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Recit X : Une rencontre inattendue

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    Recit X : Une rencontre inattendue

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Le charme d'une rencontre inattendue

    Depuis longtemps, je rêvais de me rendre à Florence en Italie. Ayant pu me libérer pour un week-end prolongé, je me suis rendu à mon agence de voyages habituelle. Je commence par retenir une chambre d'hôtel et par demander une place dans l'avion qui quittait Roissy à 14 heures. Mais la guichetière me dit que tous les avions pour Florence sont déjà complets. Elle me propose alors de prendre un train de nuit de Paris à Florence et m'indique qu'il part de la Gare de Lyon à 20 heures 04 et qu'il arrive à Florence à 8 h 23. Je lui réponds que cela me convient et je retiens une cabine individuelle en wagon-lit. Je réussis aussi à retenir une place d'avion pour le retour.

    Le jour du départ, j'embarque dans le train à la Gare de Lyon et je m'installe dans mon compartiment individuel. Dix minutes après, quelqu'un frappe à ma porte. J'ouvre et je vois une ravissante jeune passagère aux cheveux noirs et très élégamment vêtue qui me demande si je peux lui donner de quoi soigner une écorchure qu'elle s'était faite à la main en tombant dans le métro, car une brute l'avait bousculée et la pharmacie de la gare était fermée. J'ouvre ma valise et je lui donne une compresse et un pansement. Je lui passe aussi mon flacon de désinfectant en expliquant qu'il ne pique pas. Elle se soigne avec habileté et me remercie chaleureusement. Nous commençons à bavarder. Elle m'explique qu'elle est médecin, qu'elle s'appelle Nathalie que son ancien compagnon l'a plaquée brutalement et qu'elle a décidé d'aller à Florence pour se changer les idées.

    Nous ne tardons pas à sympathiser et elle semble apprécier vivement la compassion que je lui manifeste. Mais il ne reste plus qu'une vingtaine de minutes avant le départ et je dois me fais une injection pour soigner ma migraine. Elle me propose de me la faire en me disant : « je te dois bien cela ». Elle me fait le soin avec une grande habileté et réussit à le finir avant que le train ne démarre. Peu après, le train s'ébranle et nous allons dîner ensemble au wagon-restaurant. Nous constatons que la compagnie avait fait un effort sérieux pour améliorer la qualité des repas et nous regagnons notre wagon après nous être régalés.

    Elle me lance alors un regard aguicheur et me demande si elle peut rentrer dans ma cabine qui était juste à côté de la sienne. Elle me dit « Que dirais-tu si nous passions la nuit ensemble ? » en commençant à se déshabiller d'une manière lascive. J'accepte avec plaisir et je suis très excité en voyant qu'elle ne porte plus qu'un soutien-gorge bien transparent et une petite culotte rouge vif. Je lui dis que je trouve ses dessous coquins très excitants et elle me demande de dégrafer son soutif, car elle a une crampe dans l'épaule gauche. Je défais l'agrafe du soutif et je sens mon zob devenir aussi dur qu'un tube de plomberie en voyant apparaître ses seins. Sa poitrine naturelle doit faire un bon 95 B et elle est d'une fermeté parfaite. Sa peau mate contraste agréablement avec ses petites aréoles brunes dont les mamelons semblent bien durcis. Mon excitation atteint son paroxysme lorsqu'elle enlève sa culotte, dévoilant une toison pubienne bien touffue et un cul bien excitant.

    Nous nous mettons dans le lit et nous nous enlaçons tendrement. Je me sens tout à fait à l'aise dans ses bras, car sa peau est aussi douce que sa personnalité. Notre excitation ne tarde pas à devenir de plus en plus forte et elle me demande si j'ai des préservatifs. Je lui réponds que oui et j'en prends dans ma valise. Avant que j'ai dit un mot, elle me l'enfile et s'empale sur mon zob avec l'envie manifeste de partager avec moi une jouissance suprême. Celle-ci ne tarde pas à arriver et nous devons tous les deux nous retenir pour ne pas crier trop fort. Nous nous caressons à nouveau et elle me dit qu'elle a très envie de me faire une cravate de notaire. Elle se couche le dos et elle m'invite à mettre mon phallus entre ses deux seins. Elle commence alors à remuer sa poitrine d'une manière qui démontre qu'elle adore ce type de pratique sexuelle et qu'elle est bien habituée à la faire. Je ne tarde pas à éprouver une fantastique jouissance et je la remercie vivement.

    Mais alors que le train traverse la gare de Dijon, nous commençons tous les deux à avoir sommeil et nous décidons de nous endormir dans les bras l'un de l'autre. Le lendemain, nous nous réveillons sur le coup de sept heures. Nathalie lève le rideau de la fenêtre et constate que le soleil brille, ce qui nous comble tous les deux de bonheur. Le paysage qui défile à travers la vitre est magnifique. Nous prenons notre petit déjeuner au wagon-restaurant et nous arrivons à Florence à l'heure prévue. Nous nous réjouissons tous les deux à l'idée de passer ce week-end prolongé ensemble à découvrir les merveilles de cette ville qui mérite largement son prestige.

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