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Histoire de cul : Une copine de ma fille m a sucé

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    Histoire de cul : Une copine de ma fille m a sucé

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Elle me suce dans la cuisine

    Je me suis fait sucer par une copine de ma fille dans la cuisine

    Aujourd'hui nous sommes samedi soir et je n'ai pas le droit à l'erreur.
    Si je veux conserver toute la confiance que peux m'apporter ma fille Laurie, je ne dois pas fauter et absolument retenir mes vieux démons.

    Ce soir, ma fille reçoit ses copines pour regarder un épisode d'un télé crochet télévisé bien connu qui la passionne fortement.
    Il y a parmi les chanteurs des petits minets qui semblent plus convaincre les fans de la gent féminine par leur physique plutôt que par leur voix.
    Mais c'est un peu le jeu. Ma fille et ses copines ont tout juste 18 ans et ce sont encore des enfants, des petites princesses qui s'émerveillent devant les princes charmants, des naïves aux grands cœurs qui ne s'attendent pas à ce que leur petit cœur frêle soit brisé plusieurs fois pendant le reste de leur vie.

    Aujourd'hui j'ai pour mission de préparer le repas dînatoire pour ma fille et ses copines.
    Le plus important, comme me l'a bien précisé plusieurs fois Laurie, c'est que je me transforme en ombre et disparaisse sans faire un bruit au moment où les filles arrivent à la maison.
    Je lui dois bien ça à ma petite chérie. J'essaierai donc de devenir un ninja des plus discret le moment venu.

    Il faut dire que la dernière fois qu'elle a invité ses copines à la maison, j'ai voulu en faire trop et ça l'a mis mal à l'aise.
    Je devenais trop collant et trop présent selon elle et je lui mettais donc par la même occasion, la honte devant ses amies !
    Mais ce soir je suis prêt pour que ma petite princesse passe la meilleure soirée avec ses copines à la maison.
    Je préfère tellement la voir ici, entourée et bien protégée plutôt que dehors, à la merci de ce monde de sauvage et de brutes qui la mettent constamment en danger.
    J'ai beau essayer de l'inciter à s'habiller soft pour ne pas attiser les convoitises, mais je me doute qu'elle a toujours des rechanges dans son sac pour frauder.
    Sa mère faisait pareil lorsque nous nous étions rencontrés pour la première fois.

    De toute façon, depuis 1 mois elle a eu ses 18 ans et s’il y a bien quelque chose que je ne peux pas oublier justement, c'est bien cet âge qu'elle me rappelle et me jette au visage à chaque fois que je lui impose un petit truc qui justifie qu'elle sorte la carte 'je suis majeur je fais ce que je veux'

    Ce soir je leur ai préparé un petit repas plateau sympa avec des parts de pizzas, du pop-corn, des bonbons et des friandises, des gâteaux apéritifs...bref tout ce que les filles adorent grignoter en regardant des petits minets de dandiner en chantant à la téloche.
    J'ai tout organisé, tout est prêt et disposé dans le salon, je n'ai plus qu'à m'effacer et à laisser ma fille prendre le relais.
    Après un petit bisou sur la joue et un gentil « merci papa t'es le meilleur », voilà mon petit ange qui me pousse subtilement vers la sortie, en me saisissant par le coude et en m'accompagnant dans ma chambre comme pour me congédier.
    Je joue le jeu, c'est la règle...J'ai promis de ne pas la décevoir pour cette seconde chance qui m'est donnée.
    Je m'installe dans mon lit, allume la télé et lui souhaite une bonne soirée tout en lui rappelant que je ne suis pas loin si elle a besoin de moi.
    Elle esquisse un sourire et ferme ma porte. Je pense que si on pouvait la verrouiller, elle l'aurai fait en gardant la clé de la serrure autour du coup sur une chaîne.

