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Histoire porno : Sans culotte à la bibliothèque notre étudiante se fait repérer

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    Histoire porno : Sans culotte à la bibliothèque notre étudiante se fait repérer

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou les gens,

    J’ai connu le site complètement par hasard il y a 1 mois. C’est en naviguant sur l’ordinateur familial que je suis tombée sur Dialogue69. J’imagine que c’est mon père qui vient lire les aventures et qu’il avait oublié d’effacer l’historique. Ma mère n’y pipe rien à Internet donc ça ne pouvait pas être elle. Quand j’ai lu « Dialogue69 » dans le menu déroulant, ça m’a interpelé et j’ai voulu aller voir. Et j’avoue que moi, qui, heureusement ne suit pas une sainte nitouche, je n’ai pas été déçue.
    Et donc, depuis je viens de temps en temps lire vos histoires et ça m’a donné envie de vous raconter un peu mes plans cul. C’est difficile de mettre des mots sur un vécu mais je me lance en espérant être publiée.

    Pour me décrire, j’ai 18 ans et je suis en en 1ère année de BTS. Je suis une jolie petite brune aux yeux bleus, plutôt menue mais joliment musclée grâce à la danse classique que je pratique depuis mon enfance. J’ai un corps frêle et longiligne, de petits seins pointus et j’aime beaucoup la cambrure de mes reins. Mon corps dégage une apparente fragilité à laquelle il ne faut pas se fier. Mes amis me disent souvent qu’il émane de moi une impression de douceur alors que mentalement ils savent bien que je ne le suis pas.

    Je profite de la vie mais je suis sérieuse dans mes études. Je sais ce que je veux et malgré mon petit filet de voix , je sais me faire entendre. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis. Doucement mais fermement. Je n’en dirai pas plus sur ma situation, on ne sait jamais, si mon père me lisait…lol

    Avec les mecs, j’ai plutôt du succès. Les garçons que j’ai voulus, je les ai eus même si cela ne dure pas longtemps. De mon fait ou du leur d’ailleurs. J’ai tous l’avenir devant moi et je ne cherche rien de sérieux. J’ai juste envie de m’éclater et de profiter. Je ne suis pas ce genre de fille romantique qui cherche le prince charmant. C’est tout à leur honneur mais ce n’est pas dans ma personnalité.
    Alors je collectionne un peu les garçons papillonnant au gré de mes envies et des opportunités.. De nos jours, entre filles et garçons c’est assez cash. Ce n’est absolument pas péjoratif quand je dis ça, mais nous sommes beaucoup mieux informés sur la sexualité que nos ainés, nous sommes beaucoup plus libérés et il y a de moins en moins de tabous. Et finir au lit le premier soir, je ne vois absolument pas, ce qu’il y a de mal à ça, à partir du moment où on se protège. On n’est plus à l’époque de mes parents. Alors quand un mec me plait, je trouve toujours le moyen, subtil ou pas, de le lui faire comprendre.

    Avant d’aller plus avant, il faut quand même que je vous dise que j’ai pris une fâcheuse habitude depuis quelque mois, et c’est ce qui a provoqué l’aventure que je vais vous raconter.
    J’ai pris l’habitude de ne pas toujours mettre de culotte. En fait quand je me couche, je n’en porte pas et un matin alors que j’étais en retard, j’ai carrément oublié d’en mettre. Quand je m’en suis rendue compte, il était trop tard et j’étais un peu honteuse mais j’ai bien été obligé de passer la journée comme ça (c’était le printemps dernier), et j’avoue y avoir finalement pris du plaisir. Avoir mon petit minou à l’air sous une jupe, c’est divinement jubilatoire. Une sensation de pleine liberté et un amusement d’imaginer les gens à côté de moi qui n’en savent rien. Déjà que je ne porte pas souvent de soutien-gorge… Mes seins sont petits et je n’aime pas sentir ma poitrine enserrée dans le tissu.

    J’avoue préférer dépenser mon argent de poche dans autres chose que dans de la lingerie fine. Par contre j’ai un péché mignon, ce sont les bas. Je suis féminine et j’aime porter des jupes ou des robes. Je ne porte pas souvent de collants et je ne suis d’ailleurs pas à l’aise d’être cul nul dans des collants. J’ai déjà essayé et je n’aime pas la sensation de la maille sur mon minou. Par contre les bas laissent toute liberté à ma fente ainsi exposée aux courants d’air et je trouve ça tellement sexy.

