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Histoire de cul : Un Noël spécial, la préparation

Dialogue chaud :
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    Histoire de cul : Un Noël spécial, la préparation

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

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    C’est la saison de Noël, la période de l’année où je me sens toute chose et pour cause. Je passe toute mon année à bosser comme une folle quand subitement tout s’arrête début-décembre, vacances oblige. Les quinze premiers jours, je les passe chez moi en pyjamas à regarder des séries. Je reste seule avec mon chat. Je me retape. C’est au bout de quelques jours que je commence à avoir certaines pensées. Une fois le stress évacué, je me reprends à penser cul. Et puis, bien! Car tous les ans depuis maintenant cinq ans, c’est le même rituel. Je prépare mon petit Noël à moi.

    Dans ma famille il n’y a que des filles, sœurs et cousines, pas un mec… enfin si, les mecs de mes sœurs et de mes cousines. Ils sont bien tous accrochés, mariés et papas pour la plupart. Ils se connaissent tous très bien pour vivre tous dans le même coin paumé. Je suis la seule à avoir quitté la région pour le travail. J’ai l’habitude d’arriver la dernière chez mes parents, ce qui a pour effet de toutes les énerver. Cela me rend un peu spéciale, c’est le seul moment en famille où je suis présente dans l’année. Les mecs eux, ont leur petit rituel: se retrouver le dernier weekend avant les fêtes pour une soirée appelée: « la soirée mecs ». Ils boivent des bières, racontent des conneries de mecs et leurs femmes ont l’habitude de les chambrer sur le caractère gay de la chose. Si elles savaient… Faut dire que ce sont de beaux étalons, tous sportifs à part le plus jeune, qui est un vrai intellectuel universitaire. Ce sera sa première fois, les autres l’ont briefé.

    Comme tous les ans je loue une chambre à la périphérie de la ville dans un petit hôtel où j’ai mes habitudes. Je reste chez mes parents pour les fêtes mais j’ai cette chambre prétendument « au cas où ». J’y passe en général quatre à cinq nuits, dans un secret tout relatif. Je passe bien deux jours à faire toute la décoration de Noël avec sapin, guirlandes et tout le tralala. Deux jours à me chauffer, me stimuler, m’enivrer de pensées « pas très catholiques ». Alcool et nourriture, tout y est. J’ai ma petite tenue de lutin. J’emballe plein de petits cadeaux. Des petits cadeaux très spéciaux. Je fais presque tout d’une main car je ne cesse et ne peut m’empêcher de me caresser dans ces moments là. Je ne vais jamais jusqu’au bout, car ce serait mal et enlèverait une partie du plaisir. Mais qu’est-ce que je mouille.

    Je suis parti me coucher hier soir fière de mon installation, c’est presque le moment le plus délicieux où je peux m’imaginer tout ce dont cette chambre va être le témoin. Je dors bien cette nuit là et ne m’attendait pas à me faire réveiller par la réception. Un colis viens d’arriver pour moi. C’est la stupeur. Je fais rapidement l’inventaire de tout ce dont j’ai eu besoin et rien ne manque. On me dit que c’est lourd et encombrant. Je suis gênée, je ne sais pas quoi faire. Le livreur se propose à tout me monter dans la chambre. je panique un peu mais je finis par accepter. On sonne à la porte. Le livreur a la quarantaine bien tapée et bedonnante mais aussi de gros bras musclés. Le colis est énorme, posé sur un diable. Je suis en peignoir, lui me regarde des pieds à la tête et semble ravi. Qui ne le serait pas? Je demande à ce qu’il laisse le colis devant la porte mais je dois admettre qu’il a raison, je ne pourrait pas le déplacer toute seule. Il y a une carte qui stipule que rien ne doit être ouvert avant la date « fatidique ». Je ne comprends pas trop, et cela m’excite. Le livreur entre avec sa cargaison et n’en crois pas ses yeux de la décoration de ma chambre. Ses yeux s’écarquillent à la vues des quatre murs et se plissent à la mienne. Une seconde à contempler mon œuvre, la présence de cet homme et les perspectives futures ajoutées au mystère de ce colis font débloquer quelque chose dans ma tête.Je ne lui demande rien, pas son prénom, rien. Je fonce sur lui, mes genoux glissent sur la moquette bon marché, j’arrache presque son pantalon pour laisser apparaître un slip douteux à l’odeur acre. Je respire fort le textile contenant visiblement un outil généreux. On ne se parle pas, pour moi à cet instant il n’est qu’un slip qui ne cesse de grossir en réaction aux caresses de mon visage. J’ai l’impression de voir le textile se rétrécir tant son contenu ne cesse de gonfler. Je continue de le sentir et commence à le tripoter avec mes mains expertes quand tout d’un coup tout semble exploser. Une fois bien grosse et gonflée, sa queue sort de sa cachette et laisse apparaitre le genre d’énorme bout de viande à faire peur. Son gland est parfait, plus large que le reste, comme le chapeau d’un appétissant champignon violacé. Cette odeur intense, celle du mec pas lavé de sa dernière branlette me fait émettre un profond soupir. Je dois me concentrer sur cette queue, ne pas me toucher pour ne pas gâcher ce qui va venir et qui justifie toute cette décoration. Cette bite, je la touche, la regarde, la respire profondément. Lui ne semble pas gêné, le salaud, de m’offrir un chibre dégueulasse, mais je ne lui en veut pas le moins du monde.