    20H30, les convives débarquent, j'entends la sonnette, des bisous et des petits rires féminins...les deux copines de Laurie semblent en forme et surtout bien euphorique.
    Dans une demi-heure elles vont pouvoir faire ce que font les minettes de leur âge devant la télévision, critiquer, débattre et se moquer de tout et de n'importe quoi...
    Tout semble se passer correctement, sans embûches puisque ma fille ne vient pas me voir pour me demander quoi que ce soit..Du coup je râle un peu intérieurement, me sentant inutile...sentant qu'elle grandit et qu'elle a de moins en moins besoin de son papa...
    J'ai besoin d'une bonne bière fraîche pour me changer les idées...surtout que mon programme télé dans ma chambre n'est pas bien folichon...il n'y a pas grand-chose et il est hors de question que je regarde la même chose que ma fille, de mon côté sans elle...
    Mais pourquoi n'ai-je pas pensé à installer un mini frigo dans ma chambre ?!
    Il va falloir que je traverse le couloir à pas de loup et tel un assassin, me repère dans le noir de la cuisine pour ne pas qu'on découvre que je suis dans la maison.

    Il est à peine 22 heures et je n'ai absolument pas sommeil...cette bière est vitale pour organiser ma soirée à ma sauce solitaire...D'ailleurs quand je dis une...je prévois même de prendre un pack pour éviter de trop nombreux aller-retour qui m'exposeraient dangereusement sur le terrain de ce champ de bataille où je ne dois pas me faire repéré.

    Le couloir et la cuisine sont éteints, je marche à tâtons dans le noir, en entendant au loin l'émission qui se diffuse dans le salon et les rires de ma fille.

    Me voici alors dans la cuisine, toujours dans le noir, torse et pieds nus et en caleçon du soir.
    Je me repère assez bien et évite l'angle de la table, me dirige vers le frigo et en ouvre la porte qui éclaire une partie de la cuisine en même temps

    Je saisis le pack de bière et me prépare à vite refermer la porte lorsque tout à coup une voix s'adresse à moi subitement.

    « Je pourrai en avoir une, Monsieur ? »
    Je me retourne en laissant la porte du frigo ouverte pour avoir un peu de lumière et vois sa copine Marina, assise tranquillement à la table.

    « Bonsoir Marina, tu faisais quoi ici dans le noir, tu ne t'amuses pas avec tes copines ?»

    Elle toussote un peu et me lâche un truc tout à fait surprenant.

    « Non, en fait je suis venue ici dans l'espoir de vous voir...j'ai...comment dire...une petite attirance pour vous monsieur...je ne saurai pas l'expliquer...la maturité...je suis souvent attirée par les vieux ! »

    Je me gratte nerveusement la tête et la remercie pour le terme vieux, lui rappelant que je n'ai quand même que 40 ans et la remercie de son attention.

    Je lui réponds ensuite poliment que je ne peux pas faire ça avec elle, qu'elle a la moitié de mon âge, et même pire, carrément l'âge de ma fille et que je ne peux pas risquer de gâcher la soirée de ma petite Julie en répondant favorablement à ses avances.

    Elle enchaîne alors.
    « Avant que vous débarquiez dans la cuisine, j'étais dans le noir et j'étais justement en train de me caresser la chatte en pensant à vous...regardez sous la table, ma petite culotte est encore au ras de mes chevilles là... »

    Je me penche un peu pour voir si la bougresse ne se fou pas de moi et je constate alors avec surprise qu'en effet, sa petite culotte rose en dentelles est bien à ses pieds.

    Mes vieux démons reviennent...je sens mon chibre gonfler et grossir dans le caleçon.
    Mais je lutte et m'oblige à penser à ce que ma fille, a 15 mètres à peine d'ici, dirait en me voyant en train de jouer à touche pipi avec une de ses copines sensées passer la soirée avec elle...

    Je recule un peu de la tentatrice, bite bien raide dans le caleçon moulant, qu'elle remarque, fixe avant de me lâcher un truc bien salasse que je n'avais entendu que dans des films pornos.
    « Je vous fais bander dur on dirait ! Ça vous dérange si je continue à me doigter en regardant votre belle queue Monsieur !? »

    Cette nana est vraiment barrée ! Je la connais depuis peu, c'est une nouvelle copine de classe de ma fille et j'ai dû la rencontrer deux ou trois fois, mais je ne me serai jamais imaginé me retrouver face à elle dans cette situation.

