Histoire de sexe : Ah Francoise...
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Histoire de sexe : Ah Francoise...
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/08/2024
Publié le 24/08/2024
Mon passé sexuel avec Françoise, une fille à l'époque, qui allait vers la prime quarantaine, pour ma part qui en avait un an de plus uniquement. Dans les années entre quatre vingt quatre et quatre vingt sept environ, je n'avais pas de travail et vivais encore chez mes parents.
Françoise quand à elle qui vivait autonome dans son appart, me recevais autant de fois qu'elle avait désir de m'inviter chez elle. Aussi, Françoise aimait me voir très régulièrement avec elle, dans sa demeure. Je conviens de dire que j'étais très amoureux de cette femme, de physique moindre, mais qui m'attirait fortement malgré tout. Malgré sa mentalité, sa personnalité, une fille quelque peu addictive au choses du sexe, asse nympho si je peux dire, voir très obsédée même et peu de le dire, en tous cas, vis de moi qui paraissait l'intéresser vraisemblablement. Je la pensais réciproquement très amoureuse, mais côté sexe surtout, elle m'en demandait beaucoup, en voulait toujours plus.
Plus elle avait occasion de pouvoir m'avoir sous la main, plus elle faisait en sorte que je puisses rester le plus longtemps que possible. Je pouvais me retrouver des heures avec elle, voir même durant des weekends entiers, plus encore. Lorsque cela se présentait, que je puisses rester longtemps avec elle, chez elle en particulier, Françoise me faisait comprendre qu'elle voulait entre nous, décider des choses sexuelles, prendre le commandement, voir, me dominer, car, chez elle, il lui paraissait logique, et légitime à ce que ce soit à elle d'imposer, de donner ses ordres, de décider, de Reigner en chef et Maîtresse. Donc, elle exigeait de moi, sexuellement, que je lui cède à toutes ses demandes, ses envies à ce que je me soumette, me résigne à me donner à elle, réponde de ses fantasmes sur moi.
Françoise me disait que je l'attirais, l'excitait fortement de mon physique, et que dans ma situation, je devais reconnaître de mon infériorité, ou de sa supériorité sur moi, du fait que je n'avais pas de travail, que je me devais reconnaître que sans elle, peu de chance de trouver une femme qui m'aurait prise, se serait intéressé à moi. J'avoue avoir aimé qu'elle considère sur moi, que faute de ne pas avoir de boulot, peu d'argent à entrer, je me trouvais donc bien en dessous d'elle et que je me devais de lui rendre des comptes.
Chez elle, elle me nourrissait, usais de son eau, douche, toilettes, papiers cul, en plus de savon, car je n'amenais rien sur moi, elle s'assirait de m'entretenir et comme je ne payais rien, elle faisait en sorte que je lui soit reconnaissant, redevable, en me donnant à elle de ses désirs, ses demandes sexuelles, que je m'exécute de ses ordres. Je lui appartenais, étais sa propriété sexuelle privée, pouvant disposer de moi fonction de ses exigences, ses envies à tous moments, ses besoins. Je ne me refusais pas à elle, j'aimais qu'elle me traite ainsi, me mène de cette façon, me gouverne à sa manière. Elle ne s'en privait pas, et peu de le dire.
Plus je me soumettais, exécutais ses ordres à la lettre de ce qu'elle attendait sexuellement de moi, plus elle m'exploitait, s'excitait de ce qu'elle découvrait de mon corps, malgré mes imperfections physiques, au contraire, elle aimait car pouvant encore plus me rabaisser, m'animaliser, m'humilier. Cela l'excitait fortement que de pouvoir ainsi me métriser, me tenir, me faire baisser la tête devant elle et me faire m'incliner à volonté. Je me trouvais vraiment humilié, mais je consentais à se qu'elle me possède pour elle, comme elle l'entendait, à souhait et désir.
Françoise allait très loin sexuellement, allait jusqu'à la vulgarité de choses du sexe, voir même, des choses très rebutantes que bien des femmes n'auraient été à titre sexuel. Françoise aimait me déshabiller intégralement, me conduire tout nu dans son wc, me faisait faire mes besoins devant elle, oui, tout nu sous ses yeux et ses regards sur moi, partout, et étudiait tout de moi, me tenant comme elle l'aurait fait pour un petit garçon de bas âge, mon pénis à moitié raidi par l'excitation.
Cela ne la dérangeait pas, au contraire. Elle accentuait même mon excitation, mes pulsions sexuelles, en me doigtant d'un doigt, pendant que je faisais, sous ses ordres. Rien de moi, ne la dégoutait, rien, elle voulait que je me donne toujours à elle, me voulait ainsi, corps et âme, sans compter. Ce que je faisais pour son nom, et j'aimais, même si humilié. Aussi, Françoise avait des copines qui m'avaient aperçus depuis un moment, que j'attirais m'avait elle fait savoir. En discussion entre elles sur mon sujet, dans l'intimité entre elles, les unes et les autres voulaient savoir comment j'étais gaulé, tout nu, est ce que sexuellement j'étais intéressant, si Françoise était satisfaite.
Réponse fut faite de Françoise des plus positive que possible. Des copines de Françoise ont exprimé leur envie de me voir, de me découvrir. Elles souhaitaient que Françoise leur accorde le fait de me présenter, de me partager entre elles. Françoise avait accordé à ses amies de longue date. Elle m'en avait informé. Je lui ai demandé si j'avais le choix de me prononcer quand je me trouvais chez elle. Françoise m'a dit, en effet, que chez elle c'était elle la patronne, c'était à elle d'en décidé et de commander,c'est elle qui commandait et à qui je me devais, donc, je me suis tu sur le sujet. J'étais à son service, pour lui plaire, et l'assouvir autant qu'elle en voulait. Toujours est il, elle entreprenait donc, à se que je lui accorde de me présenter à ses amies, à me donner en partage, elles aussi, très obsédées par les choses sexuelles, aimaient le sexe vulgaire, crade même, Françoise avait le désir de me déshabiller entièrement, voir aussi, à ce que ses copines l'aide à me dévêtir intégralement. Elle avait prévu d'acheter de quoi m'enchainer, me tenir pour me trainer à ses pieds, une laisse par exemple, de quoi me fouetter pour me dresser à ses convenances, j'en passes, et de me livrer sexuellement, tel son chien, un jouet sexuel, une marchandise, à ses copines, jusqu'à extrême humiliation. Ce qui l'aurait profondément très échaudé, excité à bloc, moi compris.
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