Recit porno : Baisée par un petit gros dégarni
- 246 44
Recit porno : Baisée par un petit gros dégarni
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 14/01/2013
Publié le 14/01/2013
Cela faisait maintenant un an que nous étions ensemble.
Ma relation avec Marc était tout ce dont j'avais pu rêver, c'était un bel homme de 26 printemps, drôle, attentionné, poli, gentleman.
Vous l'aurez bien compris, l'Homme parfait !
Enfin presque...
Sexuellement il nous manquait quelque chose...
Au plus profond de moi-même, j'ai toujours rêvé qu'un homme me domine, me laisser aller, juste suivre ses instructions, lui être totalement dévouée...J'avais envie d'une autre queue, de nouveau, d'interdit....
C'est ce à quoi je pensais dans ce bar tout miteux du XIeme arrondissement de Paris.
C'était un samedi, il pleuvait à n'en plus pouvoir dehors.
Un fois de plus Marc avait du annuler notre dîner dans un chic restaurant à quelques rues.
Ses réunions n'en finissaient pas.
J'avais donc décidé de ne pas m'apitoyer et d'aller prendre un verre dans ce bar.
Perdue dans mes pensées d'ordre sexuel je m'imaginais sauter le pas et assouvir mes fantasmes car sous cette robe de soirée mon antre bouillonnait.
Impossible de savoir si ma petite culotte en était la cause, mais plus je buvais, plus elle me paraissait serrée et mon sexe devenait chaud, humide et grossissait.
Sans m'en rendre compte mon verre était de nouveau rempli.
Étonnée, le serveur m'indiqua l'homme qui m'avait offert ce verre.
On ne peut pas dire que se fut le genre d'homme qui me plaisait...
Petit, assez gros, quelque peu dégarni et qui avait un peu -trop- insisté sur le parfum.
Mais étrangement, il m'attirait.
Il s'est approché de moi.
Il m'est impossible de vous dire quel discours il a pu me tenir.
Les verres s’enchaînaient je riais à ses blagues, et lorsqu' il m'a poliment demandé de venir chez lui, j'ai accepté sans réfléchir, comme si mon corps tout entier le désirait.
Il me tardait d'arriver chez lui, car c'est où nous allions...
Il habitait dans un studio, juste à côté, je me sentais à la fois fébrile et toute excitée comme une enfant qui se prépare à commettre une grosse
bêtise mais qui ne peut s'en empêcher.
Pour être franche, rien de très sensuel et attirant comme intérieur...
Un grand écran sur son bureau, à côté son lit et à côté de son lit un grand phallus en bronze.
Le temps d'une seconde, je me voyais m’empaler dessus et sentir sa froideur et sa dureté en moi.
Nous étions dans son canapé, tout c'est passé très vitre, il m'a attrapé et m'a demandé de le chevaucher.
Tout en l'embrassant et tremblante je m'exécutait.
Je savais à ce moment là, qu'il m'était impossible de faire marche arrière, mais en avais-je vraiment envie...
Il a déboutonné son pantalon et a sorti son sexe.
Il était comme lui petit, gros et dur.
Il a soulevé ma robe, ma culotte était toute mouillée.
Et il m'a dit "Frotte ta chatte toute mouillée contre ma queue"
Il a compris que ce mot m'excitait.
Et je m'y suis frotté, mon dieu, ma chatte n'avait qu'une envie happer sa petite et grosse queue en moi.
Le sentir.
Il a coincé sa queue contre mon clitoris et je me suis laissée aller, sans pénétration, je faisais des allers-retours sur sa queue.
Voila, j'étais l'enfant qui faisait LA bêtise. L'enfant qui découvre son corps.
Plus je me frottait plus je mouillais, comme si j'étais désireuse que cette situation ne s'arrête pas.
Sentir son sexe à l'entrée de ma chatte décuplait tous mes sens, je sentais tous ses gestes sur mon corps, son souffle, son parfum, les poils de son sexe contre le mien tout épilé.
Brutalement, il a attrapé ma tête et a coincé ma bouche sur sa queue.
Elle était tellement chaude...
Je l'ai mangée, comme j'ai pu, et sentir son gland dur et doux sur ma langue me procurait un plaisir qu'il me fallait assouvir.
Ma chatte était tellement en feu que j'avais l'impression de brûler.
"Alors elle te plaît ma petite queue ? Tu la sens là ? Oh oui, tu as de douces lèvres, j'ai envie de te prendre, oh oui suce ma queue, elle est pour toi juste pour toi, PREND-LA !"
Sa violence et son ton me rendait folle, il a bien compris que je n'en pouvais plus, que ma chatte ne désirait que lui.
Il m'a lancée dans son lit, sans prendre la peine d'enlever ma robe, il l'a juste relevée plus haut.
Il a attrapé un préservatif et me mordait durement mes tétons au travers des perles de ma robe.
Je soufrais de plaisir.
Je n'avais toujours pas parlé, mais hors de moi je lui ai crié
"Ohh prend moi ! Baise moi. Avec ta queue si douce et chaude"
Ni une ni deux, il a arraché ma culotte toute trempée qu'il a mis dans sa bouche et m'a pénétrée.
C'est toujours ce qui m'excite le plus.
Sentir le sexe d'un homme s'introduire en moi.
Il poussait des grognement et m'insultait
"Petite salope, oui tu aimes hein, tu aimes sentir ma queue, je suis en toi, oh oui tu es toute chaude et toute mouillée, ça glisse,hum oui j'aime."
Je le regardais crier avec ma culotte dans sa main qu'il sentait.
Il faisait des allers-retours très rapidement, enfin ma chatte abreuvait sa soif, je sentais sa queue contre toutes les parois de ma chatte.
J'ai joui en hurlant, comme jamais, ce qui l'a encore plus excité, il m'a retournée pour me prendre à quatre pattes et il a joui en quelques secondes.
Et soudain tout était fini...
Nous avons fumé une cigarette dans son lit.
Pendant que je me rhabillais il est parti à la cuisine.
Sur le pas de la porte il m'a laissé son numéro de téléphone avec une enveloppe.
En partant je me sentais vivante, mais lorsque j'ai vu qu'il y avait 200€ dans l'enveloppe, une étrange sensation est venue en moi.
C'était la dernière fois oh oui !
Du moins, c'est ce que je croyais...
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Bambi
Bambi
Dominée par sa nièce
Mireille attrape les deux superbes fruits et les caresse doucement. Ils sont durs, bien fermes. Aurore l′arrête, se lève pour quitter son short, et son string. Les deux femmes sont entièrement nues. Aurore se met à genoux, sa chatte sur la bouche de sa tante.
- 562 80
Dépuceler par le père de son mec
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 14/07/2013
Publié le 14/07/2013
Wahou, elle nous raconte une histoire très croustillante notre coquine.
Elle nous avoue que c'est le père de son mec, agriculteur, sur qui elle fantasmait à ce moment, qui l'a baisée pour la première fois. Elle a l'air d'avoir beaucoup aimé.
Merci ton aventure est vraiment sympa.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire porno en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!