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Recit porno : Visite médicale coquine

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    Recit porno : Visite médicale coquine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    doctoresse baisée

    Je voudrais raconter une histoire qui m'est arrivé il y a bien une quinzaine d'années.

    A l'époque, j'approchais de la trentaine et je travaillais depuis déjà quelques années. Mon histoire est arrivée lorsque mon entreprise m'envoyer passer la visite médicale obligatoire. A cette époque, j'avais intégré une nouvelle boite et la visite médicale a lieu dans la période de l'embauche.

    Muni de l'adresse et du plan que j'avais dressé pour me repérer plus facilement, j'entrais dans le centre d'examen médical. L'hôtesse d'accueil me souhaita le bonjour et me demanda les documents de mon entreprise et mon nom. Elle me fit ensuite patienter en remplissant mon dossier administratif, quitte à me poser quelques questions de complément.

    La jeune fille de l'accueil était plutôt mignonne avec ses cheveux blonds, même s'il s'agissait d'une couleur, à en voir la couleur de ses sourcils. J'étais assis en face d'elle dans le hall d'accueil et elle me souriait lorsque nos regards se croisaient.

    Je l'imaginais alors en manque de sexe, irrésistiblement attirée par moi. Je l'imaginais se lever, aller fermer la porte d'entrée à clé et commencer à m'embrasser, tout en me dénudant. J'imaginais son corps doux comme de la soie, à la fois chaud, humide et à l'odeur épicée mais au goût rafraichissant.

    Mon esprit vagabondais et je l'imaginais avec des dessous transparents qui ne cachaient rien de ses seins, de son minou épilé façon ticket de métro et de ses fesses qui débordaient du string.

    Je me voyais lui introduire un doigt dans sa fente forcément humide tout en lui mordant les tétons afin de les durcir. Ma bouche s'emparait d'elle et nos langues se mêlaient tandis que mes mains écartaient ses cuisses pour que l'un de mes doigts puisse s'introduire dans la douce et chaude moiteur de son sexe.

    Pendant ce temps, bien sûr, elle me branlait doucement et avec amour afin d'être bien dur pour la pénétrer. Je m'imaginais l'allonger sur le rebord du bureau d'accueil et la prendre sauvagement, les jambes bien écartées...

    - Monsieur David?

    La voix me tira de mes rêves et de mes délires érotiques. C'était le médecin avec lequel j'avais rendez-vous. Il s'agissait d'une femme. Une belle femme. Et, horreur : je bandais à mort! J'avais honte en me levant et je décidais de cacher ma grosseur en prenant rapidement mon sac à dos et le mettant devant.

    La doctoresse me désigna une cabine et me demanda de me déshabiller.

    - En sous-vêtements, précisa-t-elle.

    - Je peux garder mes chaussettes?

    - Oui, vous pouvez garder vos chaussettes.

    J'entrais dans la cabine et enlevais ma veste et mes chaussures, mais il allait falloir que je trouve une solution pour débander rapidement. Sinon, cela déborderait vite de mon slip... Ce qui serait gênant face à un représentant du corps médical!

    J'entrepris alors de penser au boulot, mais cela me ramenait à mes collègues féminines dont certaines étaient plutôt jolies. Non, mauvais choix...! Je commençais alors à compter à rebours à partir de 1000, très rapidement, de manière à me concentrer sur les chiffres : 999, 998, 997, 996,... De cette manière j'arrivais très rapidement à 890 et je constatais que ma bite était redevenue une petite molle avec ses deux sacs.

    J'enlevais alors mon pantalon, ma chemise et mon maillot en coton ; gardant le slip et les chaussettes.

    Je pensais à ce que je devais lui dire sur ma santé : vaccins, allergies, opérations vécues, etc.

    Puis, la doctoresse vint ouvrir la porte de la cabine de déshabillage. Je la suivais et elle me désigna un siège où je m'assis. Là, nous fîmes le tour de mes problèmes de santé éventuels antérieurs, ainsi que de mes conditions de travail. Pour un travail de bureau, le tour est vite fait mais la doctoresse voulût avoir des précisions sur l'isolement des bureaux face au bruit, l'éloignement face à l'écran d'ordinateur, la fréquence du changement des filtres d'air, etc. Même si je n'avais pas les réponses à tout, je fis du mieux que je pus pour répondre.

    La doctoresse était une femme d'une quarantaine d'année, bien faite de sa personne, avec une chemisier très échancré dévoilant une fort belle poitrine sous sa blouse blanche. Je sentis repartir mon érection et me concentrais à nouveau sur les chiffres pensés rapidement... 890, 889, 887, 886, 885,... Le secret était dans la vitesse de calcul : la concentration permettait de ne pas penser à autre chose!

    - Bien, monsieur David, me fit-elle. Vous allez maintenant vous allonger sur le lit médical et je vais prendre votre tension et écouter votre cœur.

    Je suivis les prescriptions et elle se pencha sur moi avec son stéthoscope. Là, mon cœur devait battre assez rapidement car je voyais à présent très nettement l'échancrure de son chemisier, ainsi que le soutien-gorge en dentelle qui retenait une poitrine assez impressionnante.

    Je luttais pour ne pas bander! 799, 798, 797, 796, 795, 794,...

