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Recit sexe : cul avec le collègue de mon père

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 110 14

    Recit sexe : cul avec le collègue de mon père

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    J’entre le plus silencieusement possible dans la maison pour ne pas réveiller mes parents. Sur la pointe des pieds je grimpe les escaliers puis je file dans ma chambre où je m’écroule sur le lit. Je me sens complètement vidée. Quand je pense à ce qui s’est passé cette nuit, à ce que j’ai fait et à ce que je l’ai laissé me faire…
    Tout a commencé lorsqu’hier, à 19h, j’ai reçu un texto urgent de Sophie, ma meilleure amie. Son petit copain venait de la larguer et elle avait besoin d’une épaule sur laquelle s’appuyer. J’ai sauté dans un bus et à peine quelques minutes après son message, j’étais chez elle. Elle était étendue sur son clic-clac, entourée d’un tas de mouchoirs usagés. Jamais je ne l’avais vue dans cet état et je me sentais un peu démunie face à son chagrin. J’ai fini par me dire que le meilleur moyen pour qu’elle oublie cet enfoiré, c’était qu’elle se remette en selle et vite. J’ai dû beaucoup insister pour qu’elle accepte de sortir, mais mon obstination a fini par être payante.
    Pour éviter de croiser l’ex de Sophie, nous sommes allées au « 4 éléments », un bar dansant dans lequel nous n’avions jamais mis les pieds. Il y avait beaucoup de monde, mais nous avons quand même trouvé deux chaises libres. Nous sommes restées pendant plusieurs minutes sans rien dire, à regarder les autres s’amuser. J’ai fini par me décider à aller au bar pour commander deux mojitos, en espérant que cela réussirait à redonner le sourire à mon amie. J’avais les deux verres à la main, et j’essayais de me faufiler parmi la foule lorsqu’un type m’a percutée de plein fouet, renversant les boissons sur mon haut. J’ai relevé la tête prête à le traiter de tous les noms, mais je me suis arrêtée net. L’homme qui venait de me faire perdre mes deux mojitos ne m’était pas inconnu. C’était Olivier, un ami et collègue de mon père. Je ne l'avais pas revu depuis que mon paternel avait pris sa retraite.

    - Oh Chloé, merde, je suis désolé, j’ai bousillé tes fringues. s’est-il excusé.
    - Oh ce n’est pas grave…

    Même s’il était beaucoup plus âgé que moi, j’avais toujours eu un faible pour lui. Je le trouvais sexy, craquant… Alors c’était impossible de lui en vouloir.

    - Euh, j’habite à côté, est-ce que tu veux venir chez moi pour te changer ? m’a-t-il proposé.

    J’ai hésité, me retrouver seule chez lui était une idée qui me paraissait bizarre. Il m’était déjà arrivé d'imaginer partager un moment avec lui loin des regards, mais ce n'était qu'un fantasme rien de plus. Et puis il y avait Sophie, je ne pouvais pas l’abandonner à son triste sort.

    - Oh, ça va aller, merci.
    - Tu es sûre ? Tu es...enfin ton haut est presque transparent là…

    J’ai jeté un coup d’œil vers ma poitrine et effectivement… on voyait tout. Surtout que je n’avais pas de soutien-gorge… Même si je suis une provocatrice, je ne me voyais pas me promener comme ça dans le bar toute la soirée. Restait le problème de Sophie. J’ai expliqué à Olivier que je n’étais pas venue seule et qu’il fallait que je voie avec mon amie comment nous pouvions nous organiser. Quand je suis allée retrouver cette dernière, elle était en très bonne compagnie et tout sourire. Elle était presque contente que je la laisse.
    Pleine d’appréhension, j’ai suivi Olivier.

    - Mais euh, tu as des vêtements pour femmes ? lui ai-je demandé.
    - Ouais, mon ex a laissé des trucs quand elle s’est barrée.

    En 5 minutes, nous avons gagné son immeuble et monté les trois étages jusqu'à son appartement. Je me sentais bizarre, à moitié excitée, à moitié effrayée. Je ne pouvais m’empêcher de me demander s’il allait se passer quelque chose…

    - Comme tu vois, c’est pas très grand. m’a-t-il dit en désignant son petit studio.
    - Bon je vais aller voir ce que je te trouve. a-t-il ajouté.

