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Recit erotique : Confession sexe d'une oeuvre d'Hard

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit erotique : Confession sexe d'une oeuvre d'Hard

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    neige pipe

    Salut dialogue 69,

    Voici ma petite confession sexe du soir, pour que puissiez faire de beaux rêves érotiques …. Cette anecdote est celle d’un copain, mais elle m’a tellement excitée que j’ai trouvé bon de vous la raconter sur ce site ; fallait pas que je la garde pour moi…
    Mon pote travaille comme garde forestier, c’est lui qui entretient les sentiers et la verdure d’un grand parc naturel au sud est de la France ; en été, il veille sur la tenue des lieux, et l’hiver… ben il veille à ce que les sentiers restent balisés, que la neige ne détruise pas tout.
    Donc il parcourt, seul, les étendues enneigées, et ça lui va bien car c’est un gars assez solitaire, même s’il a un grand cœur. Ce matin, il me disait qu’il n’avait pas trop envie d’y aller, un léger rhume, un temps incertain, une motivation en baisse. Sa copine l’avait quitté le mois dernier, le moral était en berne.
    Il part donc en traînant les pieds sur son sentier, et commence à arpenter le parcours en observant le paysage. Il ne tarde pas à remarquer que des traces de pas l’ont précédé, et que les traces sont tout à fait fraîches. Il est pourtant rare de trouver des gens qui soient assez motivés pour se déplacer par ce froid et ce temps maussade. Mais du coup il se sentait moins seul dans cette galère ! Il continuait donc de marcher quand il arriva dans une clairière, assez célèbre pour les touristes qui venaient y déjeuner en été. Mais là, au lieu de la foule, il ne trouvait qu’une personne, assise sur le sol de la clairière. Il s’approchait tout naturellement d’elle car il pensait qu’elle avait un pépin physique, elle s’était peut-être blessée dans la forêt ou autre.
    Il avançait quand elle se retourna, sans doute surprise. Elle était magnifique. Cheveux courts, yeux verts, des tâches de rousseur…. Le coup de foudre pour mon pote en somme. Il lui demanda donc si tout se passait bien, tout en se présentant histoire qu’elle ne soit pas effrayée par sa venue.
    Elle lui raconte alors qu’elle est plasticienne, et qu’elle crée des œuvres d’Art basées sur la Nature, elle a donc besoin tout naturellement de s’isoler en pleine nature pour puiser dans son âme son inspiration. Honnêtement, mon pote quand il entend ça, il se dit que c’est une dingue, une sorte d’Hippy. Mais elle a tellement un joli visage que ça passe à vrai dire !
    Il s’assoit donc à côté d’elle et ils commencent à discuter, de tout et de rien ; puis rapidement le sujet tourne autour de son Art, de ce qu’elle aime mettre en place. Elle lui explique qu’elle procède par installation, par performances. Elle se met en scène en quelque sorte. Oui, c’est bien une dingue. Mais la suite l’est encore plus.
    « voulez-vous m’aider à réaliser mon œuvre de ce jour ? »
    Mon pote lui demande alors tout bêtement ce que c’est.
    « installez vous juste ici, sur la neige, je m’occupe du reste, vous êtes célibataire ? »
    « oui »
    « vous me trouvez à votre goût ? »
    « …..oui…. » Il ne comprend pas.
    Il se met alors sur la couverture qu’Estelle. C’est son prénom. Il la regarde installer son appareil photo donc elle garde le retardateur. Apparemment il va entrer dans la postérité ! Peut être allait-elle le sacrifier sur l’autel d’un démon de la nature quelconque.
    Mais en fait, pas du tout. Car soudain Estelle retire tous ses vêtements, bravant le froid. Elle laisse tomber son épais pantalon, et il découvre qu’elle est nue dessous, il aperçoit son sexe lisse. Puis elle retire son pull et idem, dessous une jolie poitrine ferme et tendue l’attend. Elle avait préparé son coup !
    Elle s’avance donc vers lui, elle ne porte plus que ses bottes fourrées. Et là, tout naturellement, elle vient se positionner devant l’objectif et descend sur son pantalon, le retire lentement et il se retrouve en boxer. Puis elle glisse sa main étrangement chaude sur son pénis, et commence à le branler. Le froid, la peur de l’inconnu faisait que mon pote ne bandait pas vraiment dur, mais au contact de la main chaude et ferme d’Estelle, tout fut différent. Puis elle se baissa, s’assit sur lui, sortit sa queue et commença à le sucer tout simplement. La vigueur ne tarda pas à venir et il banda rapidement comme un taureau, il avait complètement oublié le froid et se concentrait sur la femme qui lui gobait le gland avec une douceur peu commune. Puis elle cessa sa gâterie quand elle le sentit à point, et se redressa. Elle enfila rapidement un préservatif qu’elle avait gardé avec le retardateur ; et, le gland dressé, elle se positionna, retirant ses bottes sur mon pote pour s’empaler sur sa queue.
    Son sexe entra doucement dans sa chatte, avec là encore une extrême douceur. Mon pote restait complètement inactif, il n’osait même pas bouger, choqué ! il attrapa juste ses hanches, et elle lui demanda de les retirer. Ok. Et là elle commença des mouvements de vas et vient sur sa bite, très lentement, remontant jusqu’en haut, sur son gland, avant de s’empaler de toute la longueur. A chaque descente, elle pressait la gâchette, ce qui voulait dire qu’une photo était prise. Elle restait silencieuse, les yeux fermés, s’imprégnant de chaque mouvement, puis elle se mit à gémir quand le plaisir vient à elle, au fur et à mesure qu’elle me baisait. Lui aussi était grave excité, la lenteur de la chose le rendait fou, il avait envie de la déglinguer. Elle se mit à bouger alors de plus en plus vite, à geindre, mettant sa tête en arrière, jusqu’au râle final. Ils jouirent ensemble, dans l’instant le plus rapide de l’ébat. Elle prit un max de photos de l’orgasme, puis se leva, tout en le remerciant de sa participation.
    « pas de quoi…. »
    Elle le rassura sur la floutage de son visage, disant que l’œuvre symbolisait l’accouplement de la nature avec l’homme urbain. Mais bien sûr. Et elle remballa ses affaires.
    Pour une journée de boulot, je peux vous dire que mon pote ne s’en est jamais remis. Vive l’Art.

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