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Histoire X : Baisée par un sportif connu
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71Histoire X : Baisée par un sportif connu
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/01/2013
Publié le 20/01/2013
J'ai toujours aimé les histoires un peu folles, et je fuis la routine comme la peste. Ma vie sexuelle ne déroge pas à la règle : je ne fais rien comme tout le monde !
Jolie brune aux yeux clairs, je n'ai jamais eu de difficultés à séduire les hommes. Et c'est tant mieux, car ceux qui m'attirent sont en général beaux comme des dieux, charismatiques, convoités, riches et parfois même... célèbres.
Mon addiction à un brun répondant à tous ces critères remonte à 2009, lors d'une chaude soirée d'été. Ma meilleure amie Pascale et moi étions invitées à célébrer l'anniversaire d'un collègue de travail plutôt charmant, Thierry, dans son appartement du centre-ville. De nombreux fou-rires et une dizaine de coupes de champagne plus tard, l'ambiance était bouillante, et des couples commençaient à se former.
Pascale flirtait avec l'hôte de la soirée, et je surpris même Thierry glisser ses doigts virils sous la jupe de ma copine, grimaçante de plaisir. Elle qui m'avait avoué ne pas avoir mis de culotte, j'imaginais son excitation lors de ces va-et-vient dans sa chatte humide. Et je l’enviais.
3h du matin. Pascale m'avait abandonné depuis de longues minutes pour s'enfermer dans la chambre avec son apollon, et j’imaginais qu’il devait la prendre par derrière, agrippant sa crinière de lionne pendant qu’elle le suppliait de continuer à honorer son anus (oui j'imagine de drôles de choses concernant mes amies).
Je n'ai pas eu beaucoup de mal à convaincre la joyeuse équipe de quitter l'appartement pour se rendre en boîte de nuit : tout le monde était ivre et avait envie de faire la fête. Après quelques pas de danses enflammés sur la piste, j’aperçu un homme bien plus beau que les autres, installé dans le carré VIP en face de nous. C’était un rugbyman professionnel connu, que j‘avais déjà vu plusieurs fois à la tv. Il me dévisageait d'un regard insistant, salace, en se passant lentement la langue sur les lèvres, comme pour me dire « voilà comment je vais faire avec ta chatte quand tu seras mienne, bitch ! »... Puis il m’a fait signe de le rejoindre sur l'estrade. Arrivée à sa hauteur, j‘ai senti immédiatement une forte tension sexuelle entre nous. « Cette soirée n'est pas très intéressante, allons chez moi. Je veux voir si tu te dandine aussi bien sur ma queue que sur la piste ». J’aimais son culot !
Dans le taxi qui nous ramenait chez lui, il m'embrassait passionnément dans le cou et glissait sa langue dans le creux de mon oreille, en me susurrant des « je suis certain que t’es bonne au lit, ton regard crie braguette », ou autre « touche comme ma bite est dure… J’ai hâte de voir si ton clito est dans le même état ». La vache, c’est vrai qu’elle était grosse, sa bite ! Même sous son jean, je pouvais la deviner : longue, large, puissante... Je n'avais qu'une envie, qu'il me la mette bien profond, et dans tous les trous.
« Je vais te déboiter », me dit-il alors que nous passions le pas de sa porte. Il ne m’a pas laissé le temps de contempler sa superbe villa et m’a emmené directement à l'étage, dans sa chambre au lit King size : un vrai lit à partouze ! Je me demandais combien de filles avaient eu le plaisir de se faire défoncer le cul dans ces draps… Sans doute des centaines !
L’objet de mes fantasmes m’a déshabillé très vite, avec fougue, comme s'il n'avait pas baisé depuis deux mois. Tandis qu'il enfonçait ses doigts dans ma chatte dégoulinante, je sentais sa langue explorer mes seins et titiller mes tétons tout durs. Bordel que c'était bon. « J'ai envie de te sucer », lui ai-je dis au moment où je sentais qu'il allait me faire jouir sans même avoir pénétré ma chatte brûlante avec son chibre.
Il a donc arrêté de s'occuper de moi, s’est mis sur le dos et m’a dit « je veux que tu me montres comment suce une vrai salope ». J’ai d'abord doucement tété son gland en lui donnant de rapides petits coups de langues, et j’ai enchaîné avec de grandes gorges profondes dont j'ai le secret, tout en malaxant ses boules pleines. Sa bite était totalement raide, je sentais qu’il était très excité. Pendant que ma bouche était concentrée sur sa queue, je le regardais avec malice et envie, lui faisant comprendre que m’occuper de sa queue était la chose la plus agréable au monde.
Après m’avoir dit que je suçais vraiment très bien, il m’a avoué qu’il n’allait pas tarder à éjaculer. « Tu veux que je gicle où ? »… Quelle question, je voulais qu’il se vide dans ma gorge, et ne surtout pas perdre une goutte de son sperme qui s’est avéré avoir un goût très agréable, un peu sucré.
Nous n’avons pas couché ensemble ce soir-là, car quelques minutes après cette excitante fellation, son agent l’a appelé pour lui rappeler qu’il avait un avion à prendre d'ici peu. Mon vagin n’avait donc pas été souillé, mais je savais qu’après la pipe que je venais de lui faire, il allait vouloir me revoir et me montrer comment baise une star !
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