    Il a disparu dans ce que j’ai cru être une chambre, et il est revenu avec quelques vêtements.

    - Je pense que ça, ça devrait aller. La salle de bain est là.

    Je suis allée me changer et j’ai opté pour un petit débardeur blanc. Revenue dans le séjour Olivier m’a proposé de prendre un verre comme il avait gâché mon mojito. Quand il me parlait, sa voix me donnait des petits frissons partout, même à l’intérieur des cuisses. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Il était si près de moi que sa cuisse frôlait la mienne.

    - Tu es devenue une très belle jeune femme… Si j’avais eu ton âge… a-t-il commencé à dire…
    - Qu’est-ce que tu aurais fait si tu avais eu mon âge ? l’ai-je relancé.

    Je jouais l’innocente, alors que j’imaginais parfaitement ce que nous aurions fait s’il avait eu mon âge.

    - Et bien je…

    Il s’est avancé vers moi, et cette fois c’est moi qui ai renversé mon verre, sur ma jupe.

    - Ce que je peux être empotée. me suis-je exclamée. Tu as quelque chose pour essuyer ?

    Il est allé chercher une serpillière que je lui ai presque arrachée des mains. Je me suis penchée en avant pour nettoyer mes bêtises. De là où il était, il devait avoir une vue parfaite sur mes jambes et la naissance de mes fesses. Je voulais l’allumer.

    - Est-e que tu aurais une jupe ou un pantalon ? lui-ai-je demandé en me redressant.
    - Peut-être…

    Il avait l’air troublé et il est retourné dans la chambre. Je ne me voyais pas partir de chez lui sans qu’il me touche, je ne me voyais pas partir de chez lui sans l’avoir senti en moi, alors avant qu’il ne revienne, j’ai baissé ma jupe.
    Quand il est revenu dans le salon et qu’il m’a vue en petite tenue, appuyée contre son plan de travail, il a lâché ce qu’il tenait et il s’est approché de moi. Tout en me regardant dans les yeux, il a glissé sa main dans mon string. Il a effleuré mon sexe, puis il a introduit deux doigts dans ma petite chatte. J’ai poussé un petit couinement en les sentant se faufiler en moi. Une vague de chaleur a déferlé dans mon corps et pourtant, j’avais la chair de poule. Il a commencé à faire des vas et viens et quand j’ai été bien humide et bien élargie, il a ajouté deux doigts, sans cesser une seule fois de fixer mes yeux. Jamais quelqu’un ne m’avait donné autant de plaisir comme ça… C’était trop bon… Mais j’en voulais beaucoup plus.

    - Je veux ta queue… ai-je soufflé.
    - Ah ouais ? Tu veux que je te baise ?
    - Oui…

    Il a retiré ses doigts et baissé son pantalon. Son engin énorme était dressé, prêt à l’emploi. Il a baissé mon string, puis m’a retournée dos à lui et il a empoigné fermement mes hanches. Centimètre par centimètre, il a enfoncé sa queue dans ma petite chatte dégoulinante. Il m’emplissait complètement.

