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Histoire de sexe : Un Noël spécial, Dolorès reçoit ses premiers invités

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 102 23

    Histoire de sexe : Un Noël spécial, Dolorès reçoit ses premiers invités

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    gang bang hotel

    Je ne peux plus attendre. Je trépigne depuis des heures. J'évite de me ronger mes faux ongles. Tout est prêt. Les derniers petits cadeaux, emballés. Il y a toujours cet énorme paquet. Je me suis posé plein de questions sur ce qu’il devait contenir. Mais malgré toute mon imaginations je n'ai pu résoudre cette énigme. C'est surtout le poids je crois qui m'empêche de deviner, le volume par contre m'a permis d'explorer des hypothèses délicieusement perverses. Je me suis dit que cela devait venir de Frank, le mari de ma sœur cadette. Il est dans le spectacle, spécialisé dans la fabrication de décors de théâtre. Mais je ne me suis pas Donner tout ce mal à transformer cette vulgaire chambre d'hôtel en Paradis de Noël pour qu’un intermittent vienne tout me bousiller avec son égo démesuré. Il n’a pas que l’égo d’ailleurs qui est démesuré.

    Il est dix neuf heures et j’en peux plus de la tête aux pieds en passant par la culotte. Je me mords les lèvres, déjà en tenue sur le satin rouge sang. Je fais défiler la vie des autres sur ma page Facebook. Je les regarde eux, sur leurs photos de famille. Leurs têtes ce soir n’auront pas la même expression, leurs regards la même intensité. Je suis là pour booster tout ça une fois par an et une seule. Je vois, comme sur une même image superposés, leurs visages déformés par le désir, leurs sens stimulés par le stupre, leurs yeux motivés par la luxure. C’est une pensée presque hypnotique. Résonnent des mots, des qualificatifs qui viendront: salope, vicieuse, garce, chienne, putain… comme une litanie qui me plonge progressivement dans cet abîme où je ne suis plus que leur chose, offerte et toujours en demande de leur attention perverse.

    Cette sonnerie comme un électrochoc, je ne m’y ferai pas. Ce sont Jano et Frank qui seront donc les premiers et un peu en avance. Le temps semble s’étirer d’impatience jusqu’à ce que retentisse le petit code à la porte de ma chambre. Trois petits coups puis à nouveau deux. La porte est ouverte, je lance l’information assez fort pour être entendue mais pas trop pour briser le ton délicieusement charmant que je pris à ce moment en harmonie avec la position équivoque que j’avais désormais prise sur ce lit king-size. Jano entre le premier suivis de Frank. Ils connaissent le rituels pour avoir les premiers à bénéficier de ces faveurs très spéciales de la part de leur coquine de belle-sœur. Ils ont déjà tous deux entre les mains les queues gonflées qu’il présentent à mon visage. Je respire ces deux bites, je les sens et leur offre quelques baisers doux et juste un ou deux coups de langue chacun comme pour les approuver dans leur noble démarches à toutes deux: me défoncer pour des heures et des heures. Mais je manque à tous mes devoirs en ne leur offrant pas un verre. Ils accueillent cette proposition avec grands plaisir et commencent à s’intéresser à ce gros carton presque plus haut que mon sapin artificiel. Ils ne savent pas de quoi il s’agit mais Frank à l’habitude de mentir tellement bien que je le scrute pour discerner un quelconque indice.

    Nous trinquons tous les trois avec des coupes de champagne, ils ont leurs doigts qui se baladent au niveau de mes hanches, me caressent en se dirigeant progressivement toujours plus bas, vers mon intimité que j’ai hâte de souiller et d’éprouver. Les presque imperceptibles mouvements de mon bassin dirigent chacune des deux mains respectivement vers mon clitoris et mon anus encore étroit, dans une petite danse de la catin des bas-fonds que je commence à devenir. Nos gestes et nos regards pleins de sens et de sous entendus dénotent avec notre petit bavardage, cela doit ajouter du piquant pour moi de prendre des nouvelles de chacun, d’entendre parler de mes sœurs. Je verse quelques gouttes du précieux liquide doré contenu dans ma flûte sur le bout de leurs sexe pas encore totalement irrigués mais au volume déjà généreux. Je pose mon verre pour commencer un massage comme j’en ai le secret. Tout d’abord légèrement avec le bout des ongles j’effleure leurs glands sensibles. Jano perle un peu, cela facilite la glisse de la pulpe de mon pouce et de mon index sur cette surface fine et douce. Je propose à Frank de profiter d’un peu du sperme de mon autre beaux-frère pour adoucir le siens, de gland. Progressivement avec l’effet de pompe auto-stimulé, leurs sexes se mettent à grossir et laisser apparaitre de grosses veines. Jano s’est mis à frotter le bout de son doigts à l’intérieur de mon trou du cul qui commence sa dilatation. Frank m’a prise par le coup et entreprends d’enfoncer sa langue dans ma bouche au lèvres luisante de ce champagne bon marché.

