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Recit erotique : Une autostoppeuse très chaude
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34Recit erotique : Une autostoppeuse très chaude
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/03/2016
Publié le 08/03/2016
À deux sur une jeune « pouliche »
Avec Jord, mon pote breton, je fais les quatre cents coups depuis la sixième, c'est dire si on se connaît... On se connaît même la bite ! Enfin, je veux dire qu'on baise les meufs assez souvent à deux. On est comme deux frères qui partagent tout. Le comble, c'est qu'en prime on se ressemble pas mal. Le mimétisme, sans doute...
Bref, là on est tombé sur une espèce d'auto-stoppeuse... oh, my God ! Le genre chienne-au-dernier-stade; plus salope, je crois que y a pas. Et t'y crois encore moins quand d'emblée tu la vois, avec sa tête d'ange et son air avenant... un peu beaucoup d'ailleurs, c'est peut-être là que le bas blesse.
C'est en l'invitant à prendre place à l'arrière de la voiture que Jord a eu l'occasion de noter qu'elle ne portait rien sous la mini-jupe. Un clin d'œil du pote et j'ai compris qu'il disait par-là: "Celle-ci, elle doit être bonne!".
C'est elle qui a parlé cul en premier, notre sujet favori bien entendu. Cette fois, on était bel et bien tombé sur le stade encore au-dessus de la nympho. C'est devenu plus limpide encore (des fois qu'on n'aurait pas compris, n’est ce pas ?), quand elle a tout bêtement lâché :
- Les mecs disent que je fais les pipes comme personne...
Silence dans l'habitacle ; Jord manque de s'étouffer et moi je propose de nous arrêter. Car moi, j’ai envie de pisser, réellement. Je ne sais plus ce que je dis mais ce dont je suis sûr c'est que, vu l'allumée de la chatte qui a pris place derrière, ça va plutôt être du foutre qu'on va pisser !!!
Sitôt débarquée sur le parking, la petite meuf nous allume à donf. Elle remonte sa mini qui déjà dans la voiture ne lui couvrait plus vraiment la touffe ; elle relève ça, mon vieux, jusqu'aux reins !
Elle se fendille déjà la chatte d'un doigt avant de le porter, sûre d'elle, à la bouche de Jord. Et là, je le vois, avec sa bouille d'excité, disparaître et piquer droit sur les nichons. Il va en ronger les pointes comme un fêlé, je le connais bien, mon Jord !
Moi, j'ai du retard ; vite je m'installe derrière la croupe de la pouliche. Et j'écarte, et j'écarte ! À pleines poignées, j'arrive sans peine à lui disjoindre les fesses au point d'en faire remonter la raie en surface. Zoom sur le fion : cette salope se met à le faire clignoter exprès. Je doigte illico. Un... et puis non, deux doigts ; c'est largement meilleur d'entrée de jeu, hein, ma chérie !
J'hésite maintenant entre bouffer ou creuser encore... avec les deux pouces, s’il vous plaît ! Eh oui, les tarifs augmentent vite chez nous. Un coup d'œil entre les gambettes de la belle môme et j'aperçois ce copieur de Jord, accroupi, en train de s'attaquer sérieusement à la moule. Si j'en juge par les bruits mouillés qui me parviennent déjà, il se débarbouille à la mouille, ce salaud !
C'est bon, par-devant, les babines ? Raconte un peu moi ça ! Inutile, Jord ne répond jamais, surtout si comme souvent ma question est conne. Je n'y peux rien, moi, j'aime la tchatche, en l'occurrence avec ce fion qui, lui, répond à sa manière à tout ce que je demande. Ouvre-toi ! Pousse ! Referme-toi ! Clignote maintenant ! Ouiii, ça a l'air d'être ta spécialité, dis donc, ma jolie !
Je renfonce alors les deux pouces qui vont me servir à allonger l'anus jusqu'à obtenir une bonne petite fente verticale. Je tire à chaque bout, la salope me gémit que c'est trop bon de se faire déchirer le fion. Putain, comme elle parle !!! Elle rajoute qu'elle veut plus. Et elle insiste, insiste…
Ça tombe pas trop mal, j'ai la queue qui me fait mal à force d'être archi raide et privée de lime. En un tour de main, je me redresse, je plante, et je me mets à te l'enculer, quelque chose de bien ! Direct à fond la caisse !
À chacun de mes coups de queue, c'est autant de coups de chatte que Jord doit se prendre en plein tronche, c'est sûr et certain. Dépité, je le vois réapparaître par dessus l'épaule de la nymphette. A-t-il bien arrimé sa bite à la moule, le frangin ? Oui, c'est bon... Nous voilà à l'œuvre tous les deux. Pas la peine d'essayer de coordonner nos limes, on n'y arrive jamais. Si lui, il bourre comme d'hab en profondeur, moi c'est plutôt les recoins. Je laboure l'intérieur de ce fion, centimètre carré par centimètre carré.
Je m'userais le gland à ça tellement je m'éclate à le faire. Et je lime, et je lime maintenant en profondeur. Son fion n’est pas vraiment serré, loin de là, mais c’est bon quand même d’enculer cette bonne petite salope. Je sens que je vais jouir, je n’essaie même pas de me retenir, je n’y arrive jamais. Alors je donne mes derniers coups de queue…
Je remplis ma capote le premier. Eh merde, tiens! C'est fini pour moi... Mimétisme ou copiage, comme vous voudrez, Jord gicle à son tour dans les trois minutes !
Il va être temps de reprendre la route. J'ai envie de dire à la brunette :
- Ça va, on s'est bien occupé de ton cas comme tu voulais ?
Mais je me contente d'un... :
- Heu... c'est par simple curiosité, mais tu as quel âge ?
Elle avait vingt et un ans, d'accord, mais de toute évidence avec de la bite au compteur !!!
Eh ben mon vieux, c'est plus ce que c'était !
Nous remontons dans la voiture. La petite nénette nous dit qu’elle a trop aimé et elle nous gratifie d’un « Vous êtes de très bons baiseurs, les mecs ! ». Elle est d’un vulgaire quand elle parle, au point qu’elle me redonne la gaule, cette chienne.
Une heure plus tard, nous faisons une nouvelle halte sur une aire de stationnement déserte. Ce coup-ci, c’est moi qui passe devant tandis que Jord s’apprête à l’enculer. La pauvre s’en prend alors plein les trous mais c’est pour son plus grand plaisir…
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