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Recit erotique : Deux petites étudiantes cochonnes

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit erotique : Deux petites étudiantes cochonnes

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    lesbienne

    Il y a une histoire que j'aime bien raconter aux mecs avec qui je couche pour bien les exciter. C'était à l'époque de la fac, en première année de médecine, dans la chambre de la cité universitaire. J’avais passé une matinée entière à réviser avec ma copine de chambre. Estelle était un peu plus sérieuse que moi pour les études. Il faut dire que les années fac sont un véritable terrain de perdition pour une jeune étudiante coquine comme moi. Estelle était très belle, elle avait de longs cheveux blonds et une silhouette sublime. En été, j’aimais quand elle portait des petits hauts moulants, on pouvait souvent apercevoir ses gros seins pointer. Quelle gourmandise !

    Nous étions donc dans la chambre commune, en train de faire une pause bien méritée, des polycopiés de cours de médecine jonchaient le lit. Nous étions sur ce même petit lit, à rire, à nous raconter des blagues de cul, elle, assise au niveau du coussin, en tailleur, moi allongée dans le sens de la largeur. Toutes deux étions encore vêtues de nos nuisettes. Nous nous racontions toutes sortes d’histoires coquines, nos premières expériences sexuelles, nos anecdotes les plus drôles ou les plus étonnantes. Au fur et à mesure de nos échanges, l’excitation de nos histoires aidant, j’observai son corps, ses jambes, j’eus terriblement envie d’elle. Je la dévorais des yeux, elle ne pouvait pas faire autrement que de sentir mes penchants libidineux. Mes yeux envoyaient littéralement des rayons de débauche et de stupre. J’osai glisser ma main le long de ses cuisses, la caressant de tout son long jusqu'à effleurer le galbe de sa hanche. Elle se laissait faire sans entraver mon geste, se mordillant le coin des lèvres. Elle ne fuyait pas mon regard et en dépit de ses faux airs de jeune fille studieuse et sage, je l’avais bien vu moi, qu’Estelle, derrière ses petites lunettes, c’était une véritable petite chipie, avec qui j’allais pouvoir passer un bon moment…

    Je me redressai et me jetai sur elle pour l’embrasser. Nous nous caressions les bras, le visage, les hanches. Je relevai sa nuisette pour empoigner ses fesses. Elle déchira ma culotte avec sa main, nos langues s’entrelaçaient, elle me déshabilla dans un éclair et caressa mes seins. Autour de nous, les polycopies avaient la vie dure. Mon genou écrasait le spectre protonique de l’hémoglobine tandis qu’Estelle, elle, envoyait valser le schéma de la glycolyse. Ma petite chatte était chaude et humide, d’où l’ouragan dans la piaule ! La sienne de chatte, je n’ai pas tardé à y plonger mes doigts. Elle s’allongea sur le lit pour que je puisse lui lécher le clito. En même temps, le bout de mes doigts se heurtaient contre son point G. Ses mains cherchaient une prise solide, elle attrapa les barreaux de son lit. Ses hanches se soulevaient légèrement de plaisir, moi, je la pénétrai avec ma langue bien tendue, bien juteuse. Je faisais des va-et-vient. Elle gémissait de plaisir !

    Au bout d’un moment, elle s’était redressée, m’avait plaquée sur le dos et m’était montée dessus à l’envers, en 69. Hmmmm, on se pourléchait comme deux chiennes. De long gémissements volaient dans l’air, il y avait déjà de la buée sur les fenêtres tant nous étions en fusion l’une et l’autre. Soudain, j’entendis la main d’Estelle fouiller le tiroir de sa table de chevet qui était juste à côté. Que cherchait-elle avec tant d’empressement ? Sa main sortit du tiroir un petit gode noir, court mais large. La petite coquine ! Voilà un petit objet qui arrivait à point nommé ! Elle me demanda d’ouvrir la bouche et de tenir le gode avec les dents par la base. Bien que totalement soufflée, je m’acquittai de sa demande. Elle vint s’accroupir au-dessus de ma tête et se pénétra avec le sextoy. Je la devinais clairement cochonne mais je n’aurai jamais pensé qu’elle fut si originalement salope ! Son cul allait et venait sur ma tête. J’entendais le gode pousser dans sa vulve trempée. De temps en temps, elle sortait pour frotter son clito avec le gland. Des gouttes de sa mouille coulaient le long de mes joues.

    Après ce tumultueux petit moment de dépravation, nous nous redressâmes à genou sur le lit, nous frottions mutuellement nos deux chattes dans une étreinte endiablée. Elle me susurrait à l’oreille des propos obscènes : « je veux que tu t’empales sur le gode ! » ou « je vais te fesser grosse salope ! ». Estelle avait décidément plus d’un tour dans son sac et avait bien caché son jeu… Ses menaces, à mon grand plaisir, furent mises à exécution. Elle s’allongea sur le dos et tint fermement le gode sur son ventre. Moi je m’étais tournée dos à elle, quasiment en position de grand écart. Et pendant qu’elle m’allongeait des séries de fessées, je rebondissais sur le gode. Parfois, et pour que je ne perde pas le rythme, Estelle me tirait par les hanches et me soulevait pour que la pénétration soit plus forte. Je culbutais le sextoy comme on chevauche un cheval sauvage. Ses fessées m'excitaient, ses griffures le long de mon dos m'exaltaient, les insanités que j'entendais de sa voix provoquaient en moi plus d'ivresse et d'effervescence. Estelle s'était-elle révélée ou était-elle déjà cette furie sexuelle ?

    Aaaaahhh ! Comme cette matinée avait été redoutable ! Estelle et moi avions jouis l’une et l’autre comme dans nos plus agréables rêves de nymphomanes. J’avais aspiré son clitoris jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Elle, elle m’avait fait me pendre aux rideaux de plaisir avec son gode et puis sa langue. J'avais poussé de petits cris impossibles à contenir. Nous avions d'ailleurs appris bien plus tard que nos voisines de chambrée avaient toutes entendues nos bruyants orgasmes. Nous leur avions répondues en riant, à quel point cela nous aurait fait tellement plaisir qu'une d'elles viennent nous rejoindre ! Je crois bien qu'après cet épisode, nous avions, en quelque sorte, crée une sorte de tradition dans le campus. Cela rendit les révisions en binôme beaucoup plus intéressantes !

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