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Histoire erotique : Une fellation sur le canapé

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    Histoire erotique : Une fellation sur le canapé

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Fellation sur canapé

    Le côté obscur de Maelle
    Très timide étant adolescent, je n’ai jamais osé aborder une femme avant mes 17 ans. Et comme j’avais peu d’estime pour moi-même à cette époque, je n’aurais jamais découvert les plaisirs du sexe sans la voisine divorcée d’à côté. Une belle femme de la trentaine avec une poitrine exubérante, des courbes vertigineuses au niveau de la hanche et des fesses dans lesquels j’avais tant de fois fantasmé de plonger mon visage. Je me demandais si la catégorie « MILF » dans mes sites pornos favoris n’était pas inspirée de cette beauté dont les vêtements de femmes matures m’excitaient encore plus. Elle m’avait une fois surpris en train de l’admirer de la fenêtre de ma chambre alors qu’elle discutait de je ne sais quel sujet avec ma mère. Elle me lança un regard complice qui me fit fuir ses yeux, grand timide que j’étais.
    L’amitié que j’ai liée avec son fils de 16 ans, revenu d’un long voyage avec son père américain, fut pour moi la promesse d’une libération de ma timidité profonde envers la gent féminine. Invité régulièrement chez lui, je ne pouvais m’empêcher de plonger mon regard dans les seins de sa mère, m’imaginant en train d’assouvir sur son corps toutes les cochonneries objets de mes fantasmes. De son côté, elle continuait à me lancer ses regards aguicheurs, comme si elle devinait à quel point j’avais envie de la baiser. Un beau jour, elle m’a ôté du lourd fardeau de mon pucelage dans sa cuisine, alors que son fils jouait aux headbangers en passant à mille décibels son album Metallica préféré dans le salon, juste à côté.
    Depuis ce jour, je pouvais dénicher dans le regard des femmes l’étendue de leurs pulsions sexuelles inassouvies. Je pouvais sentir, comme grâce à un sixième sens, les fantasmes qu’elles prenaient soin de cacher aux yeux de tous. Ces pulsions, je les ai directement reconnues en voyant Maelle, la nouvelle assistante de Julien, mon mentor. À 22 ans, j’ai pu rejoindre l’équipe de ce photographe qui donnait des conférences et organisait des expositions ici et là. L’aventure devait durer au moins 2 ans. Après 5 mois sur les routes, je devenais un membre à part entière de cette équipe de 6 personnes qui suivait Julien partout où il allait. Nous étions tous amis et fêtards et la petite partie de jambes en l’air que j’ai eu avec Chloé, la responsable de la communication, fut vite oubliée. L’arrivée de Maelle allait ajouter encore plus d’adrénaline à cette aventure déjà intense.
    La jeune femme de 19 ans avait beaucoup du mal à cacher sa timidité. La première fois que Julien nous l’a présenté, elle avait à peine pu placer un petit « merci » parmi nos « bienvenus » chaleureux. Dans les jours qui suivirent cette présentation, je ne pus m’empêcher de lui jeter des regards demandant qu’elle évitait en baissant les yeux, puis en feignant de se toucher le nez. Cette marque de timidité, je l’avais vécu pendant plusieurs années de mon adolescence. Je savais que cette fille avait un côté obscur que ses vêtements ni son comportement ne laissaient paraître ouvertement. Je la trouvais sexy ! Les traits de ses seins ne pouvaient être cachés par aucun vêtement et ses jambes bien lisses avec des formes harmonieuses me donnaient une petite idée de ce qui se trouvait plus haut. Bref, j’avais envie d’elle et je savais qu’elle avait, elle aussi, des fantasmes aussi cochons que les miennes.
    Pendant une exposition de sept jours, la gentille Maelle devait passer chaque soir, à 19h30, dans ma chambre pour me demander quelques rapports journaliers. La quatrième nuit, je me décidais à me lancer dans la découverte des fantasmes de cette jeune fille qui faisait, depuis quelques semaines, le nouvel objet de mes fantasmes. À quelques minutes de son passage, je pris soin de ne pas fermer la porte, de me mettre sur le canapé, une revue porno dans une main et ma queue dans l’autre. Ma pine se mit rapidement au garde-à-vous rien qu’en imaginant la réaction de Maelle quand elle rentrera dans la chambre. À 19h32, elle frappa à la porte. Je gardai le silence après sa seconde tentative. Finalement, elle se décida à entrer et me surprit les yeux fermés en train d’astiquer ma queue bien droite.
    - Oups ! Je m’excuse ! s’écria-t-elle en se retournant et en mettant sa main sur sa pommette, comme pour cacher ses yeux.
    - C’est pas grave ! Dis-je tout en continuant à me branler.
    Je la fixais, espérant qu’elle tourne son regard vers moi et mourant d’envie de découvrir sa réaction en voyant cette queue bandée devant elle.
    - Reste, tu es venue pour les rapports ? Murmurais-je
    - Oui, répondit-elle en se retournant vers moi.
    Debout face à moi, elle me lança un regard et baissa les yeux aussi rapidement alors que je continuais à jouer avec mon engin. Quelques secondes de lourd silence passèrent, avant qu’elle ne relève la tête. Je décelai le désir qui la traversait et qui se reflétait dans ses yeux. Elle voulut me tourner le dos, mais ses talons semblaient la retenir. Je lui tendis la main en lui disant de venir. Elle fit un pas en avant et prit ma main que je posai doucement sur ma bite. Sans me repousser, elle s’agenouilla devant le canapé. Elle ne me regarda plus, elle n’avait d’yeux que pour ma queue. Elle commença à la serrer dans ses doigts et passa la paume de son autre main sur la tête de la queue. Après quelques caresses, elle se mit à me branler toujours plus rapidement, le regard rempli d'admiration et d'envies. En voyant ses lèvres trembloter, je la pris par les cheveux pour approcher son visage de ma bite. Elle me regarda comme pour me demander l’approbation avant d’enfoncer la queue dans sa bouche. Elle l’enferma entre ses lèvres tout en donnant des coups de langue. Le plaisir me monta à la tête me poussant à tenir encore plus fermement ses cheveux. Elle poussa un petit cri de plaisir que j’entendis à peine, sa bouche était bien trop remplie pour émettre le moindre son. J’ai fini par exploser et mes muscles se ramollirent. Elle garda ma queue dans sa bouche, même quand je lâchais ses cheveux. La gourmande avala mon sperme jusqu’à la dernière goutte en prenant soin de lécher celles qui coulaient sur la queue et sur ses doigts.
    Sans me regarder, elle se releva, se tourna la tête baissée en s’approchant de la porte.
    -Je prendrai les rapports demain matin, dit-elle en sortant. Elle claqua la porte sans oser affronter mon regard, petite timide qu’elle était.

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