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Histoire de sexe : Baisée par le père de sa copine.

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    Histoire de sexe : Baisée par le père de sa copine.

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Et voilà, grâce à ma petite Ambre, j’ai découvert ce site et j’ai bien l’intention de vous faire bander avec mes petites aventures. Je n’ai pas l’habitude d’écrire alors j’espère que pour cette première histoire mes mots seront vous titiller. D'après Ambre écrire la fait beaucoup mouiller, je vous dirai ce qu'il en est à la fin de l'histoire.

    Ce que je vais vous raconter m’est arrivé il y a déjà un an. Tout a commencé lorsque mon ex m’a foutue à la porte après avoir lu quelques sms sur mon téléphone qui ne lui ont pas du tout plus (il faut dire qu’à l’époque je fleuretais virtuellement avec plusieurs mecs). J’ai donc dû trouver quelqu’un pour m’héberger. C’est là qu’on peut reconnaître les amis sur qui on peut vraiment compter. Une amie m’a proposée son canapé sauf qu’elle vivait encore chez son père. N’ayant pas vraiment d’autres options j’ai accepté.

    Le premier mois je n’ai pas souvent vu Gérard, le père de mon ami. Son travail l’amène à se déplacer souvent ce qui ne me dérangeait pas car je me sentais plus à l’aise. Un jour j’étais dans la salle de bain, en train de m’habiller après ma douche et je me suis rendue compte que j’avais oublié mon pantalon. J’ai traversé l’appartement en soutif et en shorty jusqu’à arriver au salon et là je suis tombée nez à nez avec Gérard. Surprise j’ai sursauté. Je n’osais pas bouger, j’étais comme figée et lui il me matait de la tête au pied, ses yeux s’attardaient particulièrement sur ma boîte à lolo. J’ai finis par me bouger. J’ai attrapé mon pantalon et j’ai filé à la salle de bain.

    Lorsque j’ai été habillée je suis ressortie de la salle de bain. Gérard n’était plus là, il était sorti.

    Le soir en m’allongeant sur le canapé j’ai repensé à cette situation plutôt gênante qui était aussi très excitante. Baiser avec un vieux était un truc qui m’avait toujours fait fantasmer et là j’avais raté une belle occase. Vu comment il me matait, j’aurais pu allumer la mèche sans aucun problème, mais bon sur le coup j’ai été prise au dépourvu.

    De fil en anguille je me suis laissée aller à imaginer la taille de la queue de Gérard. Je la voyais bien grosse et je l’imaginais toute dure prête à l’emploi. Il ne m’en a pas fallu plus pour que je mouille et comme je savais que mon ami dormait, j’ai glissé ma main sous mon shorty. J’ai commencé par titiller mon bouton gonfler puis mes doigts ont glissé sur mes lèvres avant de plonger dans ma petite chatte. Je n’avais pas envie d’aller lentement, non. J’avais envie de me faire jouir. Mes doigts allaient et venaient de plus en plus vite, de plus en plus profond. Ma respiration s’accélérait et j’avais de plus en plus chaud. J’imaginais Gérard remuant ses fesses sur moi pour faire aller sa queue de plus en plus profond. Tellement absorbée par ma quête de plaisir, je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir.

    Une vague de chaleur s’est diffusée dans tout mon corps. J’ai poussé un gémissement en laissant le sentiment de plénitude m’envahir et j’ai ouvert les yeux. Et là le choc ! Gérard était là. Je ne savais pas depuis combien de temps il m’observait mais il avait l’air d’avoir apprécié le spectacle. Je ne savais pas quoi dire, je ne savais pas quoi faire.

    Gérard s’est assis à côté de mes pieds. Il a glissé sa main sous le plaid et il a commencé à caresser mes jambes. J’étais paralysée à la fois excitée et intimidée par cet homme de 30 ans de plus que moi. Ses doigts sont arrivés à mon entre jambe et ont caressé ma chatte par-dessus le tissu tout trempé de mon shorty.

    Et puis soudain tout s’est accéléré, il a enlevé le plaid et a contemplé mon corps. Seul la lumière du lampadaire de la rue qui filtrait par la fenêtre nous éclairait. Il s’est redressé et a baissé son pantalon. Sa bite était grosse, comme je l’avais imaginé. Il a attrapé ma main et il l’a posée sur son sexe. J’ai commencé à le branler de plus en plus vite mais j’avais tellement envie de le gouter que j’ai fini par prendre une initiative. Je me suis assise et j’ai ouvert ma bouche. D’un lent coup de rein Gérard y a enfoncé sa queue. Je n’ai pas bougé je l’ai laissé faire. Il a commencé à s’agiter d’avant en arrière. Il baisait ma bouche et j’adorais ça.

    Et puis soudain, il a poussé en arrière et il m’a dit « J’ai envie de te baiser ». Alors je lui ai dit que j’avais des capotes dans mon sac (je suis très prévoyante). Il me l’a aussitôt apporté et j’en ai retiré un préservatif qu’il a habilement enfilé. J’ai enlevé mon shorty, je me suis allongée et j’ai écarté grands mes cuisses. Il s’est installé sur moi et il m’a pénétrée. J’ai senti glissé lentement jusqu’au fond de ma chatte sa bite bien chaude. J’adorais sentir son corps contre le mien, j’adorais avoir sa bite dans mon petit minou et quand il a commencé à accélérer le rythme j’ai dû me mordre les lèvres pour ne pas pousser des cris de plaisir. Très vite il m’a défoncée. Jamais je ne m’étais faite baisée comme ça. Il me bourrait comme un fou. Ses coups de queues étaient rapides et profonds et tout à coup il a poussé un râle bestial et j’ai compris qu’il avait jouis. Quand il s’est retiré de moi, j’ai remarqué que sa capote était pleine à craquer.

    Il est allé se coucher sans dire un mot. En gros il m’avait prise comme son vide couille… mais je n’en étais pas vexée… J’avais pris mon pied et réalisé l’un de mes fantasmes.

    Voilà voilà, c’était la première histoire que je partageais avec vous. J’espère que vous avez apprécié. Si vous avez des petites questions à me poser, n’hésitez pas à laisser des coms !

    Ps : Ambre avait raison, c'est très excitant d'écrire, j'aime beaucoup l'idée d'être une petite salope.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Elisa :
aucune excitation, quoi de normal un homme qui baise une femme
Posté le par legragueure :
ta l'air d'avoir aimer
Posté le par mehdi le bg :
c vrai que tu ma exiter mnt jaimerai bien quond svoie si sa te dit tien mon num XXXXX
Posté le par DDJOUIT :
Jouissif
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