    Je tends ma langue en direction du petit trou au bout de cet énorme gland. L’odeur, le bruit de sa respiration qui s’intensifie, accentue la chaleur qui monte en moi. Je tourne ma langue autour de cet appétissant appendice pour le nettoyer, le laver de cette pellicule au goût salé qui fait exploser mes papilles et me fait saliver. Je ne le regarde pas, je me concentre sur cette bite. J’ai ses deux énormes couilles entre mes mains que je masse d’abord lentement puis de plus en plus intensément car je sais qu’elles contiennent ce jus que j’ai envie de prendre plein la gueule. Le tout est démesuré, gigantesque. Je ne rentre pas la moitié de cette queue dans ma bouche. Ma langue fait des tours. J’ai tout le goût en moi maintenant. Je commence à limer furieusement. Il a dû se branler il n’y a pas longtemps car je suis sûr qu’il aurait déjà déchargé si ce n’étais pas le cas. Je suce, j’aspire, je pompe ce dard jusqu’à me faire des crampes aux mâchoires. Ses mains serrent ma tête et la pousse pour faire rentrer sa bite encore plus profondément. Je tire la langue pour faciliter cette pénétration. Je ne salive plus, je lubrifie naturellement d’une épaisse bave chaude. Ma chatte commence à me rappeler à son bon souvenir. Elle me chatouille et je me force à ne pas la toucher pour ne pas rompre ce serment fait avec moi-même. La gigantesque queue commence à rentrer profondément dans ma gorge. Je me retire subitement, je me lève. Lui semble surpris. Je m’essuie du dos de la main le long filet épais et clair qui sort de ma bouche pour lancer le contenue sur ce chibre gonflé de sang. Je fonce vers la salle de bain, j’enfile un jean et un t-shirt avant de revenir. Je croise mon reflet dans le miroir et ne peut retenir le sourire de satisfaction qu’ont les salopes dans les moment de pur vice. Je ne suis pas maquillée, j’ai l’impression de ressembler à une pute au matin et ça me plaît. Je retourne vers la chambre.

    Il est toujours là, les sourcils froncés et le regard sombre, slip et pantalon toujours aux chevilles. Je lui montre le lit, il se détend sans pour autant tout comprendre. Je ne vais pas lui expliquer que je ne veut pas qu’il me touche. Je lui fais signe de s’allonger, il s’exécute. Sa queue commence à débander mais il n’y en a pas pour longtemps. Je lui enlève sa chemise, je veux pouvoir caresser ce gros bidou. Il rebande quand je me pose sur lui. Je frotte mon cul et ma chatte au travers de mon jean sur son visage. Sa bite semble se charger par alternance. La position de 69 sera plus pratique pour faire rentrer encore plus de cette masse imposante dans ma gorge. Je plonge complètement. Je l’ai presque toute entière en moi. Je sens ses mains qui m’enserrent pour pour pousser encore plus loin, je ne peux retenir des gémissement et des spasmes d’étouffement. Il retire son emprise sur ma tête, je m’éjecte pour pouvoir prendre une grande inspiration. Il sait quand s’arrêter et ça me rassure. Je me tourne vers lui, lui offre mon plus beau sourire de salope dégoulinant de cet épais liquide clair. On se regarde intensément avant que je fonce à nouveau pour m’enfoncer encore plus loin et encore plus vite. Le temps ne compte plus. Lui et moi on est sur la même longueur d’ondes. Je ne sais pas comment décrire les sons, les bruits à peine humains que l’on émet lui et moi. Ce que je lui fait je le sais, est exceptionnel. Je lime sa grosse bite comme une chienne sale. Je crache sur son gland tout en malaxant ses couilles chaudes. Je le sens gémir, je sens que ça va venir, ça viens et subitement je m’arrête. Je me lève et le regarde, méprisable mais si excitant. Je masse mes mâchoires éprouvées.