    Je recule encore un peu et me retrouve coincé contre le plan de travail de la cuisine.
    Je suis tellement troublé que j'en ai oublié de fermer le frigo qui illumine toujours une partie de la cuisine dont la table et cette petite cochonne que je vois en train de se fourrer des doigts dans sa petite chatte en reluquant ma bite qui ne cesse plus, pour le coup, de grossir encore plus.

    Elle se lève alors subitement en lâchant un « Quel gâchis ! Je veux que tu me jouisses dans la bouche ! »

    Je crois bien que les festivités sont ouvertes ! La voilà qui se rue sur moi.
    Ne souhaitant pas attirer l'attention des autres filles dans le salon j'essaie de faire le moins de bruit possible et de ne pas hausser le ton.
    Mais je n'ai même pas le temps de la repousser qu'elle m'a déjà descendu le caleçon aux genoux et qu'elle a déjà commencé à engloutir mon chibre tendu vers le ciel !
    Je ne peux plus reculer, acculé contre les meubles, avec cette belle petite salope qui s'active à me bouffer la bite comme une sauvageonne.
    Je l'attrape par sa queue de cheval et tente de lui faire lâcher prise en lui expliquant que je ne veux pas que ma fille nous surprenne, mais elle semble s'en foutre et force le passage de nouveau pour engloutir ma bite en la saisissant par les mains avant de la refoutre le plus profondément possible au fond de son gosier.

    Je n'ai pas le choix, je ne peux plus reculer maintenant et je ne peux que donner à cette pompeuse de dards bien experte, ce qu'elle réclame. 
    « -Dis-moi quand tu viens, je veux recevoir ton jus dans ma bouche ! »
    Il ne m'en faut pas moins pour commencer à rentrer dans son jeu.
    Elle est là, en train de lécher ma tige, de faire des aller-retour dessus avec sa langue avant de la replonger dans son gosier.
    Elle prend soin de s'amuser de temps en temps avec le gland, en le suçant délicatement, en le contournant du bout de sa langue de chaudasse et s'amuse même à venir tenter de faire quelques suçons à mes couilles qui ne savent plus de quel côté danser...
    Je lui saisis la tête à deux mains et me décide enfin à baiser sa bouche.
    Bien agrippée, je me donne pour mission de lui en foutre un max au fond de sa gorge pour qu'elle sente mon gros vier s'enfoncer au plus profond d'elle et la forcer à s'étouffer pour constater qu'elle a l'engin dont elle rêvait depuis toujours, bien en bouche.

    Elle s'étouffe et son rimmel commence à couler le long de ses yeux...C'est bon signe, elle voulait sucer, qu'elle assume maintenant !
    Je retire ma bite pour la laisser respirer.
    Elle inspire un grand coup comme pour récupérer de l'air qui lui manquait, et je n'attends même pas qu'elle se stabilise pour lui refourguer violemment ma tige dans la bouche.

    Je recommence à lui baiser sa belle bouche humide et je sens le jus commencer à taper à la porte.
    Je lâche alors dans un braillement digne d'un homme de Cro-Magnon
    « rhaaaa je viens ! je viens! »
    Elle recule sa tête, sort ma bite de son garage à foutre et ouvre bien grand la bouche pour que je lui crache la purée dans la bouche.
    Je n'ai même pas besoin de me finir à la main...Me voilà qui éjacule tout mon jus à grosse dose dans sa bouche alors qu'elle me regarde droit dans les yeux en me souriant.
    Je n'avais jamais vu auparavant une femme être aussi contente de se faire gicler dans la bouche...
    Elle se relève, s'essuie un peu le coin des lèvres avec un de ses doigts.
    Je lui tends un morceau de sopalin et l'invite à s'essuyer un peu le rimmel qui a coulé le long de ses joues.

    Elle me regarde avec un grand sourire et tout en repartant pour le salon, me dit
    « -vous savez que l'émission dure plus de 2 mois...c'est tellement sympa chez vous que je vais demander à Julie de venir mater le jeu tous les samedis soir ici... »

    Je suis mal barré...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
Hummmmmm C'est chaud chez toi
Posté le par Anonyme :
J'ai du mal a le croire
Posté le par MrKargal :
Tu as de la chance profites à fond ! Raconte nous tout !??
Posté le par cpl68 :
Super sympa j'espère que tu vas remettre sa tout les samedis et nous raconter
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Nicolas

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