    C’est ce qui a donc provoqué ma dernière relation sexuelle. J’en viens aux faits :

    La semaine dernière, je suis allée bosser à la bibliothèque de mon École de Commerce, comme je le fait régulièrement d’ailleurs. J’avais mis une petite robe en laine bordeaux, des bas qui tiennent tout seuls couleur chair et des bottes en cuir noires. J’aime bien l’ambiance neutre et feutrée du lieu, le silence propice à l’étude. Et puis on peut faire des pauses sans s’ennuyer en jetant un œil sur les autres et sur ce qu’ils font.
    Je me suis donc assise en face d’un mec qui avait l’air un peu plus âgé que moi. 20 ans peut-être. Je n’avais pas vraiment fait attention à lui en m’asseyant mais dans un moment de flânerie, je me suis attardée sur son physique. Il était plutôt pas mal, blond, les cheveux bouclés, des yeux marron concentrés sur ses bouquins. Il avait une fossette au menton, c’est ce qui a attiré mon attention en fait. Oui vraiment mignon.
    Il a dû sentir que je le dévisageais car il a relevé la tête et m’a souris. Lui aussi du coup m’a détaillé et j’ai senti que je devais être à son gout.

    Mais bon je n’étais pas là pour draguer et j’ai remis le nez dans mes bouquins, mais sans l’oublier pour autant. Je lui jetais de temps en temps de rapides coups d’œil par-dessus mes lunettes et j’ai compris qu’il en faisait de même. Bon fallait que je me concentre quand même sur mon boulot. J’ai étalé mes cours et mes livres sur la table de façon un peu expéditive sans doute car sans faire exprès j’ai fait tomber un de ses stylos. Il s’est penché sous la table pour le ramasser mais il a mis du temps à se relever, on va dire plus que la normale en tous cas. Il a quand même fini par se redresser et je lui ai jeté un œil interrogateur. Il avait maintenant un regard rieur, un peu moqueur mais je ne comprenais toujours pas. Agacée par cet air arrogant, j’ai replongé le nez dans mes cours, contrariée. J’avais décidé de ne plus le regarder. Il m’avait passablement énervé et pourtant je sentais toujours son regard sur moi.

    Au bout de 10 minutes, il a rassemblé ses affaires, s’est levé et est sorti en me disant « salut ». Même dans son « salut », il y avait de l’ironie. J’étais vraiment agacée. Au bout d’un quart d’heure, n’arrivant toujours pas à me concentrer, j’ai ramassé mes affaires rageusement pour rentrer chez moi. Et là en refermant un bouquin, j’ai trouvé un morceau de papier plié en deux. Je l’ai ouvert et il y avait un numéro de portable griffonné suivi d’un « j’ai vu que tu n’avais pas de culotte …» Signé : « Nathan ».

    Mes joues ont dues s’empourprer à cette lecture.

    Merdeeeee ! C’était pour ça qu’il ne se relevait jamais ! Habituée à ne pas porter de culotte et pensant être à l’abri des regards sous la table, je n’ai pas du tout pensé qu’il avait une vue imprenable sur ma foufoune quand il a ramassé le stylo.

    J’ai éclaté de rire, comprenant maintenant son comportement étrange, mais les regards réprobateurs des autres étudiants m’ont contenue. Je suis sortie de la bibliothèque, le sourire aux lèvres. Il m’avait bien eu !

    Dans l’euphorie du moment je me suis dit « je l’appelle de suite tiens, le sale petit vicieux! ». Et ni une ni deux j’ai composé son numéro. Il a décroché à la première sonnerie et je me suis présentée, un brin provocatrice comme étant « la fille sans culotte ». Il devait sourire, je le sentais à sa voix et après quelques instants de discussion animée et coquine autour de mon absence de culotte, il m’a dit de venir le rejoindre car il était sur le point de rentrer chez lui.
    On s’est retrouvé et quand il m’a invité à boire un verre chez lui, j’ai lu dans son regard qu’il voulait me baiser. Pas farouche, j’ai accepté avec un regard de défi. Il m’avait fait me sentir un peu ridicule et m’avait contrariée et j’avais envie de lui montrer de quoi j’étais capable. Cette fois c’est moi qui allais avoir l’ascendant sur lui !
    Je m’imaginais déjà en train de le torturer par une belle fellation dont j’avais le secret et peut être, s’il le méritait, je l’autoriserai à me sauter. On est arrivé chez lui, il m’a fait m’installer sur son clic clac et m’a proposé un rhum coca. Il n’était que 17h30 mais au diable, j’ai pris le verre. Ce n’est pas la 1ère ni la dernière fois que je bois un verre à cette heure-là. On a bu quelques gorgées, jouant du regard, de nos sourires, l’un avec l’autre. Mais rapidement, en plaisantant, il m’a dit :

    « - Alors tu me montres un peu mieux ta chatte ? J’ai vu que tu te rasais intégralement. »

    Je me suis levée et j’ai remonté insolemment ma robe sur mon ventre.

    « - C’est ça que tu veux voir hein ? »

    Je dansais devant lui, la chatte à l’air, ondulant doucement, passant mes mains sur ma vulve toute lisse et déjà humide. J’ai glissé un doigt dans ma fente et l’ai ressorti englué de mes sécrétions intimes. Je me suis approchée de lui et, effrontément, je lui ai fourré mon doigt dans la bouche. Il me regardait toujours, le regard brûlant de désir et je sentais cette chaleur si familière envahir le creux de mon ventre. Il suçait mon doigt avec gourmandise.

