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Histoire X : Un entretien d'embauche pas comme les outres

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    Histoire X : Un entretien d'embauche pas comme les outres

    Corrigé et résumé par vanesmar le

    Publié le

    la dp c'est mon truc

    Fraichement divorcée et sans aucune expérience professionnelle, j’ai postulée partout et on m’a toujours refusé, jusqu’au jour où j’ai postulée dans un Sex shop.
    Non seulement je n’ai pas été refusée mais ils voulaient un entretien spécial aussi.
    Le manager m’a dit de revenir le soir même pour un teste dans l’arrière salle. J’avais bien compris que c’était pour me baiser.

    Je me prépare et j’arrive le soir à l’heure convenu au magasin. Le manager ma demandée de me préparer, de me déshabiller et de me bander les yeux. Il m’a aussi dit qu’il n’aimait pas parler pendent l’acte. Une fois prête j’attends sur le petit lit et là…

    Sa main m’empoigne fermement et met un lien autour du poignet, puis au second. Il vient de m’attacher à je ne sais quoi de chaque côté du lit. Mes jambes gigotent, mais pas pour longtemps, celles-ci subissent le même sort que mes membres supérieurs. Voici mes chevilles attachées de chaque côté du lit. Jambes entièrement écartées, qui offrent une vue parfaite de ma chatte.
    Mon appréhension vient de faire place à l’excitation. Oui, je suis excitée à cause du regard que je ressens sur moi. Sourit-il ? Est-il attisé à me voir ainsi, bande-t-il ?

    Sa main se pose sur moi. Elle suit le contour de mon visage, descend vers mes seins et s’arrête un instant sur mes mamelons. Sa main continue, arrive sur mon sexe déjà détrempée et j’en rougis de honte. Il commence une exploration minutieuse de mon sexe. Il caresse le contour de mes lèvres, insère deux, trois doigts dans mon vagin comme pour en mesurer sa longueur et sa largeur.
    J’ai l’impression que l’examen du côté face de mon corps est terminé. Rien voir, décuple mes sensations. Est-ce que je lui plais, je l’excite ? Que vas être la suite, il me filme peut-être ? Il est possible que son seul objectif est de m’exhiber à ses clients. Cette éventualité réveille chez moi le fantasme d’être au milieu d’hommes. Subir leurs regards concupiscents, être touché, pétri par des mains curieuses, prise par plusieurs queues en même temps.

    J’entends le bruit d’un petit moteur. Je comprends vite que c’est un vibromasseur.
    Le jouet insiste sur toutes les parties sensibles de mon corps ; le bout de mes seins, mon clitoris, mon vagin, puis ma bouche. Les vibrations décuplent mes sensations. Je sens le bout de mes mamelons durcir. Maintenant, il masse mon clitoris avec, et malgré mes entraves, je bouge, soulève mon bassin, gémi, j’ai envie de jouir. Il s’arrête, ça me frustre, c’est voulu. C’est au tour de mon vagin d’accueillir l’objet vibrant. Ma mouille coule entre mes cuisses.

    Il est là, à regarder mon sexe, sexe qui a qu’une seule envie, celui d’être défoncé par une bonne grosse queue.
    Le voici sur le lit, me monte dessus et engouffre son sexe dans ma bouche tout en me tirant les cheveux.
    Violemment, il met son sexe dans ma bouche et commence un rapide va-et-vient, jusqu’au fond de ma gorge. Sa bite est grosse, bien longue et large.

    Il ralentit, ressort, rentre. Je le suce avec gourmandise, j’excite la fente de son gland avec ma langue. Je sens sa queue raidir, ma bouche s’empare de ses couilles, il respire fort ; grogne. Même attachée, je prends le pouvoir. Je le sens venir, il vient. J’ai une envie d’abandon, de soumission sans crainte vis-à-vis de lui. Je l’absorbe, je l’engloutis avec appétit.
    Il se retire. Sors du lit. Un long silence s’installe.
    Deux mains écartent mes cuisses pourtant entravées. Sa tête se faufile entre mes jambes. Il me broute la chatte, la lèche avec sa bouche, glisse sa langue en moi, excite mon bouton d’amour, écarte mes fesses pour lécher mon cul.
    Je suis au bord de l’implosion… Il s’arrête… Il reprend... J'halète, ma respiration est saccadée, je suis au bord de l’orgasme ! Je le supplie de me laisser jaillir. Je hurle, je crie, j’explose !
    Puis le silence s'installe de nouveau. Je suis comme dans du coton, sur un nuage, je plane.
    Il me détache.
    - Tu gardes ton bandeau, vas te rafraichir dans la salle de bain et reviens, sans dire un mot.
    Je me soulage, puis me rafraichit le visage. J’ose enlever le bandeau, mon maquillage à couler, mes yeux brillent.
    Je bois une gorgée d’eau et remets mon bandeau. Je retourne dans la chambre.
    Il me prend par le bras, me couche sur le lit, mais cette fois-ci côté face. Je me laisse faire sans résistance. Il prend mes poignets, les attache de nouveau, mais laisse libres mes jambes.
    Il me glisse un coussin sous mon ventre, ce qui a pour effet de soulever mes fesses. Maintenant, il regarde mon cul.

    - Mets-toi à quatre pattes, vite !
    J’obtempère !

    Mais la sodomie c’est le dessert, la cerise sur le gâteau que j'attends avec impatience, si elle arrive…
    Il écarte ma fente, avec sa langue agile me titille mon anus… Il le lèche, passe de mon clitoris à mon trou.

    Ses doigts rentrent dans ma chatte dégoulinante de désir, puis autour de sa main entière qui me branle de plus en plus vite à me faire hurler. Je rugis de plaisir, je suis comme un animal en rut, sans conscience, sans pudeur.
    Je lui cri :
    - Baise-moi ! Prends-moi !
    - Oui ! Je vais te baiser !!!

    D’un coup sec, il planque sa queue dans ma chatte. Me lime à grand coup de reins. Tout en me besognant il prend le vibromasseur, me le fourre dans le cul. J’exulte, et lui cri « baise-moi ».

    - Oui, salope, je vais te baiser, dit-il !
    Il gémit à son tour de plaisir, je sens son gland qui gonfle à chaque coup de reins. Ses gémissements deviennent plus forts, ils se mêlent aux miens.
    Il se retire de ma chatte et enfourne sa queue dans mon anus entièrement dilaté par le vibromasseur.
    À chaque coup de reins, je me sens défaillir.

    Je voudrais me branler le clitoris, mais mes mains attachées m’en empêchent. Transmission de pensée, un de ses doigts vient me masturber mon bouton en érection.
    Nos respirations, nos gémissements emplissent toute la chambre. On doit nous entendre par-delà les murs.

    Je le sens venir, il jouit, son jus se déverse mon anus, pendant que moi j’arrive à l’apogée de mon orgasme.

    Il s’écroule sur moi, repu.

    Quelques longues minutes passent. Je reste muette, aucun son sort de ma bouche, j'en suis incapable.
    Il me dit :
    - Vous êtes engagée…

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vanesmar

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