Menu
Histoire X : Visite chez le médecin
- 264
41Histoire X : Visite chez le médecin
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/10/2014
Publié le 16/10/2014
La semaine dernière, lors d'une visite médicale, il m'est arrivé quelque chose d'assez ... Surprenant!
J'en mouille encore en y repensant, et j'ai très envie de tout vous raconter...
Enceinte de trois mois, j'ai besoin de voir mon généraliste pour une simple visite de routine. Celle-ci étant en congé, c'est donc avec son remplaçant que j'ai rendez-vous. Je suis un peu fatiguée, mais ma grossesse se passe bien. Je travaille toujours pour le moment, d'ailleurs là, je sortait juste du boulot!
Il est 19 heures, je suis la dernière patiente du planning.
Tiens, le remplaçant est assez vieux par rapport à la femme qui me suit d'habitude. Assez froid, aussi.
Qu'importe, je ne lui demande pas d'être mon pote après tout...
Tout se passe bien, il regarde les bilans que j'ai apportés puis me dit:
"Très bien, rien dire sur vos résultats, c'est parfait. Maintenant, je vais quand même vous examiner. Allez vous installer!"
Je vais m'allonger lorsqu'il m'arrête:
"Ah non,pas comme ça! Il faut enlever le haut et le bas, vous gardez juste la culotte."
Je m'exécute: j'enlève toutes mes fringues, sauf ma petite culotte, et je me rallonge, sur le dos.
J'ai un peu froid. Je m'inquiète un peu aussi.
Il n'a pas fermé la porte à clé, et si quelqu'un entrait?
Je me rends compte que je tremble un peu... Mes tétons pointent au maximum, je suis un peu gênée.
Le docteur s'approche de moi et me demande de relever les genoux jusqu'à la poitrine.
Je ne sais pas trop à quoi ça sert, mais j'obéis sans poser de questions.
Si mon ventre n'est pas encore très gros, mes seins, eux, sont énormes. Mon petit bonnet B a laissé place à un beau bonnet D.
En appuyant mes genoux dessus, je compresse un peu mes gros seins qui touchent presque mon visage dans cette position...
Dès lors, tout devient de plus en plus étrange...
En effet, je sens tout à coup sur mon périnée, pile entre ma petite chatte et mon petit trou du cul, le pouce du docteur qui appuie fort, fort, fort!!! Sans pouvoir me retenir, je sens que je mouille comme une folle travers le tissu de ma culotte. Il doit sûrement le sentir aussi...
Il me demande:
"Ca fait mal, quand j'appuie ici?
-Non..."
Est-ce qu'il se moque de moi? Pourquoi me demande-t-il ça, il ne voit donc pas dans quel état je suis, à cause de lui?
Je n'en peux plus. Pourquoi est-ce qu'il me fait ça? Tout se mélange, j'ai honte, mais en même temps, j'aime être dans cette situation, je suis super excitée. Je lui en veux mais je ne veux pas qu'il s'arrête.
Tant mieux: il continue... Maintenant, il me masse cet endroit, toujours en appuyant dessus avec son pouce, à travers ma culotte, mais en le faisant bouger d'avant en arrière. de mon anus vers mon vagin, sans jamais aller jusqu'à me pénétrer vraiment avec son doigt. Entre mes jambes repliées, je passe ma tête et regarde sa main énorme, son poignet poilu, sa montre hors de prix.
Je ne réprime plus quelques gémissements...
Mais le docteur n'aime pas que je fasse du bruit.
Il place son autre main, celle qui n'est pas occupée par le bas de mon corps, sur ma bouche et m'empêche ainsi à la fois de crier et de bouger le haut du corps...
Il m'excite encore plus en faisant ça!
Je ne peux plus regarder ce qu'il fait, mais je vois son visage par contre.
Penché au dessus du mien. Ce médecin a vraiment un regard de pervers! Sans arrêter ses allers retours avec son pouce, ni retirer sa main de ma bouche, il me fixe droit dans les yeux en chuchotant:
"Alors salope, tu t'es faite engrosser? Tu sais que j'adore les femmes enceintes? Elles me font bander comme un taureau... Regarde-moi ça... Ces gros nibards... Cette chatte trempée... Vous les femmes enceintes, vous êtes toujours affamées de baise! Espèce de pute!"
C'est à ce moment que je sens qu'il décale le tissu de ma culotte et fait rentrer son gros pouce dans mon vagin qui dégouline!
Son regard de cochon me fixe toujours, il me doigte de plus en plus vite, puis continue avec son index et son majeur. Il sait y faire, le docteur! J'ai un peu de mal à respirer avec sa main appuyée sur mon visage, mais ce qu'il me fait est tellement bon! Au bout de deux ou trois minutes à peine, je jouis comme une petite fontaine...
D'un ton sévère, il me gronde:
" Tu en as mis partout, trainée!"
Je le regarde droit dans les yeux en n'ayant qu'une envie: qu'il fasse entrer un troisième doigt... Comme s'il lisait dans mes pensées, ce gros pervers m'enfonce trois gros doigts, et fouille ma petite chatte avec insistance.
