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Recit X : Soumis pour la 1ière fois
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11Recit X : Soumis pour la 1ière fois
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/03/2015
Publié le 09/03/2015
Bonjour à tous et à toutes.
Mon prénom est Aileen, mais appelez-moi Maîtresse. Je suis une grande rousse d'origine écossaise et ma spécialité en matière de sexe, c'est la domination. J'aime transformer les hommes en soumis docile, près à répondre à mes moindres désirs.
Alors peut-être que mon histoire choquera certains et déplaira à d'autres, mais je suis sûre que certains d'entre vous aimeraient que je m'occupe d'eux.
Pour que vous puissiez mieux m'imaginer en lisant mes mots, voici mes mensurations: 1m78, 66 kilos, 90b.
Je rencontre la plupart de mes esclaves sur le net (j'ai d'ailleurs remarqué que ce site possédait un espace rencontre. J'irais y faire un tour dès que j'aurais fini de vous compter mon aventure). Il y a quelques semaines de ça, je suis tombée sur André. À quarante ans, il s'était dit qu'il était temps d'assouvir certains de ses fantasmes. Il est marié, a trois enfants, mais sexuellement, il n'est pas comblé. Comme beaucoup d'hommes, il n'a jamais osé avouer à sa femme ses petits penchants et c’est donc sur la toile qu'il a cherché une femme capable de répondre à ses besoins.
Nous avons longtemps discuté avant de décider d'un premier rendez-vous. Comme il était complètement novice, il était important de fixer des limites.
C'était mardi soir, il était 20h, j'étais chez moi et je l'attendais. J'avais enfilé une tenue en cuir que j'affectionne particulièrement. Elle est ultra moulante, très décolletée, elle m'arrive mi-cuisses et elle est lacée dans le dos. Je la porte sans sous-vêtements avec simplement des porte-jarretelles et des bas résille. La touche finale, c'est mes escarpins noirs aux talons de 15cm. Autant vous dire que ce soir là, j'étais carrément bandante.
Avant même qu'il n'arrive, j'étais déjà excitée. J'avais comme un petit frisson qui remontait le long de ma colonne vertébrale. Lorsqu'André a sonné à la porte, ce petit frisson est descendu à l'intérieur de mes cuisses.
Quand je lui ai ouvert, il était tout tremblant et son premier réflexe a été de me faire la bise. Je l'ai aussitôt arrêté.
- Tu ne me toucheras que quand je te l'aurai demandé, est-ce clair?
- Oui.
- Oui qui?
- Oui Maîtresse.
Je lui ai fait un geste pour l'inviter à entrer. Il a hésité quelques secondes puis il a franchi le seuil de mon appartement et j'ai refermé la porte derrière lui.
Je pouvais sentir à quel point il était nerveux.
- Si tu n'es pas près, pars maintenant, car si tu restes tu devras m'obéir.
Je l'ai vu frémir, cette fois ce n'était plus de la crainte que je pouvais lire dans ses yeux, mais de l'excitation.
- Bien tu vas te déshabiller maintenant! ai-je ordonné.
La température est montée d'un cran. C'était tellement bon d'avoir tout ce pouvoir, tellement grisant. Il a ôté ses vêtements un à un. Lorsqu'il a baissé son pantalon, j'ai été ravie de découvrir qu'il bandait déjà. Je me suis lentement rapprochée de lui. Il lorgnait ma poitrine avec avidité. Il n'a pas pu se retenir, il a posé ses mains sur mes hanches. Ma réaction a été immédiate et je lui ai mis une gifle.
- Tu vas être puni pour ce que tu viens de faire, à quatre pattes!
Son sexe s'est dressé un peu plus sous la menace, mais il s'est exécuté. Comme un bon petit toutou, il s'est mis à quatre pattes sur le carrelage froid de mon appartement. Il était mon esclave pour la nuit et j'avais bien l'intention d'en profiter.
- Ne bouge pas! ai-je ordonné.
Il est resté dans la même position et je suis allée chercher un petit accessoire dans ma chambre, une cravache.
De retour près de lui, j'ai commencé à lui fouetter les fesses. Le cuir s'abattait violemment sur ses fesses.
- Voilà ce qui arrive quand on n’obéit pas à sa Maîtresse, tu as compris.
- Oui.
- Oui qui?
- Oui Maîtresse!
Sa peau commençait à rougir et j'ai arrêté de le cravacher.
- Maintenant tu vas t'allonger sur le dos.
André s'est encore une fois exécuté. Sa verge était dressée, prête à l'emploi et je n'ai pas pu résister. J'ai été chercher un préservatif que j'ai déroulé sur son sexe puis je me suis assise sur lui. Centimètre par centimètre il s'est enfoui en moi jusqu'à m'occuper entièrement. Mon soumis avait compris la leçon et il n'a pas bougé d'un pouce tandis que je commençais à remuer sur lui. D'avant en arrière, de plus en plus vite. C'est moi qui imposais le rythme et sentir sa verge en moi me mettait en transe. Je me sentais bien, je me sentais belle, je me sentais puissante.
Les muscles de son corps se sont soudain crispés et il a gémi. J'ai deviné qu'il avait joui, mais je n'en avais pas fini avec lui. Je me suis redressée pour aller m'asseoir sur sa bouche. Ses lèvres étaient chaudes et humides et sans que j'aie besoin de lui en donner l'ordre il m'a léchée. En quelques secondes, je me suis mise à dégouliner sur son visage. J'ai commencé à me frotter sur sa bouche. Je n'avais qu'un seul but, me faire jouir. Ma vulve était brûlante et trempée et son muscle me pénétrait. C'était délicieux. J'ai senti le plaisir monté au creux de mes reins, puis il a explosé dans tout mon corps. C'était si bon, si fort que je suis restée sans bouger pendant plusieurs minutes.
Lorsque je me suis relevée, j'ai ordonné à mon esclave de se rhabiller et je l'ai congédié.
Il a plutôt bien réagi pour une première fois et il m'en demande encore. Pour notre prochain rendez-vous, je pousserais les limites un peu plus loin.
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