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Histoire de sexe : Fantasmes insolites

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Fantasmes insolites

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    exhibition


    Il y a quelques années, j’ai vécu quelque chose que je n’avais jamais raconté à personne jusqu’ici. J’avais 19 ans, et j’étais en couple depuis quelques semaines avec un garçon. C’était ma première « vraie » relation sérieuse et il commençait à me plaire. Il était extrêmement beau et bon baiseur, mais il avait quelques fantasmes assez insolites… Ce qui n’était pas forcément pour me déplaire : cela me permettait au moins de découvrir de nouvelles sensations.
    Sauf que, cette fois-ci, il s’était mis en tête de le faire en public. L’exhibe, ce n’est pas trop mon truc, je préfère regarder… Mais j’avais envie de lui faire plaisir. Ce week-end-là, il m’avait emmenée pour une virée romantique dans un petit village pittoresque perdu au fond de la campagne ; et, lorsqu’il me proposa de sortir au beau milieu de la nuit pour « faire un tour », je sus exactement ce qu’il avait en tête. L’idée n’était pas si déplaisante finalement, nous allions pouvoir baiser dans un lieu public sans trop de risques qu’on nous découvre, vu l’heure tardive. Il avait tout prévu pour que mon initiation à la chose se passe bien, et sur le moment je trouvai ça attentionné.

    J’enfilai donc mes vêtements les plus sexy pour l’accompagner dans cette aventure : un haut d’un rouge vif qui moulait mes seins à la perfection et laissait voir juste ce qu’il fallait de mes épaules, une jupe serrée, et des bottines qui me faisaient des jambes magnifiques. Il avait plu et en temps normal j’aurais sans doute craint de salir mes habits, mais ce soir rien d’autre que mon compagnon n’importait.
    Alors que nous nous promenions dans le village depuis quelques minutes et que je frétillais d’impatience en me demandant où il allait m’emmener, il s’arrêta soudainement devant la grille du cimetière. Surprise, j’écarquillai les yeux. Ce n’était pas ce à quoi je m’étais attendue… Il m’attira à lui et me serra dans ses bras, passant ses mains sur mes fesses rebondies.

    - Allez, ma puce, tu voulais que je te surprenne, chuchota-t-il en me serrant un peu plus fort. Promis, tu ne vas pas regretter.

    Je me mordillai la lèvre, hésitante. C’était tout de même un peu glauque… Mais, d’une façon ou d’une autre, ça avait aussi quelque chose d’excitant. Le frisson de l’interdit, peut-être, à moins que l’idée de mêler morbide et érotique n’ait eu quelque chose de sexy. Quoi qu’il en soit, sans trop réfléchir, je poussai la grille du cimetière et je l’entraînai avec moi.
    Il faisait sombre, et un peu plus froid que dans le village – du moins, c’est ce qu’il me sembla. Sans plus attendre, il commença à m’embrasser et passa ses mains sous mon haut pour atteindre mes seins.
    A mon tour, je l’enlaçai et lui griffai le dos du bout des ongles. L’inquiétude procurée par le fait de me trouver dans un cimetière me donnait encore davantage envie de me rapprocher de lui. Délaissant ses lèvres, je me mis à lui mordiller le creux du cou tandis qu’il me poussait contre le mur d’une petite chapelle. Gémissant déjà d’envie, je lui enlevai son t-shirt et ma bouche quitta son cou pour venir embrasser son torse musclé. Il malaxait toujours mes seins comme s’il s’était agi d’oranges qu’il tentait de presser, mais bientôt sa main droite sembla se lasser et descendit le long de mes hanches pour finalement passer sous ma jupe. Je me cambrai et enfonçai plus profondément mes ongles dans la chair de son dos alors que ses doigts atteignaient ma chatte. Il commença par titiller doucement mon clitoris avant de me doigter franchement, et je dus me mordre la langue pour contenir mes cris de plaisir – après tout, nous n’avions même pas vérifié qu’il n’y avait pas de gardien. Collée contre lui, je m’agrippai à ses cheveux alors qu’il continuait à me donner du plaisir tout en m’embrassant la nuque. Il ne me fallut un peu moins de deux minutes pour atteindre l’orgasme, tant il était doué de ses doigts et savait comment me faire du bien.

    Après ça, je remontai ma culotte toute humide et, le plaisir me montant à la tête, je décidai de l’entraîner à l’intérieur de la chapelle qui se trouvait à côté. La porte était fermée, mais elle fut facile à forcer et bientôt nous nous retrouvâmes à l’intérieur de l’endroit exigu à la vague odeur de moisi. La saleté de l’endroit faillit me faire renoncer, mais mon compagnon semblait si emballé que je m’empressai de me mettre à genoux et de déboutonner son pantalon, révélant un membre dressé au gland gonflé de désir. Sans plus attendre, je me mis à lécher sa verge sur toute sa longueur, tout en tentant de ne pas penser au fait que j’étais présentement agenouillée dans de la poussière humide et que j’allais en avoir partout. Cela me sortit cependant bien vite de la tête car, comme à chaque fois ou presque que je taillais une pipe, l’envie de donner du plaisir à mon partenaire chassait toute pensée indésirable. Lentement, je fis rentrer son pénis en entier dans ma bouche, lui arrachant un frisson de plaisir. Je me mis alors à le sucer avec emphase, tandis qu’il me tenait par les cheveux pour me donner la cadence. Alors que je sentais qu’il allait venir dans ma bouche, il se retira et enleva en toute hâte ma jupe et ma culotte pour me pénétrer là, sur le sol sale de cette chapelle nauséabonde. Mais je dois dire qu’à ce moment-là, l’état de propreté du lieu était bien le dernier de mes soucis… Encore une fois, je dus me concentrer plus que de raison pour parvenir à ne pas crier. Il faisait des va-et-vient rapides et ses coups de reins puissants combinés au sol dur me faisaient mal, ce qui d’une certaine façon rendait la choses encore plus agréable – qui n’aime pas le sexe un peu brutal ? Sentir sa queue à l’intérieur de moi dans cet endroit exigu et un peu effrayant, le sol froid et son corps chaud contre le mien… Cette sensation n’était comparable à aucune autre.

    Lui comme moi avons joui très rapidement et nous avons rejoint le gîte ou nous dormions le plus discrètement possible. Bien sûr, nous sommes partis très tôt le matin suivant afin de ne pas être accusés des dégradations commises dans le cimetière… Quoi qu’il en soit, c’est une histoire que je n’oublierais pas de sitôt !

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