Cliquez ici pour du tel rose Suisse

Histoire de sexe : Belle soirée au théâtre

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 55 17

    Histoire de sexe : Belle soirée au théâtre

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    trois filles baisée au théâtre

    Lesbiennes, on aime aussi les queues. Je suis souvent fourrée avec deux jumelles de dix-huit ans qui en paraissent quatorze. Les mecs qui nous connaissent bien nous appellent les trois peggys. J’ai initié mes deux petites cochonnes aux plaisirs des gouines, et elles y ont pris goût, je dois dire. Nous nous faisons beaucoup de bien entre petites salopes bien goudous, mais on aime aussi les queues, cela va de soi.

    Un soir, nous nous sommes rendues au théâtre, pour voir un spectacle assez spécial... Il s'agissait d'une troupe de tout jeunes gens et jeunes filles. En voyant les garçons, dont quelques-uns étaient vraiment superbes, nous avons aussitôt trempé nos culottes.

    - Ils sont pas mal, les costauds, hein ? Si on allait s’envoyer en l’air avec eux...

    Mes copines se sont regardées, les yeux écarquillés. Tandis que j'entrouvrais mes cuisses de grenouille, j’ai glissé ma main sur ma chatoune brûlante. Émoustillées, mes deux chéries m'ont imitée.

    La touffe à l’air, nous mations les beaux jeunes hommes en nous caressant sans nous gêner.

    - On se les fait ?

    Installées au premier rang, les jambes écartées sous les spots chauffants, nos doigts remuaient à toute vitesse dans nos sexes rougis et gluants. Nous étions tellement excitées que nous ne nous soucions à peine de la présence de nos plus proches voisins. D’ailleurs ils ont sans doute fini par tout voir puis à faire semblant de ne rien avoir vu.

    Les trois acteurs nous ont remarquées eux aussi, plus qu’étonnés. Sans leur laisser le moindre répit, j’ai grimpé sur l'estrade et j’ai lancé à la petite foule :

    - Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, devant le peu de succès de cette création, nous interrompons notre programme pour une représentation unique en son genre...

    C'est vrai que nous devions être à peine une trentaine dans la salle. Je me suis jetée sur le premier interprète en lui ouvrant la braguette. J'ai enfourné sa bite dans ma bouche, et l’ai pompée à tout-va. Enthousiastes, les quelques personnes qui ne s'étaient pas barrées en nous insultant, se mirent à siffler pour montrer leur satisfaction et tout le bien qu’elles pensaient de nous, les trois petites furies.

    Mais deux amies se ruèrent chacune sur un type pour l'emboucher sur-le-champ. En très peu de temps, nous les avions déshabillés de la tête aux pieds. Sensuelle, j'ai commencé par le haut. Une de mes copines n'a pas oublié de se masturber tout en déboutonnant sa robe pendant que sa frangine nous faisait un strip-tease hyper provocant.

    Le public hurlait de joie. Hystérique, mon cavalier a présenté son dard turgescent à la foule en délire, puis s'est agenouillé pour me téter la vulve. Oh, me téter la vulve devant tout le monde, comme c'était divinement bon ! La mouille chaude dans mon vagin se répandait sur son visage. Pendant ce temps, ses copains se vautraient sur les jumelles qui n'en finissaient pas de se laisser prendre dans des poses plus acrobatiques et exhibitionnistes les unes que les autres. De mon côté, alors que j'espionnais à droite et à gauche, j'ai fini par me faire culbuter presque sans m'en apercevoir.

    Douze bras, douze jambes, six bouches s'emmêlaient dans une partouze animée. J'ai attrapé la pointe d'un nichon pendant qu'une main me griffait les fesses. Une autre m'écrabouillait les côtes et les nénés. J'avais le bassin coincé contre un cul qui frétillait sous mon nez. Un braquemart rouge apparut soudain, à demi planté dans une croupe ondulante. Ce n'était plus une orgie de sexe mais une masse de chair informe et vibrante, une bête à six dos que nous formions pour le plus grand plaisir des quelques spectateurs présents. Nos partenaires nous permettaient toutes les extravagances. Je me suis retrouvée percée par deux grosses pines très dures, une dans le cul, une dans la fente, pour mon plus grand plaisir.

    Pendant qu'elle se faisait violemment troncher, l'une de mes copines mordillait le clito de sa sœur. Le cul bien haut, elle ne cessait de recevoir des secousses sauvages. Elle n'arrivait plus à souffler.

    Ça commençait à puer la sueur et le foutre sur la scène...