Je vais jouir une deuxième fois quand, sans prévenir, ce salaud me fiste comme une jument! Par réflexe, je déplie alors mes jambes et me cambre en prenant appui sur la pointe de mes pieds.
Le docteur m'ordonne immédiatement de me remettre "en position"!
J'obéis. Mais il dit que je mérite quand même d'être punie pour avoir bougé mes jambes...
"Tu vas te mettre à quatre pattes, mais il ne faut pas que mon poing sorte de ton sexe. Tu as bien compris, salope? Allez, dépêche toi!"
Ce qui me demande est très difficile, d'autant plus que mon dos et mes jambes sont un peu endoloris, à force de rester dans la même position.
Tant bien que mal, haletante et ruisselante, je réussis me tourner sur le côté, en sentant son poing et son avant-bras sur les parois de mon vagin, mais au moment de basculer sur le ventre,je sens que son poing est sorti de ma chatte. Il faut dire que je suis vraiment trempée, ça glisse bien, et lui ne m'aide pas vraiment...
Une fois à quatre pattes, je me demande ce qui va encore m'arriver. Mon corps tout entier est en train de trembler. Peur ou excitation? Sans doute un peu des deux...J'entends la voix du docteur près de mon oreille:
"Je t'avais dit de garder mon poing dans ta chatte, salope! Tu vas prendre cher..."
Il tire sur ma queue de cheval et me cambre bien sur la table d'auscultation en appuyant fermement sur mon dos. Le papier qui la recouvrait proprement est tout déchiré à présent, je sens le cuir grincer sous mes genoux, mes seins, mes mains. Sans sa main sur la bouche, je respire mieux, mais très vite il écrase mon visage sur le dossier de la table d'auscultation et là, ça devient encore plus difficile qu'avant! J'ai l'impression d'étouffer...
Soudain, il me donne de grosses claques sur le cul, une fessée bien sévère, comme rarement on m'a infligé!
Il fait claquer sa main très fort sur mes fesses, mais aussi sur mes lèvres encore dégoulinantes et bien écartées, pas encore remises de l'assaut de son avant-bras...
La douleur est cuisante, le plaisir, intense.
J'ai envie de hurler, mais je ne peux pas... Je me demande si nous sommes seuls, ou bien si il y a encore des gens dans le cabinet médical. Je pense à la porte qui n'est toujours pas fermée à clé, et l'idée d'être vue ainsi, au lieu de me gêner, me donne encore plus de plaisir...
Après m'avoir bien claqué le cul, le docteur décide qu'il est temps pour moi de goûter à sa bonne bite. Il me fait me mettre à genoux par terre, enlève sa ceinture, défait sa braguette et laisse son sexe s'échapper de son boxer.
J'approche ma main de sa bite qui semble bien dure et bien tendue, mais il m'arrête en serrant mon poignet:
"Non! Sans les mains. Allez, petite trainée, applique toi!"
Je laisse alors mes mains derrière mon dos et attrape son gland avec ma bouche. Il appuie sur ma tête pour me guider, de plus en plus fort, puis finit par défoncer ma bouche avec sa bite en mettant de gros coups de reins.
Sans prévenir, il crache une bonne dose de sperme au fond de ma gorge, et me dit de tout avaler comme une bonne petite chienne. Je fais ce qu'il me dit. C'est comme ça que je me sens, là, tout de suite: je suis une petite chienne, une petite salope affamée de bite et de sperme!
Il remballe son sexe et remonte sa braguette, rattache sa ceinture et me dit, d'un ton froid et sec:
"Tu peux y aller, salope, rhabille toi vite et rentre chez toi."
La mâchoire un peu douloureuse et les jambes flageolantes, je remets mes vêtements aussi vite que je peux, sous son regard pervers et moqueur. Lorsque je suis entièrement revêtue, je le regarde et, sans réfléchir, d'une voix tremblotante, je lui dis:
"Au revoir, et merci..."
Puis je descends les escaliers qui mènent la porte de sortie, encore un peu sous le choc, réalisant peu à peu à quel point ce qui vient de se passer est surréaliste...
Depuis je n'espère qu'une chose: que mon médecin généraliste soit absent pour ma prochaine consultation... Pour revoir son remplaçant très pervers!
Tu veux parler avec une coquine ?
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Ou, compose directement le
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Lynnette
Lynnette
Demoiselle d'honneur
Un beau jour, je reçu le faire part de mariage de ma meilleur amie, Chantal. Je tombais sur le cul en apprenant cette nouvelle. On s'était connu sur les bancs de la faculté. Comme on s'entendait bien toutes les deux, on loua un appartement ensemble au bout de deux mois. On a bien vécu toutes les deux. C'est avec elle que j'ai connu mes premiers émois saphiques.
- 276 17
Une pionne se tape un élève
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/10/2014
Publié le 24/10/2014
Hummm, nous avions adoré son premier témoignage et celui-ci est encore plus excitant.
Je pense que beaucoup de jeunes lycéens vont se branler en imaginant notre coquine.
Jeunes hommes, qu'en pensez-vous ?
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire sexe en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
