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Recit sexe : Baisée par un politique

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    Recit sexe : Baisée par un politique

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Le printemps arrive et m'émoustille un peu, je me prends à me remémorer les moments les plus coquins que j'ai vécus jusqu'à aujourd'hui, et aujourd'hui je repense particulièrement à une aventure qui m'est arrivée il y a quelques années alors que j'étais encore à la fac. Attention les yeux si vous avez une forte conscience citoyenne, ce qui suit est politiquement incorrect !

    A l'époque la campagne présidentielle battait son plein, et moi, étudiante et membre du club journalisme de ma fac, j'étais venue faire un reportage sur les activités des militants. Ce soir-là avait lieu une réunion animée par le chef régional du parti, et je dois bien avouer que si j'ai sauté sur l'occasion de réaliser ce sujet, ce n'était pas seulement par conscience citoyenne. En effet j'ai toujours été fascinée par les hommes de pouvoir, et même si dans la vie quotidienne je suis une fille indépendante et forte, dans des situations plus intimes ma seule envie est d'être menée à la baguette par un homme dominateur, un vrai mâle capable de m'immobiliser d'une seule main pour me faire tout ce qu'il veut avec l'autre...
    Et ce chef de parti avait dans les yeux cette étincelle de sauvagerie contenue qui me rend folle. J'ai donc saisi l'opportunité de le rencontrer, je n'espérais rien de plus mais j'avais juste envie de l'avoir face à moi en chair et en os, de lui parler, un peu comme les fans aiment approcher leurs idoles.
    Ce soir-là il a fait un long discours plein de fougue pour ses militants, et à chaque fois qu'il élevait la voix ou tapait sur son pupitre, emporté par sa conviction politique, j'imaginais que c'était sur ma croupe qu'il distribuait ses fessées en me réprimandant. J'étais tellement absorbée dans mon fantasme que j'en oubliai de prendre des notes, et quand son regard croisa le mien depuis l'estrade où il s'exprimait, je vis ses yeux glisser vers le crayon que je suçotais nerveusement depuis une demi-heure, ce qui le fit discrètement sourire.
    A la fin du discours, au milieu d'un tonnerre d'applaudissements, ma voisine d'un certain âge se tourna vers moi :
    "Quel orateur !" Je ne pus m'empêcher de penser qu'il avait très probablement bien d'autres talents oraux que je me ferais une joie d'évaluer...
    Je répondis simplement "Oui, d'ailleurs il m'a promis une interview à présent, bonne soirée Madame."
    Je me dirigeai donc vers l'estrade où ses collaborateurs le félicitaient chaudement. Il me détailla des pieds à la tête alors que je m'approchais, et j'exagérai volontairement mon déhanché en feignant l'indifférence. Arrivée à sa hauteur, j'eus à peine le temps d'entr'ouvrir les lèvres pour me présenter qu'il m'interrompit en en me tendant vigoureusement sa main impeccable :
    "- Mademoiselle la journaliste en herbe, je ne me trompe pas ?
    - En effet, avez-vous un don divinatoire en plus de vos talents politiques ?
    - Non, vous êtes tout simplement la plus jeune personne de cette assemblée, dit-il avec un large sourire presque carnassier. Et si vous me le permettez, j'ajouterai que vous êtes également la plus jolie... me souffla-t-il. Je vous avais promis une interview, mais nous avons encore énormément de travail, en particulier tous ces tracts à distribuer. Il est déjà tard et je vais aider mes équipes à parcourir toutes les boîtes aux lettres de la ville. Mais je regrette mademoiselle, sincèrement.
    - Dans ce cas peut-être puis-je me joindre à vous pour cette mission ? Ce sera en quelque sorte un reportage en immersion, et je n'ai pas peur de donner de ma personne pour créer un travail inoubliable.
    - Suivez-moi."
