Tu viendras en minijupe, porte jarretelle, sans culotte.
Je serais dans le noir. Tu entreras sans dire un mot, tu enlèveras ton manteau que tu laisseras tomber à terre, je mapprocherai de toi, je te prendrais dans mes bras et ..
J'avale ma salive... Ca se concrétise et cet homme a l'air assez sûr de ce quil fait. Je me douche, me rase soigneusement. J'enfile une robe, je me préparerai plus tard. Je vais dabord passer voir un ami de Lyon histoire de lui donner les coordonnées de D, le nom et l'adresse de l'hôtel. On ne sait jamais.
Pendant le trajet, car je n'habite pas Lyon, je m'imagine tout un tas de scénarios catastrophe : et si cétait un dingue qui ne me plait pas et qui me viole ? et si il envoie quelqu'un d'autre à sa place ? et si il mattend avec des copains ? Arriverai-je à me défendre ? L'angoisse monte....mais pas autant que mon excitation !
D'autant que mon ami n'est pas rassurant : « tu es folle de faire un truc pareil avec nimporte qui ! ». Mais sympa quand même « si tu as le moindre problème tu m'appelles je viendrais aussitôt te chercher ».
Je lui emprunte sa salle de bain. J'enlève ma culotte, je mets mes bas, ma jupe courte. Je me regarde dans la glace et j'ai limpression dêtre une autre . Qui est cette inconnue qui s'habille comme une salope pour aller baiser dans un hôtel avec un homme sorti de nulle part ? Je suis comme dans un état second. Pourtant je nai pas bu. Je peux encore changer davis et pourtant je suis irrésistiblement attirée, comme aimantée vers cet homme qui a eu le culot de me proposer un plan pareil.
Je suis dans la voiture. Je me perds. Bon sang quelle me gonfle cette ville ! Je l'appel. Sa voix me rassure. Je l'imaginais très grave elle est plutôt douce.
Pas une voix de pervers. Je m'énerve de mon raisonnement ! Depuis quand les pervers ont une voix particulière !
Je me gare dans un parking souterrain. Je sors un paréo pour le nouer autour de ma taille. Cest ridicule. Mais l'idée de me promener sans culotte et en jupe courte me gène. Ce souffle froid sur mon sexe déjà tout mouillé de désir et de peur ...
J'arrive devant l'hôtel. Je veux paraître sérieuse donc jai enlevé mon paréo. Je voudrais demander la chambre de D mais jai oublié son nom de famille. Je me résigne donc à demander pitoyablement la chambre 222.
Je monte les marches. Elles grincent. Je sais qu'il m'entend arriver. Mon coeur bat à tout rompre. Quest-ce que je fais là ? Tous les scénarios repassent dans ma tête.
La porte est entrouverte . Je la pousse. J'ai les mains moites. Mon sexe est trempé. Je tremble un peu je crois. Je ne le vois pas. Il fait noir. Je referme la porte. Je laisse glisser mon manteau .
Je sens sa présence, je le vois soudain dans la préombre, Il sapproche, m'enlace .Je ne distingue que sa silhouette. Il sent bon, il m'embrasse, sa main descend dans mon dos. Elle est chaude. Il caresse mes fesses , gémit...
Je passe la main dans ses cheveux et mon sang ne fait qu'un tour ! Je les sens dans son cou. Sur la seule photo que jai vu les cheveux étaient très courts. Ca n'est pas lui ! Ca n'est pas possible ! J'essaye de ne pas laisser montrer mon trouble et l'attire petit à petit vers la fenêtre. La lumière de la rue rentre un peu à travers les volets. Si c'est bien lui . Ses cheveux ont juste poussé. Je me détends.
On se déshabille mutuellement. Nous sommes un peu pressés. Tendus par tout ce désir qui est monté petit à petit. Il est très doux mais sûr de lui dans ses gestes. Il domine. J'aime ça. Ca m'excite encore davantage.