    Commence une étreinte qui ne cessera que dans quelques heures. Nos trois corps ne font déjà qu’un. Je sens leurs mains, leurs doigts épais et rugueux au plus profond de mes entrailles. Mes pieds commencent à ne plus toucher terre. Je m’échappe de la bouche de Franck pour chercher celle de Jano qui attends patiemment. J’essaie de me contenir pour ne pas laisser apparaitre trop tôt l’animal qui est en moi. Mes mains sont prises par ces deux grosses matraque désormais dures comme du béton. Tout deux me regardent comme une chienne. « Lèche mon cul! et toi lèche ma chatte, je veux mouiller de partout, couler dans vos bouches à tous les deux ». Ils n’ont pas pour autant oublié de se servir de leurs mains pour caresser mon corps quand j’ai senti s’enfoncer en moi deux langues dans chacun de mes trous. Pas une partie de moi n’était électrisée à ce moment. Par petites et douces impulsions, une tension me traversait. Ils étaient à mes pieds entrain de littéralement me bouffer, Jano se gardait une main pour se branler ou plutôt garder son érection. Il savait qu’il en aurait besoin. Frank, lui pouvait bander sur commande et j’avoue adorer avaler sa bite encore un peu molle. Jano est très bien pour écarter délicatement mon anus avec sa langue, je vais le garder encore un peu ainsi en lui poussant la tête contre mon petit trou que je dilate et serre par alternance comme si je poussais fort. Cela fait partir Jano dans un gémissement de plaisir pervers: Sentir mon fion bouger comme un être vivant au contact de sa langue fourrée au plus profond, je m’ouvre à lui.

    Maintenant à quatre pattes sur le lit je fais face à l’énorme gourdin de Franck, et comme je l’aime il est encore un peu mou. La peau recouvre son gland, c’est une peau épaisse, douce et forte en goût. Je lui lèche d’abord le bout. Ma langue se fraie un chemin entre la peau et le gland et je tourne ma langue. Cela a pour effet de faire gonfler l’engin et reculer la peau laissant apparaitre son gros gland luisant au grand jour. Ma bouche le gobe et ma langue à l’intérieur caresse cette sensible extrémité. Lui aussi se met à gémir. Je tiens chacune de ses couilles entre mes mains expertes et progressivement je m’enfonce, me retire puis m’enfonce encore. Je sens son gros gland taper au fond de ma bouche pour accéder a ma gorge. Je le regarde avec cette expression d’intense soumission mais lui est concentré sur Jano et sa langue. Jano lui montre le cratère entre mes deux fesses. Je suis ouverte comme jamais. Jano arrive à rentrer trois de ses doigts sans aucune difficulté. Ce petit jeu les excites à tous les deux. Je suis leur jouet et ça, ça m’excite. Franck cherche à voir de sa position l’intérieur de mon trou de balle que Jano lui exhibe. « Tu as vu ce trou du cul, mec?! Regarde-moi ça comme c’est tendre ». Franck sans mot dire plonge deux de ses gros doigts dans ma bouche après avoir retiré sa queue. Une fois lubrifiés avec ma bave épaisse et claire voilà qu’il les enfoncent direct dans mon derrière tout dilaté. Il s’attarde sur les parois, massant ma chair. Je continue de pousser et pousser encore. Je sens que mon intérieur commence à sortir quand Jano retire les doigts de Franck pour se mettre à furieusement me sucer le cul. Je n’en peux plus et me met à gémir à mon tour avant de reprendre goulûment la bite de Franck en pleine bouche. A ce moment ma gourmandise n’a pas de limite. Je suis remplie de partout. Mais on sonne, comme pour annoncer un arrêt de jeu.

    Je me met sur mes deux pieds, tant bien que mal et me dirige vers l’interphone. Nico et Jérôme viennent d’arriver. Je laisse la porte de la chambre d’hôtel entr’ouverte et retourne à mes deux étalons qui ne me quittent pas du regard tout en se malaxant leurs queues raides et luisantes. Je fond littéralement sur celle de Jano, je le gobe jusqu’à la garde tout en présentant mon cul dilaté à Franck qui me fourre de tout son long, d’un coup d’un seul. De part et d’autre je suis prise, j’entends la porte se fermer, quelques commentaires se dires, deux braguettes se défaire et voilà deux autres bites encore odorante de leurs journée passée enfermés dans leurs slips respectifs. Cette odeur fait monter d’un cran mon plaisir de salope asservie aux bons vouloir de cette petite bande de mecs. J’empoigne chacune des deux nouvelles venue et les agitent pour les sentir se durcir entre mes mains, assez pour pouvoir commencer à les branler. Dans leurs bouches les mots de salope, pute, garce, vicieuse reviennent encore et encore. Je gémit en les écoutant comparer chaque partie de mon corps à celles de mes sœurs et de mes cousines. Je suis en possession de quatre piliers, gonflés à bloc prêt à donner de leur personne et de leurs jus à leurs belle-sœur. C’est au tour de Nico et Jérôme de se faire sucer. Jano et Franck entreprennent de me bourrer mon cul et ma chatte dégoulinante. Une fois leurs glands chauds entrés en moi, mon bassin s’abat sur leur deux énormes chibres. Je sens leurs souffles se couper avant de reprendre en cadences des coups de boutoir qui instantanément prennent un rythme régulier. Le va et viens me ferai chavirer si je ne pouvais agripper mes deux nouveaux amis tout durs avec chacune de mes deux mains bienveillantes.

