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Histoire de sexe : Thibaut, Mary et Stella en boîte de nuit
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13Histoire de sexe : Thibaut, Mary et Stella en boîte de nuit
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 21/03/2016
Publié le 21/03/2016
Un mètre quatre-vingt-quatre, 76 kilos, tout en muscle. Voilà, c'est moi : Thibaut.
Je suis originaire de la Guadeloupe mais je vis en métropole depuis que je suis arrivé avec mes parents. Si je regrette le soleil et les températures de Pointe-à-Pitre, je trouve qu'il est plus facile de rencontrer des femmes ici que sur ma terre d'origine.
Pourquoi je vous dis ça? Parce que depuis que depuis le lycée, j'adore sortir avec des femmes et j'adore leur faire l'amour. Eh oui, j'aime les femmes et je ne peux m'empêcher de draguer une femme seule. Si j'aime toutes les femmes, je préfère nettement celles qui ont des formes très prononcées. En clair, je préfère les femmes bien en chair. J'veux des gros seins, des gros culs, comme chantait Alain Souchon!
Sur un plan physique, je suis plutôt bien entretenu car j'aime courir tous les jours pour m'entretenir et garder un physique impeccable. J'adore montrer mes abdos et ma poitrine musclée sur les plages et dès qu'il fait chaud. Ma poitrine est épilée, et pour tout vous dire, le reste aussi!!!
J'vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a 5 ans maintenant, alors que j'étais en boîte.
j'avais levé une jolie métisse, avec un joli visage, mais surtout un beau fessier et des seins à l'avenant. Mary me faisait bander dur et je lui avais proposé de la ramener chez moi. Mais je dois dire que j'eus une surprise car Mary m'avait confié qu'elle aimait faire l'amour à trois. Je n'avais jamais essayé à l'époque mais, lorsque Mary me dit qu'elle voulait emmener aussi sa copine Stella, je n'eus pas beaucoup d'hésitation. Stella est belle comme un cœur, bien qu'ayant moins de forme que Mary, mais de longs cheveux châtains et une paire de seins aguichante car bien mise en valeur!
J'informais Mary que c'était d'accord je les ramenais chez moi dans ma voiture. Tout au long du chemin, nous avions un peu parlé sexe et de nos aventures. Le climat était donc déjà un peu chaud lorsque nous sommes arrivés.
Je leur proposais un "ti'punch" pour rompre la glace...en en mettant dans leur verre! Nous nous sommes bien marrés tous les trois ce qui fait que nous nous sommes vites retrouvés déshabillés. J'allais dire à poil, mais aucun d'entre nous n'en portait. A part moi, un peu sur les jambes! Mais, comme les filles, j'aimais m'épiler le sexe et mes boules.
On s'est caressés, debout dans mon salon et embrassés à pleine bouche.
Mary avait de très belles formes, comme je l'ai dit, qui rehaussaient sa peau couleur café au lait. Stella était blanche mais bronzée, hormis les traces du maillot de bain deux pièces. Stella avait de jolis seins en forme de pomme, bien remplies et bien ferme. Ils ne pendaient pas comme Mary avec ses deux énormes poires...et ses aréoles grandes comme des pastèques. Non, là, c'est moi qui exagère!
Si Stella avait un fessier bien rebondi, Mary avait un popotin énorme sur lequel j'ai un peu joué à lui faire du tam-tam. J'aimais la trace de mes mains sur sa peau café au lait.
Visiblement, Mary et Stella avait l'habitude de sortir et draguer ensemble car elles se caressaient les seins et les fesses, tout en s'embrassant sur la bouche et les parties sensibles.
Ma queue pendait entre les jambes et j'espérais qu'au moins l'une des deux allait faire durcir mes 25 centimètres bien massifs. J'allais les caresser aussi et l'une d'elle me pris ma bite pour la caresser.
Stella se mit à genoux pour ensuite introduire mon gland dans la bouche, qu'elle suçota et lécha. Elle passa ensuite sa langue sur toute la longueur de mon sexe, non sans que sa pointe s'attarde sur mes couilles. Là, je commençais à durcir un peu plus car, avec l'alcool, je mettais un peu plus de temps. Le rhum, et les autres boissons alcoolisées, avait pour défaut de me faire bander moins vite. Mais il avait aussi l'avantage de prolonger le plaisir en me faisant décharger mon foutre moins rapidement.
Stella donc me suça avec avidité et je caressais ses cheveux et ses épaules.
Mary s'était aussi agenouillée pour caresser le sexe imberbe de Stella, ainsi que son petit trou. Elle l'entourait et lui caressait les seins, tandis que les seins ballottaient et s'appuyaient sur le dos de Stella.
Au bout d'un moment, je proposais aux filles d'aller dans ma chambre et de nous coucher sur le lit. Nous nous disposâmes en triangle. Stella me suçait, je bouffais la chatte de Mary tandis que cette dernière introduisant sa langue dans le minou de Stella. C'était une chaine à trois maillons : la chaine de la baise!