    Je lui fais comprendre que c’est à mon tour de m’allonger. Il me cède la place. Je prends bien soin de laisser ma tête dépasser du bord du lit. Son sourire lubrique me prouve qu’il n’est pas idiot. Le lit est assez bas et lui assez grand pour qu’à genoux, sa queue soit à la bonne hauteur. Il commence à me pénétrer en me serrant la gorge, son gland reste encore au niveau de ma bouche. Je sors mes dents pour lui procurer une autre sensation qu’il semble apprécier pendant un petit moment. Une de ses mains attrape ma mâchoire de part en part pour l’ouvrir encore plus grand, je comprends ce qu’il veut et m’exécute. D’un coup violent il entre de toute sa longueur et pendant quelques secondes qui me paraitront une éternité il me fourre de vas et viens profonds et rapides, jusqu’à figer sa queue épaisse au plus profond de moi, je sens les poils de ses couilles sur mon nez et mes yeux, je pars complètement. A ce moment j’ai presque un orgasme de la gorge. Mes doigts caressent ses fesses fermes et je me prends à vouloir insérer mon index dans son étroit trou du cul. Il montre un légère résistance mais se détend laissant entrer mon doigts profondément en lui. Nos va et viens s’accordent. Je ne respire presque plus tant il me serre la gorge, je m’étouffe de plaisir juste avant qu’il ne se retire. Il approche son visage du miens, je crois qu’il veut m’embrasser, mais il ouvre grand la bouche pour que je lui crache ma bave. Il la goute comme un délicieux nectar, il retire mon doigts encore enfoncé dans son cul pour le porter à son nez. Il se tiens debout et commence à se branler, stimulé par la vision de cette pute que je suis, souillées et luisante de luxure et l’odeur intense qui sort directement de son cul. Je ne peux à ce moment céder à l’envie de me toucher aussi. Cela prendra moins d’une minute pour que tous deux nous arrivions au climax de notre plaisir simultané. Je sens son corps vibrer comme le mien. C’est une torpeur qui m’enivre, une chaleur qui monte jusqu’à ressentir l’ultime râle de mon partenaire qui fait jaillir sur ma figure déjà souillée de bave, un liquide épais, chaud et odorant. J’ai l’impression de me noyer tant il y en a. Je me nourris de ce jus, je réunis tout ce qui n’a pas atterris dans ma bouche pour l’engloutir goulûment, comme la chienne affamée de sperme que je suis. Je râle comme un animal en proie à une nature perverse. Il frappe sa bite contre montre mon visage humide et tiède. Le plaisir est si bon, la sensation si intense que j’en pisse dans mon jean. Je lâche tout.

    Il demande à se diriger vers la salle de bain où je l’y rejoins. Il se rafraichit au lavabo pendant que je retire mon jean souillé et m’assoie sur les toilettes. Il reste figé et me fais comprendre qu’il a besoin de pisser. Je lui cède d’abord la place avant de retirer mon t-shirt et m’accroupir dans la baignoire. Je lui demande de nettoyer mon visage qui sèche de bave et de sperme, avec sa pisse. Il s’exécute docilement et le liquide brulant commence à couler, sa bite rétrécie mais qui montre encore des signes de vigueur. Dans ma tête le vide se fait, mais aussi dans mon bassin. Au fur et à mesure que sa pisse m’éclabousse la figure, ma bouche s’ouvre pour boire un peu de ce liquide salé, je commence à pisser moi aussi. Je me sens soumise mais en confiance avec cet homme qui me fait tout lâcher d’un coup. Après avoir généreusement pissé sur mes seins, ma gueule et dans ma bouche de salope, il se remet à bander.

    Je ne peux pas le laisser comme ça. Toujours souillée par les fluides multiples de notre étreinte vicieuse, j’ouvre grand la bouche et tire ma langue pour accueillir à nouveau ce braque turgescent qui n’a pas finis de tout donner. Ma gorge ne peux plus accueillir cette étreinte avec la même force, c’est avec une main que je le branle, son gland salé de sperme et de pisse. Il force, il a envie encore le dégueulasse et je le laisse faire. Voilà qu’il s’enfonce encore dans ma gueule. Les spasmes font couler des larmes qui m’aveuglent et ne laissent à mon esprit que les sensations. Mes nerfs lâches, je n’ai plus aucune prise accroupie comme une souillon pleine de pisse dans cette baignoire d’hôtel. Une poussée profonde dans ma gorge et mon bas ventre se dilate. Voilà que je chie de plaisir. Je me retire de son emprise sur ma bouche. J’essuie mes yeux, je suis un peu gênée.