    Ma langue lèche leurs deux glands qui se touchent presque. Ces gars là ne sont en rien gênés. Ils se regardent en souriant de la plus franche camaraderie. Ils partagent le même jeu lubrique et sale: faire de moi leur fourre-bite, leur tire-jus, leur animal de très bonne compagnie. Je suis à eux, je leur appartient toute entière. Je suis toute écarté, tenue par quatre mains. Tout l’intérieur de mon bassin est frappé par les coups de bites simultanés. Je pousse tout mon bas ventre pour mieux ressentir leurs deux queues énormes s’enfoncer en moi avec autant de force et de régularité. Mon visage est assaillis par deux tout aussi gros, membres qui s’enfoncent par intervalle réguliers dans ma bouche béante qui en redemande. J’aime sentir un gland mouillé qui se frotte sur mes yeux plissés par le plaisir. Je sens que mon visage se transforme, que mon maquillage dégouline. Je ne suis que gémissements, râles et petits cris de plaisir. Je suis allongée sur Jano qui me fourre tendrement le fion pendant que Franck n’en fini pas de m’enfoncer le vagin. Mickaël fait le tour pour venir profiter de la vue en bon voyeur qu’il est. D’une main il se branle, de l’autre il frotte mon clitoris avec frénésie. Jérôme m’attrape par la tête et la gorge pour venir s’enfouir dans ma gorge dilaté en vas et viens pleins de fougue. Je sens ses couilles taper au niveau de mes yeux.

    Ce moment d’extase va durer un peu, combien de temps je ne saurais dire mais il y eu à un moment au plus profond de moi une sensation d’intense tremblement. Une sensation qui ne cesse de de développer. Je ne m’en rends pas compte mais à ce moment là je ne contrôle presque plus mes nerfs, je tremble comme jamais, je sens le plaisir monter, mon énergie se vider, la folie me gagner. Cette sensation a dû se communiquer à mes partenaires quand au moment où je comprends que je me vide sur Franck toujours dans ma chatte, que mes éjaculations sont de plus en plus rapprochées comme des contractions de plaisir ultime, que je me répand de mouille, je sens leurs grosses bites en moi, partout se gonfler et se raidir pour l’explosion simultanée de leur huit couilles gonflées à bloc. Je ressens chacune de leurs giflées de sperme, j’entends chacun de leurs gémissements, chacun de leur souffle. Ils viennent par à coups me remplir de leur semence chaude et salée. De ma gorge à mon trou du cul je suis inondée par l’épais fluide mais je continue à subir le frottement de mon clito par Mickaël qui a pour effet de continuer mes jaillissements de mouille sur son visage. Je finis par jouir à mon tour quand une fois retiré, tout ce beau monde est venu couvrir mon visage de leurs membres encore durs et leurs couilles encore sensibles. C’est mon poing fourré dans ma chatte qui me fera poussés mes derniers cris étouffés par la peau tendre et poilue et le relief de leurs boules encore grosses et pleines pour les plaisirs à venir.

    On sonne. Je reprends mes esprits. Nous sommes tous encore étourdis de ce qui vient de nous arriver. Je me dirige vers la salle de bain, je laisse Franck se diriger vers l'interphone. Ce doit être Grégoire, notre petit cadet de 23 ans. Je lui prépare une petite surprise. Beaucoup de choses ont dû lui passer par la tête depuis qu'il a reçu son invitation. J'ai envie de le surprendre. Je veux que la première chose qu'il voit de ce moment très spécial soit la chienne que je suis accroupi dans la baignoire, le corps luisant de la pisse de ces trois mâles. Notre Noël ne fait que commencer.

    A SUIVRE

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par salah :
dolores ton histoire sexe est identique en certain point à la notre (ma femme et moi)..très belle histoire ..
Posté le par wolverine :
hummmm
Posté le par MonsieurGrey :
belle cochonne tres gourmande mmmhh
bisous
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