    Il posa sa main dans le bas de mon dos et se plaça juste derrière moi, me poussant doucement mais fermement en avant pour fendre la foule bruyante. Dans cette manoeuvre je n'avais d'autre choix que d'avancer à sa guise, et cette démonstration de force me donna un frisson si vif que je ne pus réprimer un petit bruit de gorge, un peu similaire à celui que j'aurais émis si l'on me pénétrait un peu violemment. Malgré l'environnement assourdissant, il l'entendit et réagit en se collant encore plus à moi. Je sentis alors la pression de son sexe sur le haut de mes fesses, dur et imposant comme je le rêvais depuis le début du meeting. Il resta au plus proche de moi jusqu'à ce que nous nous retrouvions dehors, puis s'éloigna et prit un air faussement détaché pour m'inviter à monter dans sa voiture. Nous avions une cinquantaine de tracts à déposer un à un dans les boîtes aux lettres du voisinage.
    Il gara sa voiture dans la première rue, sous un arbre dont les longues branches feuillues descendaient jusqu'au sol, créant comme une alcôve sur le trottoir. Il faisait déjà nuit, et cet endroit en la compagnie de cet homme m'excitait tellement que j'eus très peur de laisser une trace humide sur le siège à travers ma jupe fine. Heureusement il descendit de voiture avant moi et je pus me lever sans crainte de trahir mon envie de lui. Il ouvrit le coffre de sa berline et me demanda d'attraper le carton se trouvant au fond de celui-ci afin de commencer la distribution. Je me penchai et sentis immédiatement ses mains viriles autour de ma taille, qui remontèrent bien vite jusqu'à mes seins. En titillant mes tétons qui se durcirent comme des pierres, il me dit à l'oreille "Alors, on veut pénétrer le milieu politique? La situation pourrait bien se retourner mademoiselle...". Haletante et ivre d'excitation, l'entrejambe trempée, je soupirai : "La conscience professionnelle avant tout, je veux que mon reportage ait de la profondeur...".
    Je sentis les soubresauts de son torse rieur dans mon dos puis il me retourna vers lui sans un mot et me pressa contre son corps avec une main sur ma nuque et l'autre qui glissait entre mes deux fesses pour remonter ma jupe en voile. Il la passa ensuite sous mon string en dentelle et vint placer un doigt juste au contact de mon anus. J'étais totalement abandonnée, craignant une sanction immédiate sur la zone la plus sensible de mon intimité au moindre mouvement de ma part. Il me souleva alors littéralement pour me reposer à un mètre de là, sous la ramure de l'arbre qui constituait une bien pauvre cachette, ouverte sur deux côtés à la vue de quiconque s'aventurerait dans cette rue.
    Me serrant toujours contre lui, il avança encore un peu plus sa main entre mes cuisses jusqu'au contact de l'entrée de mon vagin. Il introduit seulement le bout de deux doigts afin de les humecter, puis les ressortit et commença à caresser mon clitoris. C'était d'une violente rapidité, mais en même temps ses 20 ans de plus que moi lui procuraient une expérience délectable. Il relâcha alors sa pression et me laissa reposer sur mes pieds pour porter sa main pleine de mouille vers son nez et prit plusieurs profondes inspirations en fermant les yeux. Il contracta alors les mâchoires tel un prédateur à l'affût de sa proie, et toujours les yeux fermés, dégrafa sa ceinture, ouvrit son pantalon et baissa juste assez son boxer pour extérioriser son sexe. J'étais tétanisée par la largeur de sa bite, et alors que j'approchais timidement la main vers son bas-ventre, il ouvrit brusquement les yeux, si ardemment remplis de désir qu'il avait presque l'air en colère. Il attrapa mon poignet tremblant et attira ma main vers son gland épais, doux et brûlant. Ma main descendit vers la longueur de son sexe et après la texture moelleuse de son bout, je sentis une verge dure et gonflée, parcourue de veines turgescentes. Elle était si large que je ne pouvais pas refermer mes doigts tout autour d'elle, et à partir de cet instant je n'eus qu'une envie en tête : l'avoir en moi, sentir les chairs de ma vulve s'écarter autour de sa bite qui me remplirait complètement.