    « - Lèche-moi la moule maintenant ! »

    J’ai attrapé sa tête entre mes mains et je lui ai collé la bouche dans ma fente toute humide. Sa langue est venue titiller mon clito, j’étais surexcité. Son muscle chaud et humide glissait de mon bourgeon érigé à mon con qui s’ouvrait tout doucement sous la montée du désir. J’ondulais du bassin pour guider sa langue sur les endroits les plus sensibles de ma chatte et il me pétrissait les fesses avec rudesse. J’étais fébrile et lui aussi.
    Alors estimant qu’il m’avait assez bouffé la chatte, je me suis mise à genoux et je lui ai enlevé son pantalon et son boxer. Sa queue au garde à vous a giclé de son boxer comme un diable de sa boite.
    Je me suis installée entre ses cuisses et j’ai commencé à le lécher savamment. Ma langue se promenait sur toute la longueur de sa queue puis venait agacer son gland luisant. Un peu de liquide séminal sortait de son urètre et je l’ai avalé goulument. Son gland était gonflé, luisant de ma salive et ma langue le taquinait avec perversité. Puis je suis descendue sur ses boules tendues, prêtes à décharger leur semence. Je les mordillais, les gobais, les lécher vicieusement et Nathan gémissait de plaisir. Il grognait, poussait des râles rauques de satisfaction.
    Puis j’ai enfourné sa queue dans ma bouche et j’ai commencé d’aller et venir lentement mais profondément. J’avalais cette queue jusque-là inconnu avec envie, avec application. Je sentais à ses soupirs de plus en plus rapprochés, à sa respiration qui s’accélérait qu’il n’était pas loin de cracher semence et de jouir. Alors je me suis relevée car je voulais moi aussi avoir ma part de plaisir.

    « - Baise-moi maintenant ! »

    Il a été un peu surpris par mon ton un peu autoritaire mais Il a pris un préservatif dans une petite boite qui était à terre à côté du clic clac. Il l’a enfilé vite fait et je me suis mise à quatre pattes sur le canapé, offrant à sa vue, sans pudeur, mon petit cul tendu au maximum.La robe toujours remontée jusqu'à la taille et chaussée encore de mes bottes.

    « - Tu veux que je te baise ? Je vais bien te défoncer, tu vas voir ! »

    Et d’un coup sec il m’a bourré la chatte. Remarque, il n'a pas eu beaucoup de mal tellement je mouillais grave. Ses va et vient étaient forts, rapides et c’était bon ! Je sentais l’orgasme monter en moi. Je couinais de plaisir, haletais comme une petite chienne. Il a accéléré de plus en plus, ses mains crispées sur mes hanches menues me faisaient mal. Le rythme était soutenu, frénétique, violent et j’ai joui en criant de plaisir. Il m’a rejoint rapidement, en accélérant encore et encore la cadence et dans un ultime coup de reins, il a déchargé en moi.

    Nous nous sommes affalés sur le canapé, vidés mais assouvis.

    Humm un bon plan cul comme je les aime. J’ai gardé le contact avec Nathan. Nous nous voyons régulièrement à l’école entre deux cours.
    On a décidé d’être des sex friends d'un commun accord. Nous n’avons pas rebaiser depuis car nous n’avons pas eu le temps. Et puis cela ne fait qu’une semaine.
    Mais on sait, que si un de nous 2 a une envie, on peut se le dire et se faire un plan baise, si on a un moment. Tout cela sans que personne d’autre ne le sache. C’est cool !

    Voilà, j’espère que cela vous aura plu.

    Bonne soirée.

tel rose voyeur

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Pour cela, compose le
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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Bella :
Un sexfriend c'est le pied... Pas d'attache que de la bonne baise... Je devrais rappeler le mien, j'ai une furieuse envie de me faire sauter!!!!! Mes petites lèvres s'écartent rien que d'y penser... Hummmm!!!
Posté le par Atomy :
J'aimerai trouvé une sex friends aussi ça me plairai bien une petite cochonne comme toi si ça tente quelqu un laisse moi un message je suis du nord
Posté le par Anonyme :
J'aime vous lire surtout matin avant de me lever bisous à tous pat
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  • 406 51

    Baisée pas son docteur

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/03/2014

    Publié le 09/03/2014

    La petite cochonne qui s'était fait remarquer à la bibliothèque sans culotte, nous raconte aujourd'hui qu'elle a couché avec son médecin de famille...J'avoue que ça donne envie.

    Je vous conseille de lire aussi sa précédente histoire qui était très excitante...

    Postez des témoignages, notre petite coquine aime savoir que les mecs bandent en l'imaginant.

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