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Histoire X : Attirance pour mon Frère qui n'est pas mon Frère

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    Histoire X : Attirance pour mon Frère qui n'est pas mon Frère

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    sexe

    J’ai toujours été très proche de mon frère. Genre, vraiment proche. On avait qu’une dizaine de mois d’écart, et on avait toujours tout fait ensemble. On se disait tout, on se tenait par la main, on était les meilleurs amis du monde et on aurait presque pu nous prendre pour un couple. Ce que nous n’étions pas, bien entendu… Non, je vous assure. Je sortais avec des mecs de mon côté, et lui aussi. Oui, parce que mon frère est gay. Bien sûr, s’il n’avait pas été de ma famille, et hétéro, je n’aurais sans doute pas dit non… Mais non : nous étions simplement incroyablement proches. Notre entourage ne manquait pas de se moquer de nous, mais nous savions qu’ils étaient simplement incapables de comprendre la profondeur de la relation fusionnelle – et strictement platonique – que nous entretenions.

    Mais il s’avère qu’en réalité, mon frère n’est pas mon frère. Je m’explique. Notre mère est morte lorsque nous étions très jeunes et lorsque notre père succomba à son tour, il laissa derrière lui une fortune assez conséquente et une multitude de papiers à trier. Et c’est en examinant ses mêmes papiers que je découvris le certificat d’adoption de mon grand frère.
    Et, soudainement, ce fut comme si tout changeait pour moi. S’il n’était pas vraiment mon frère, alors… Alors tous les fantasmes que j’avais à son propos, toutes les choses que j’avais pu imaginer honteusement, ce n’était pas interdit. Sans doute plus ou moins réprouvé par la morale, certes, mais pas interdit. Je me sentais toujours gênée d’avoir ce genre de pensées, mais je ne pouvais plus les écarter complètement à présent que nous n’étions plus biologiquement liés. Mais mon frère était toujours homosexuel : cela réglait la question.

    Je n’oublierais jamais le moment où je lui ai annoncé la nouvelle, quelques heures seulement après l’avoir découverte – je ne pouvais pas garder ce secret pour moi. Il avait semblé choqué l’espace d’un instant, puis quelque chose dans son regard s’était allumé. Il m’avait souri, maladroitement, et s’était un peu rapproché de moi.

    - J’ai toujours eu des doutes. Je suis content de connaître enfin la vérité.. Parce que j’ai un truc à t’avouer, Cassie, balbutia-t-il. Je suis pas gay.

    Je haussai les sourcils, proprement stupéfaite. Est-ce que j’étais en train de rêver ? Probablement. Je n’en suis pas fière, mais ce n’aurait pas été le premier rêve érotique incluant mon frère…

    - Je suis bi. Mais, pour être complètement honnête…

    Il se racla la gorge et fit un nouveau pas vers moi. Nous n’étions plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, et je pouvais sentir son odeur enivrante.

    - Chaque fois que j’étais avec une fille, je ne pouvais pas m’empêcher de t’imaginer à sa place.

    Peut-être était-ce le choc de l’annonce. Ou la tristesse d’avoir perdu notre père, ou la fatigue causée par ces derniers jours passés à organiser ses funérailles. Quoi qu’il en soit, je ne pris pas le temps d’y réfléchir à deux fois : je me jetai à son cou et l’embrassai, avec toute la passion que je contenais depuis des années. Et, si j’en crois la fougue avec laquelle il me rendit mon baiser, je n’avais pas été la seule à me contenir...

    - Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? M’avait-il murmuré.

    Je l’embrassai de nouveau et lui enlevai son t-shirt, avant de passer mes mains sur son dos musclé. C’était la première fois que je me sentais autorisée à vraiment profiter du contact physique de sa peau contre la mienne, sans avoir à refréner le désir que cela éveillait en moi…

    - Je suis sûre, susurrai-je. Après tout, ce n’est pas vraiment de l’inceste… Maintenant, enlève ton pantalon.

    Il s’exécuta et je me mis à genoux, prenant soin de ne pas lui ôter son boxer tout de suite. Doucement, je commençai par caresser le bas de son torse, ses cuisses, passant mes doigts seulement l’espace de quelques fractions de seconde sous le tissu. Je voulais le faire attendre, le faire me désirer pleinement et entièrement avant de passer à l’action. J’avais secrètement espéré ce moment si longtemps, et à présent il allait m’appartenir…
    Lorsque je sentis qu’il n’en pouvait plus d’excitation, je baissai lentement son boxer pour finalement me retrouver nez à nez avec son engin. Ce n’était pas la première fois que je le voyais, bien sûr, mais jamais je ne m’étais autorisée à le regarder comme je le regardais à ce moment… Mais à présent, plus rien n’était interdit. Je pouvais admirer la verge magnifique et de belle taille de mon frère, et la vouloir en moi, puisqu’il n’était pas réellement mon frère…

    Je levai les yeux vers lui et lui fis un clin d’œil avant de commencer à lécher le bout de son gland. Tout doucement d’abord, toujours dans le but de le torturer un peu… J’avais attendu dix-neuf ans pour faire ça, je pouvais bien le faire crever d’envie quelques secondes. Lorsqu’il en fut au point de me supplier, enfin, je commençais à le sucer. Lui jetant des coups d’œils complices de temps à autre, mes lèvres effectuaient des va-et-viens autour de sa grosse bite tandis que ma langue caressait la peau nervurée de son membre. Je ne devrais sans doute pas vous le dire, mais… Jamais de ma vie je n’avais pris tant de plaisir à sucer quelqu’un – et je n’étais pas la seule à y prendre du plaisir.
    Après qu’il ait joui une première fois dans ma bouche et m’ait regardé avaler son sperme avec délices, il me souleva et me porta jusqu’à son lit, où il m’allongea sur le dos. Je laissai échapper un petit rire, réalisant seulement ce que je venais de faire. Et maintenant il s’apprêtait à me faire l’amour ici, dans ce lit que nous avions si souvent partagé lorsque nous étions malades ou que l’un d’entre nous faisait un cauchemar… Je n’avais jamais été aussi excitée.

    - Baise-moi, lui glissai-je à l’oreille.

    Il bandait toujours comme un âne et il ne se fit pas prier, me pénétrant brutalement et m’arrachant un cri de jouissance mêlée à un peu de douleur. Il continua à me perforer la chatte pendant une bonne demi-heure tandis que je passais mes mains sur son dos, ses fesses, ses hanches… tout en laissant un sentiment d’extase m’envahir. Je le laissais me prendre, me posséder entièrement, et il menait la danse pendant que je me contentais de me contorsionner lascivement sous son corps parfait. Nous finîmes par jouir en même temps – je vous avais dit que notre relation était fusionnelle – et avons dormi enlacés jusqu’au petit jour…

    Depuis ce soir-là, nous n’avons pas réitéré l’expérience. La pression sociale aurait été trop forte à supporter, et nous nous sommes d’ailleurs un peu éloignés pour ne pas succomber à nouveau à la tentation… Mais, quoi que vous puissiez en penser, je suis contente d’avoir pu réaliser ce fantasme.

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