    Pour que mon souhait devienne réalité je pris l'initiative de lui tourner le dos, et de cambrer mon dos autant que possible en m'appuyant sur sa voiture. Je sentis entre mes cuisses un léger vent de printemps qui rafraîchit ma peau moite de sueur. C'était agréable, et me donna encore plus envie de la chaleur de cet homme que je sentais brûlant de désir derrière moi. Sans un mot il descendit mon string au niveau de mes genoux, releva lentement ma jupe au-dessus de mes fesses et posa ses deux mains fermement sur mes hanches. Je l'entendis prendre une profonde inspiration, c'était maintenant inéluctable, il allait me pénétrer comme un guerrier, d'un coup, sans me laisser aucune autre alternative. Je savais que la sensation allait être d'une intensité inouïe, vue la taille de ses attributs. Mais je mouillais comme une folle depuis un moment déjà, et j'avais envie de le sentir passer en force en moi, à la limite de la douleur. J'écartai encore un peu plus les cuisses et relevai ma croupe au maximum pour qu'il ait une vue plongeante sur ma chatte ruisselante. Ce fut efficace, car il serra alors les mains sur mon bassin pour m'immobiliser dans cette position, appliqua son gland juste à l'entrée de mon vagin, et d'un coup de rein d'une certaine violence, s'immisça en moi. Je ressentis deux a-coups délicieux, d'abord quand son gland démesuré franchit l'entrée de mon vagin, cette partie plus serrée dont la peu est si fine et sensible, puis il s'enfonça complètement et vint buter au fin-fond de moi. Si mes sensations étaient si fortes, je pense que les siennes devaient être tout aussi intenses : tout d'abord l'obstacle de mon sexe serré qu'il a forcé avec son gland, puis les chairs étroites qui ont caressé toute la longueur de sa bite et enfin le choc moelleux sur son bout heurtant le fond de mon vagin. Il m'offrit à nouveau ce plaisir ravageur plusieurs fois, par de longs va-et-vient qu'il fit varier en vitesse et en intensité avec un contrôle parfait, comme s'il lisait en moi. Ca ne me prit pas longtemps d'arriver à l'extase, l'orgasme monta en moi comme un incendie et m'obligea à lâcher un cri déchirant. A ce moment la sensation était si intense que j'en eus un vertige, je sentis tous les muscles de mon périnée se contracter à l'extrême, par saccades. Je voulais même qu'il s'arrête, c'était trop, je croyais m'évanouir. Mais le changement de texture de mon sexe lui donnait encore plus de plaisir, il accéléra ses mouvements dans mon corps contracté, moelleux, bouillant. Après quelques instants de ce traitement impitoyable il se retira d'un coup et appliqua son gland au creux de mes reins pour jouir sur ma peau. Je sentis le sperme sous pression gicler sur le bas de mon dos et dégouliner entre mes fesses, tandis que mon partenaire grognait de satisfaction.
    Alors, il recula d'un pas, se rhabilla et remonta mon string sur mes fesses tandis que je reprenais mon souffle appuyée sur sa voiture. Il me raccompagna à la portière passager et prit place au volant.
    "Les tracts attendront, vous m'avez déjà bien aidé mademoiselle. Je vous raccompagne où vous le souhaitez"
    Je lui indiquai mon adresse qui était à deux pas et il démarra. Pendant le trajet personne ne dit un mot, il avait repris son attitude pleine de confiance d'homme politique irréprochable, et j'étais carrément sonnée. Arrivés devant chez moi, nos regards se croisèrent une dernière fois, toujours chargés de tension. J'ouvris la portière sans le lâcher des yeux et il esquissa un petit sourire qui me fit comprendre que si nos routes se recroisaient un jour, il se souviendrait de moi...

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