Alors que je jouais frénétiquement de ma langue dans la porte des mille plaisirs de Mary, je ne pouvais m'empêcher de caresser ses deux énormes seins. C'était ma doudou d'amour aux formes généreuses!
Mary me jetait un oeil de temps en temps, comme pour me dire : "oui, c'est bon, continue comme ça".
Elle s'était mise à branler Stella qui aimait ça. Je le sentais lorsqu'elle ressentais du plaisir : cela créait des mouvements irréguliers de sa bouche sur ma bite.
Je proposais alors de passer aux choses sérieuses : j'allais m'introduire dans Mary d'abord, puis je m'occuperai de Stella. Nous nous allongeâmes. Je pris Mary en missionnaire tandis que Stella lui présentait sa fente déjà humide. Elle me faisait face et, du coup, je pouvais lui caresser les seins et l'embrasser, alternativement.
Je fis des va et vient en Mary pendant quelques minutes, avant de changer nos places. Je pris Stella en levrette tandis qu'elle léchait Mary, allongée sur le dos. De cette manière, nous prenions tous du plaisir. Le risque du trio, c'est que l'un ou l'autre regarde les deux autres se baiser! Je suis d'une nature généreuse et je n'aime pas laisser un beau cul ou une langue inoccupé!...
J'aimais les gémissements de Stella qui était beaucoup plus expressive que Mary lorsque je lui défonçais sa chatte. Visiblement, la chatte de Stella était plus étroite que celle de Mary, donc j'avais eu la bonne idée de passer en ce sens là, afin d'avoir plus de plaisir. Mais j'avais une autre idée en tête depuis le début, que je gardais pour la fin.
Nous nous caressions mutuellement, tout en gémissant et en respirant fort. Le plaisir venait et ces dames ne se gênaient pas pour l'exprimer.
C'est alors que je donnais une petit claque sur les fesses de Stella et que je sortis de son minou, avec ma belle bite bien dressée et toute recouverte de la mouille de ces deux femmes.
- J'ai un plan à te proposer, Mary.
Celle-ci était toute ouïe et sourit de contentement lorsque je lui expliquais que je désirais la sodomiser et me finir sur son gros cul. Elle me fit des "oui, oui, oui". Elle se redressa et présenta son petit trou :
- Vas-y. Lubrifie mon trou du cul et mets-moi ta grosse bite!
Je m'emparais de mon tube de gel à base d'eau et m'en tartinais les doigts. Je caressais alors sa rosette et y introduisis un doigt, d'abord, puis un deuxième, avant d'essayer d'élargir le trou. Son cul réagissait bien et je me suis vite glissé en elle. Elle sentit d'abord passer le gland (j'avais un gros gland!) mais le reste passa à l'avenant et je commençais à remuer en elle. Stella lui caressait les seins et mordait ses énormes tétons de temps en temps, ce qui faisait doublement jouir Mary.
Je bousculais Mary et me couchais sur le dos, elle sur moi, et je lui demandais de se bouger le long de ma bite. De cette manière, sa chatte était toute exposée à Stella qui n'en perdait pas une miette. Elle y porta d'abord un doigt qu'elle glissa le long de son clitoris, puis elle baissa pour jouer de la langue.
Etant sous elle, je pouvais aussi caresser ses deux énormes seins avec mes deux mains de libres. C'est pour cela que j'adorais cette position quand je baisais une femme aux formes épanouies!
Au bout d'un moment, je pris les choses en main, si je puis dire, et je bougeais mon bassin pour augmenter le rythme d'entrée-sorties de ma bite dans son cul. C'était bon et ça glissait bien à tel point que je faillis venir plusieurs fois. Mais je me contenais pour me réserver pour le grand final.
Celui-ci ne tarda pas à venir car Mary criait presque alors que je lui défonçais le cul à coup de bite. Mary s'était rapprochée de moi et elle m'avait présenté sa chatte que je léchai avec avidité, non sans caresser les autres parties de mon corps à ma disposition.
Finalement, je me retirai bien vite du cul de Mary et je prévenais les filles que j'allais éjaculer. Elles se rangèrent l'une à coté de l'autre et je jouis sur le coté, afin de les inonder du sperme qui sortait de ma bite et de mes couilles bien remplies. J'étais tellement plein de jute que je les ai mouillées toutes les deux de mon sperme. Comme c'était bon de voir ces deux cochonnes alignées en me regardant ; guettant la liqueur séminale tant désirée.
C'est dans ces moments-là que je me dis que j'ai de la chance. Le même soir, j'ai pu tester le triolisme et satisfaire mon gût pour la sodomie et les gros culs!
Des soirées comme celles-là, j'aimerai bien en avoir plus souvent!...
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Commentaires
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Cette salope cache une véritable forêt mais ça ne risque pas de décourager Thibault qui trouve une solution rapide... Pour notre plus grand plaisir
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire erotique en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