    Chaude et féline, j'ai invité les deux barbares qui me défonçaient à me lécher le corps tout entier, et sans rien oublier ! Leur langue pointue s’est chacune répandue sur mon ventre et à l'intérieur de mes cuisses. Je creusais les reins tant que je pouvais. Les langues sont remontées jusqu'aux aisselles et aux bras. J'étais recouverte de leur bave. La corolle grande ouverte, je me tortillais de plaisir. L'un des deux garçons m'a enfilé un accessoire dans la chatte : une longue-vue de capitaine ! C'était le délire le plus complet !!

    La longue-vue m'a complètement fouillée les entrailles. Je gémissais comme une tordue hystérique. Je voyais une copine se faire monter par le plus porc des trois. Son tangage était brusque. Il lui tapait l'oignon. Je lui ai attrapé les couilles avec les dents et j'ai tiré sur les poils. Il a alors fini par lâcher la croupe de ma copine.

    Aussitôt, sa sœur a rugi :

    - Vas-y, bourre-moi ! Mets-la-moi, ta grosse banane !

    Le mec s'est alors lancé sur elle et l'a grimpée comme il se doit.

    Tandis que nos deux mecs se finissaient à la branlette, nous avons roulé sur le sol, enlacées ! Et, en roulant, la tête de ma copine a heurté celle de sa sœur. Celle-ci était en train de mordre les planches, un pieu coulissant dans sa raie.

    - Viens avec nous pour le final !

    Elle a alors rué et a envoyé le type au tapis, avec les autres. Nos lunes tournées vers les feux de la rampe, nous avons salué le public avec nos culs. Comblées et la fente suintante, nous avons gagné les coulisses, non sans avoir laissé des traînées humides sur la scène...

    Ce délire me prend souvent la tête quand je suis excitée et que je me masturbe toute seule dans ma chambre. J’en ai parlé à mes deux copines et ça les a fait mouiller grave.

    - À quand le jour où nous nous ferons baiser en direct à la télévision ? a dit la plus vicieuse.

tel rose voyeur

Tu veux parler avec une coquine ?

Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.

Ou, compose directement le
Télephone rose chaud
et fais-toi plaisir ;)
Tu veux parler avec une coquine ?
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Ou, compose directement le
Télephone rose chaud
et fais-toi plaisir ;)

Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

Envoie un commentaire à , cela lui fera très plaisir !

Pour commenter une histoire, il faut être membre.
S'inscrire gratuitement / Se connecter

Les autres aventures coquines de Antoine

Antoine

  • L'été de mes 18 ans

    L'été de mes 18 ans

    Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.

  • Découverte de l'homosexualité et première pipe gay !
    151 13

    Découverte de l'homosexualité et première pipe gay !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 05/04/2022

    Publié le 05/04/2022

    J’étais très jeune quand j’ai sucé ma première queue. J’en garde un souvenir ému, merveilleux. Cela s’est passé alors que mes parents m’avaient envoyé un an en Angleterre poursuivre ma scolarité. Les gens chez qui j’étais hébergé étaient très sympas et me considéraient un peu comme leur fils. Ce couple avait lui-même un fils unique avec lequel je me suis aussitôt très bien entendu…
    Nous faisions les quatre cent coups tous les deux et adorions notamment traîner dans les usines désaffectées alentour pour y fumer à l’insu des parents. Un jour que nous nous étions achetés de l’alcool en cachette, nous sommes allés nous saouler dans l’une de ces usines que nous avions repérées comme étant déserte.

  • histoire de sexe gay
    124 33

    Obéissant au doigt et à l’œil

    Corrigé et résumé par frtt le 14/10/2015

    Publié le 14/10/2015

    Barnabé est complètement soumis à son maître Renaud, il nous raconte de manière détaillée quelques unes de ses rencontres avec ce dernier.

  • Trans-contre

    Trans-contre

    Depuis plusieurs jours, je dialogue sur internet avec Marie, une transexuelle de 25 ans. Nous avons décidé de nous rencontrer chez elle un vendredi soir. Après m'être habillé d'un jean et d'un teeshirt, je prend ma voiture et vais jusque...

  • 155 19

    plan backrooms

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/06/2014

    Publié le 16/06/2014

    Ohhh c'est chaud pour notre nouveau coquin qui nous raconte une soirée au "Le Dépôt".

    Pour les mecs qui ne savant pas comment ça baise dans les endroits gays, avec ce témoignage vous allez le savoir.

Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire de cul en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!

Inscription auteurs | Contactez-nous | Joindre la rédaction ou proposer un partenariat | Devenir hôtesse