    Nos regards se croisent et je lis une intense satisfaction sur son visage. Il se penche et tends la main vers mon cul dilaté et souillé de merde qu’il frotte avec frénésie pendant que je reprends sa bite dans ma bouche. J’aimerai qu’il ai encore de quoi pisser dans ma gorge. Sa main pleine de mon caca odorant, il se retire pour en badigeonner sa queue qui n’avais jusqu’à présent jamais été aussi grosse. Je voulais du goût pour cette queue, j’ai été servie. Il s’est mis à me fourrer la gueule avec frénésie, me poussant à ouvrir toujours plus grande ma bouche. Il met ses deux pieds dans la baignoire. Désormais quoi qu’on fasse cela sera facile à nettoyer. Ses mains sont rivée à l’arrière de mon crâne, tenant mes cheveux par poignées. Mes mains rejoignent les siennes pour lui indiquer d’aller encore plus vite encore plus fort et il le fait bien. Cela dure jusqu’à ce que je manque encore de m’étouffer. Il retire ma gueule de sa bite pour me forcer à le regarder un instant avant de recommencer à me bourrer de sa queue au délicieux gout de merde. Je sens la matière brune s’agglomérer sur les contour de ma bouche. Je ne suis plus rien à cet instant, un concept, réceptacle de toutes les envies et des fluides les plus sales de cet inconnu. J’étouffe, il se retire, j’ai un râle, presque un rire d’intense satisfaction. Il prends le petit miroir posé près du lavabo pour me montrer le reflet de mon visage sali par sa pisse, son sperme et ma merde encore chaude au gout amer. Je n’en reviens pas de ce visage marqué par le vice et le stupre. Mes yeux sont marqués, mes traits sont tirés. Je ne suis plus moi. Je lui demande d’aller au bout, d’aller au fond de ma bouche, de ma gorge. Il est beau dans la domination.

    Ses doigts caressent mes lèvres avant de se saisir de ma langue qu’il tire assez sans que je ressente de douleur. Il la tiens entre son pouce et son index tout en recommençant à pénétrer ma gueule d’animal en rut. Mes mains se dirigent toutes seules, l’une dans ma chatte et l’autre dans mon trou du cul. Je pousse en les alternant l’une et l’autre. Je vibre, j’exulte, je ne maitrise plus rien. Il force et il passe au plus profond de ma gorge. Je gémis, mes cris sont étouffés par le volume de sa bite. je l’entend me traiter de pute, de salope, de chienne. Mes regards n’indique rien d’autre que la soumission et l’intense plaisir d’être dominée. Ma langue est toujours sortie, il reste plusieurs secondes à me coincer la tête, ma bouche touchant la base de sa queue quand tout mon organisme se mit à vibrer violemment. Il le sent et desserre la main qui maintient mon crâne enfoncé mais je retire vivement celle insérée dans mon cul que je dirige vers ma tête pour qu’il continue à pousser encore et encore. Je suis au bout, je sens que ça vient, je frotte frénétiquement mon vagin et je crie sans pouvoir n’être entendue que par lui. Le plaisir de mon bassin, la sensation de mon clito remonte jusqu’à mon estomac jusqu’à une explosion encore pour moi inconnue. De l’étouffement et du plaisir clitoridien je ressens le besoin de me retirer violemment et ne peut me retenir, tout en continuant à me frotter, de lui dégueuler sur sa bite et ses couilles déjà visqueuse de ma bave chaude. C’était essentiellement liquide, je n’avais jamais fait ça, j’étais prête à le jurer quand je levait le regard sur lui, honteuse. Je n’avait pas senti qu’il venait de jouir en même temps que je m’étais répandue. Il ne m’a pas laissé le temps de dire un mot. Il s’est accroupis et a glissé dans la baignoire pour se retrouver allongé m’étreignant sur lui, me regardant intensément avant d’embrasser ma bouche de sale pute dégueulasse comme on embrasse une sainte relique. Nos langue se mêlent, nos goûts se transmettent. Contre lui je me blottis, ayant épuisé toutes mes résistances. Il me relève lentement et tendrement. Il sent que je tiens à peine debout, éprouvée par les spasmes et les orgasmes. Il actionne la douche que j’arrête un instant pour profiter une dernière fois d’un baiser intense, sale et savoureux à la fois avant de voir tous nos fluides disparaître dans la bonde. Nous nous lavons mutuellement, je suis surprise par sa douceur à présent, sa délicatesse à rincer mes cheveux et mon pubis.
    Nous nous séchons sans un mot l’un pour l’autre. Je met mon peignoir et lui se rhabille. Il se regarde une dernière fois dans la glace, reviens vers la chambre. J’entends son diable et la porte qui s’ouvre. Je fonce pour le rattraper.
    -J’organise une petite fête ici demain soir… la déco c’est pour ça… tu veux venir? c’est à 20h00, jusqu'à ce que j'en puisse plus.
    Il n’a rien dit, mais a sourit puis il est sortit.
    J’ai dormi toute la journée. Je suis épuisée mais il me tarde ma petite sauterie. J’espère qu’il viendra. Je dois encore faire quelques préparatifs afin de recevoir tout ce beau monde. Je sens que ce Noël va être très très spécial.

    A SUIVRE

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