    - Tu la sens bien là ? a-t-il murmuré à mon oreille.
    - Oui…

    J’étais incapable dans dire plus, c’était comme si j’étais paralysée par le plaisir et ça ne s’est pas arrangé quand il a commencé à me marteler de coup de reins. Mes fesses claquaient contre son bas ventre et sa grosse queue tapait le fond de mon vagin m’arrachant à chaque fois un gémissement.
    - Putain t’es trop bonne… m’a-t-il dit tout en me pénétrant de plus en plus violement.
    Je ne saurais expliquer pourquoi, mais le fait qu’il me dise des cochonneries m’excitait encore plus. Le plaisir est devenu de plus en plus fort. Je le ressentais dans chaque partie de mon corps, de mes orteils à la racine de mes cheveux. Et j’ai joui… Des spasmes ont agité mes muscles et j’ai dû me cramponner au plan de travail pour me maintenir droite. Les contractions de mon vagin l’ont fait venir à son tour et il s’est vidé en moi en poussant un râle presque animal.
    Il s’est retiré et je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche rapide, ce à quoi il m’a répondu que je n’avais qu’à faire comme chez moi.
    J’ai ramassé mon string et les vêtements qu’il avait laissés par terre.
    Je me suis lavée rapidement en insistant bien sur l’intérieur de mes cuisses. J’ai dégotté une jupe noire dans les affaires de son ex qui par chance devait faire la même taille que moi.
    J’étais un peu gênée lorsque je me suis retrouvée dans le salon, face à l’homme qui venait de me baiser. L’homme que je connaissais depuis des années, l’homme qui était l’ami de mon père…

    - Je crois que… Je vais y aller. ai-je dis timidement.
    - Déjà ? Tu veux que je te raccompagne ?
    - Oh merci, je pense que ça va aller.

    J’ai pris mon sac à main et je me suis avancée vers la porte. Il m’a attrapée par le bras pour me retenir.

    - J’en ai pas fini avec toi. a-t-il déclaré.

    Et là, il a pris mon visage entre ses mains et il a collé ses lèvres aux miennes. Il m’a embrassée goulument, caressant ma langue avec la sienne. Et je me suis complètement abandonnée à lui. Il m’a soulevée du sol et porté jusqu’à la table sur laquelle il m’a posée. Il a relevé le débardeur au-dessus de ma poitrine et a promené ses lèvres sur mes tétons qui se sont dressés à son contact chaud et humide. Pendant que sa bouche était occupée, l’une de ses mains m’a enlevé mon string. Il s’est décollé de moi pour retrousser ma jupe et baissé son pantalon. Il était de nouveau au garde à vous. J’ai écarté grand les cuisses pour l’inviter à s’enfoncer en moi. Il m’a pénétrée d’un coup brutal, presque douloureux. J’ai crié et il a plaqué l’une de ses mains sur ma bouche pour étouffer mes bruits. Il m’a baisée comme un sauvage, s’agitant en moi comme un marteau piqueur. Et puis, il s’est arrêté tout à coup.

    - Tu aimes sucer ? m’a-t-il demandé.
    Je ne lui ai pas répondu. Je l’ai repoussé et je me suis agenouillée la tête face à son entre jambes. J’ai léché son gland et sa bite sur toute sa longueur puis je l’ai enfournée tout entière dans ma bouche tout en le fixant dans les yeux. J’ai commencé de lents vas et viens, mais il a empoigné ma tête pour m’imposer un rythme plus rapide. Je serais bien mes lèvres autour de son membre gonflé et il ne lui a pas fallu longtemps pour succomber à l’humidité de ma bouche. En deux secondes il s’est retiré pour jouir sur mon visage et ma langue. Je n’ai pas perdu une goutte de son épais liquide blanc…
    Il nous a fallu plusieurs secondes pour reprendre notre souffle et nos esprits.

    - Tu restes dormir ? m’a-t-il demandé, brisant le long silence qui s’était installé dans l’appartement.
    - Non, je préfère rentrer, j’ai des trucs à faire demain.
    - Ok. Je te ramène alors ?
    - D’accord.

    Je n’ai pas eu besoin de lui indiquer la route, il savait très bien ou j’habitais…
    Arrivé devant la maison, il s’est garé.

    - Ça te dit qu’on se revoit ? a-t-il voulu savoir.

    Sur le coup je ne savais pas quoi lui répondre. Est-ce qu’il voulait qu’on se revoie juste pour du sexe, ou est-ce qu’il voulait plus ? C’est sûr qu’il venait de me faire prendre un pied pas possible, mais j’avais peur de m’accrocher à lui si je le revoyais… Mais je lui ai quand même donné mon numéro.
    Maintenant que je suis seule dans mon lit, à regarder le plafond, je me demande si c’était une bonne idée… Enfin on verra bien… Pour l’instant, je crois que je vais arrêter de penser et dormir un peu.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par danycat :
Belle soirée pour toi
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