    Elle prit ensuite ma tension en fixant le tensiomètre à mon bras droit. Verdict : "Vous avez un bon cœur, monsieur David".

    Elle entreprit ensuite de me faire quelques palpations au niveau du corps pour déceler d'éventuelles grosseurs suspectes, ganglions ou autres nodules. Elle palpa bras et jambes, puis s'occupa du ventre. Elle appuyait sur différentes zones correspondant à l'estomac, au foie, à la vésicule biliaire, tout en notant mes réactions. Apparemment, rien de suspect de ce coté-là car je n'avais pas ressenti de douleur particulière. Puis, elle me fit une demande un peu spéciale :

    - Je vais baisser votre slip afin de déterminer d'éventuels nodules à cet endroit. Je pense notamment aux testicules.

    Je fus éberlué car je ne m'attendais absolument pas à cela. Je ne pensais pas qu'un médecin, hormis un gynécologue ou un sexologue, pouvait vous toucher le sexe!

    - Heu, oui. Bien sûr, balbutiai-je.

    La doctoresse baissa lentement mon slip et entreprit de palper mes testicules, en appuyant légèrement à différents endroits afin de ressentir d'éventuelles grosseurs. En fait de grosseur, j'en sentais une arriver... Et ses mains étaient douces et chaudes... Non, pas bander! Pas bander! Je luttais furieusement à l'intérieur de moi et je tentais de reprendre le décompte de chiffres, mais il était trop tard : une érection venait de naitre entre les mains de la doctoresse...

    - heu, je suis désolé, fis-je. Je n'ai pas pu résister.

    J'étais plus que gêné et je pense que j'ai dû rougir fugitivement.

    - Ce n'est pas grave, me sourit-elle. Ce sont des réactions naturelles. Ce sont des choses qui arrivent. Et puis, dites-vous bien que cela fonctionne de coté-là!

    Je ne pouvais qu'acquiescer, ayant connu plusieurs filles et étant un grand pratiquant de la masturbation à mes heures perdues.

    - Vous avez une petite amie? me demanda-t-elle.

    - Heu, pas en ce moment, non.

    La doctoresse me fit son plus beau sourire et me caressa les testicules, ainsi que mon sexe qui était demi-dur.

    - Tu aimes ?

    - Ben oui!

    Alors, elle se pencha sur ma bite et me suça tout en continuant de caresser mes couilles. Je ne savais pas quoi faire, mais je trouvais cela plus qu'agréable. Je ne savais pas s'il fallait que je lui rende la pareille mais je me doutais qu'elle attendait plus de moi.

    Après que ma bite soit devenue bien dure, elle déboutonna son chemisier et retira l'attache de son soutif. Elle libéra alors sa grosse paire de seins ; au moins du 95 B. Elle se pencha sur la table d'auscultation et fourra ma bite entre ses deux seins. Elle me branla avec ses deux grosses mamelles tout en me regardant dans les yeux, d'un air gourmand.

    Elle avait retiré sa culotte de dessous sa jupe et commençais à se caresser le clitoris.

    Je bougeais un peu et attrapais sa croupe pour défaire la fermeture de sa jupe. Elle se laissa faire et la jupe à terre dévoila un très beau fessier bien rebondi pour son âge.

    J'écartais ses fesses pour bien regarder son anus tout rose puis mes mains cherchèrent son sexe. Ma main était toute mouillée en ressortant de son entrecuisse. Me palper lui avait fait de l'effet. Sans parler de la suite...

    Elle alla dans un meuble et prit un préservatif qu'elle mit sur mon sexe. Puis, presque nue, elle grimpa sur la table d'auscultation et écarta les cuisses pour me chevaucher. J'aimais cela et je lui caressais les seins, lui triturait les tétons. Je ne savais pas si je pouvais l'embrasser mais j'aimais le contact de son corps contre le mien, sa chaleur, sa moiteur et l'humidité de son sexe que je sentais couler le long du mien.

    Elle prononça quelques gémissements et, à mon grand regret, je déchargeais très vite dans la capote ; ne pouvant plus me retenir, tant j'étais excité par cette aventure. Sans parler de mes fantasmes avec la jeune fille de l'accueil...

    La doctoresse se leva, comme si elle avait eu ce qu'elle voulait et me désigna une boite de kleenex pour m'essuyer.

    Elle se rhabilla rapidement, tout comme moi (mais j'étais moins habillé) et elle me rédigea le document administratif dont mon entreprise avait besoin pour valider mon embauche au plan médical.

    - Bon pour le service, me dit-elle, en me tendant le papier. Par contre, il va falloir encore travailler l'endurance monsieur David.

    Je ne cherchais pas à argumenter car j'étais encore sous le choc et je repartis dans la cabine pour finir de m'habiller.

    En sortant, la jeune fille de l'accueil me salua avec un grand sourire et un air complice. A n'en pas douter, elle se doutait de ce qui s'était passé entre la doctoresse et moi. Sans doute en avait-elle l'habitude? Peut-être même une histoire existait-elle entre la jeune et la doctoresse?

    Mon imagination tournait à bride abattue et ce soir-là, je me masturbais deux fois en repensant à cette curieuse aventure, tellement elle m'avait excité et perturbée à la fois.

    Je n'eus plus jamais ce genre d'aventure avec un médecin depuis... Dommage?

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