Je sens son sexe tendu contre moi. Sa respiration courte. Le mien est gonflé de désir, trempé. Il me pénètre et c'est bon. Il me complimente sur mes fesses. Il aimerait me sodomiser. Je refuse. Les expériences jusque là ont été mauvaises. Je le sens profondément frustré mais il ne dit rien. J'ai très envie de le sucer. Mais il insiste pour mettre un préservatif et ça n'est pas terrible. Je passe ma langue sur son corps. Il est ultra sensible et tremble un peu. Je passe sur les aisselles, ses tétons, je descends vers son ventre. Je sens son souffle sur ma nuque. Il me regarde. Il est debout contre la petite table. Je suis à ses pieds. Je n'ose pas le regarder. Je passe ma langue sur ses testicules . J'en aspire un , puis les deux . Il aime . Sur son périnée aussi. Son sexe frémit .
Il me redresse et me retourne un peu brutalement contre la table. Je mouille encore plus. Il me prend en levrette, debout, fort, comme j'aime. Je jouis une fois, puis 2 puis 3 , puis...je ne sais plus...Combien de temps ?
Depuis combien de temps sommes nous là ? il est 6 heures du matin. Nous avons baisé toute na nuit, pendant des heures. Je suis épuisée. Cet homme est, le meilleur coup que j'ai jamais connu ! Je lui demande de bien vouloir me laisser dormir un peu.
Au réveil nous discutons un peu en nous caressant. Il me met à plat ventre. Caresse mon dos, descend vers mes fesses. Je le sens un peu venir et je me ferme. Il reste cool. En continuant de discuter je l'entends fouiller dans son sac.
Je sens quelque chose de froid contre mon anus. Du lubrifiant. Il me caresse doucement, me parle gentiment, me fait des compliments, me dit que je suis belle, que jai vraiment un beau cul très bandant. J'essaye de me détendre. Jai peur et en même temps j'ai vraiment envie de lui faire plaisir. Lentement il enfonce un doigt. Il remet du lubrifiant à chaque fois. Et puis 2. Je commence à être cool. Je ne sais pas depuis combien de temps il me caresse mais ça fait très longtemps. Jai réussi à oublier ma peur. Il le sent
Il attrape un préservatif, le met, remet du lubrifiant mais sur sa queue cette fois. Je sens sa queue contre mon cul. J'avale ma salive. Le temps est suspendu. J'ai à nouveau peur. Peur davoir mal. Je respire. Je me concentre et j'essaye de me détendre. Je détends le bas de mon corps, mon sexe, mon anus. Il me pénètre très doucement. Ca glisse tout seul. Je n'ai pas mal. En même temps je me sens remplie une douce plénitude.
Il commence les va et vient. J'ai chaud. L'excitation remonte. Je me laisse aller et c'est bon ! Je ne savais pas que la sodomie pouvait être si intense ! Il accélère. Je colle mon cul contre son ventre. Jaime le sentir. Je veux qu'il aille plus vite, plus fort. Je sens une onde de chaleur m'envahir , je crie, je perds la tête !
Il me défonce littéralement le cul et je me sens telle une chienne en rut ! Bon sang quel pied !
Il est 10 heures du matin quand nous nous séparons. Après cette torride nuit de baise, je remets mon tailleur de petite femme au foyer bourgeoise que j'avais emmené avec moi.
Je me dis qu'heureusement que mon mari ne rentre pas ce soir car je suis épuisée, les yeux brillants de plaisir, et le sexe en feu d'avoir été autant limé.
Je sais déjà que je n'aurais pas la force de ne pas revoir D pour une nouvelle nuit sans sommeil...
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Isabelle
Découvertes plaisirs lesbiens
A peine la porte fermée qu′elle m′embrassait goulument et en profitait d′une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droit. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher.
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Confession d'un adultère
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/07/2013
Publié le 16/07/2013
Voilà une véritable confession d'une femme qui a trompé son mari. C'est très bien écrit, j'adore.
Merci Isabelle.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
