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Histoire porno : Dolorès rencontre son oncle

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire porno : Dolorès rencontre son oncle

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

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    Ma mamie était contente de mon appel, un peu émue aussi à l’évocation de ce Gilles qui restait pour moi un parfait inconnu mais avec qui désormais j’avais l’impression de partager quelque chose de disons… lubrique. Ce n’est pas un oncle mais un cousin de mon père. Un cousin éloigné, tant par les rapports, que le temps et même la distance. Il vit à l’autre bout du pays et n’a pas donné de nouvelles depuis un moment mais son numéro doit-encore être valide.

    Ce numéro je l’ai lu et relu jusqu’à le savoir par cœur avant même le premier appel. C’est bizarre comment des fois le cerveau et les émotions fonctionnent. J’ai mis quelque temps pour me remettre de mon aventure solitaire de l’autre jour, mais le désir reste là. J’ai gardé la photo entre le sommier et le matelas de mon lit et ne peut m’empêcher de la regarder avant d’aller me coucher avec toujours cette irrésistible envie de me tripoter le minou. Demain c’est le weekend et je crois pouvoir prendre mon courage à deux mains et appeler celui qui est de moins en moins, un inconnu.

    J’ai attendu le lendemain, la fin d’après-midi pour me décider à appeler. Je suis tombé sur le répondeur. Malheureusement la voix était celle de l’automate de l’opérateur. Je n’ai pas su quoi dire, j’ai bafouillé un peu beaucoup avant de raccrocher. J’étais tendue et très vite prise de panique quand mon portable s’est mis à sonner, affichant le numéro que j’avais tant convoité. Je n’ai pas pu répondre. Les secondes ont été longues avant que l’appareil ne vibre me signalant le dépôt d’un message sur ma boîte vocale. Les minutes qui ont suivis l’ont été tout autant avant que je ne me décide à consulter le répondeur.
    « Vous avez un nouveau message, aujourd’hui à dix sept heure quarante sept… »
    « Allo bonjour, vous venez d’essayer de me joindre… je… merci de rappeler si ce n’était pas une erreur… »
    La voix était douce, mature et maitrisée malgré les hésitations. Faut dire que mon message d’annonce à de quoi surprendre pour un homme de son âge. J’ai réécouté le message bien une dizaine de fois avant de me décider à rappeler. Mon abdomen a fait des bons tout au long de notre conversation. Je lui ai dit qui j’étais bien sûr, et pourquoi j’appelais. Il m’a dit être ravi à l’idée de revoir mon père après tant d’années et qu’il trouvait dommage que nous ne nous soyons jamais connus lui et moi. Je n’ai pas pu m’empêcher au son de sa voix enivrante, de l’imaginer allongé et ouvert à toutes les propositions. j’ai passé le plus clair de cet appel avec ma main libre dans ma culotte. Me touchant me caressant et me faisant du bien l’imaginant dans la même configuration. Son pénis entre les mains, sa bite luisante de petites gouttes de plaisir. Il a pris le temps de me raconter un peu sa vie, son boulot de charpentier, histoire de faire un peu connaissance et installer une complicité qui serait bienvenue au moment du premier regard. Je n’ai pu retenir quelques discrets gémissements tant sa voix suave me transportait. Je m’imaginais, les quatre fers en l’air, offerte et prompte a laisser sa langue experte me butiner ma petite chatte toute mouillée. Je me demande si je n’ai pas été un peu trop excitée, comme s’il avait compris qu’en quelque sorte ses mots me berçaient dans une torpeur empreinte du désir de la jeune fille en fleur. je ne me rappelle plus bien de tout ce qu’il m’a raconté mais je sais que cela a éveillé en moi quelque chose qui était déjà là.

    J’ai passé les quinze jours suivant à prendre soin de ne pas effacer son message sur mon répondeur afin de pouvoir l’entendre encore et encore seule dans mon lit avec sa photo sous les yeux et ma seule main libre enfoncée dans ma cramouille. Car au fur et à mesure que le temps passait mes désirs , mes fantasmes le concernant devenaient de plus en plus intenses, sales voire abjectes pour les esprits prudes que compte ma famille. Je l’imaginais différent, téméraire. J’avais envie, avant même de lui faire une quelconque bise d’affection, d’avoir sa grosse bite enfoncée dans mon petit fion. Des jours et des nuits à mouiller à n’en plus pouvoir. Les cours de la fac, je n’y faisait même plus attention, j’étais pourtant à deux mois de partiels importants. Rien d’autre ne comptait que cette bouche et cette bite que j’imaginais énorme comblant chaque partie intime de mon anatomie. Je me perdais constamment dans mes pensées. Mes amie et même mes sœurs ont cru que j’étais amoureuse. Cette blague! Amoureuse? Quand on a envie de se faire troncher comme je me l’imaginais, dans des positions incroyables et des conditions aussi salaces… On peut difficilement parler d’amour. Mais bien de luxure, de pornographie, de saletés dignes des pires films de cul.

    La soirée de nos anniversaires cumulés à mon père et moi a bien tardé à arriver mais elle est arrivée. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf de la journée tant il y avait de préparatifs. Juste quelques minutes passées seule dans les toilettes pour bien vérifier l’état parfait de mon épilation intégrale. C’est à la fin de cette journée que mon téléphone c’est mis à vibrer dans ma poche. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai ressenti le besoin de m’isoler pour répondre à ce numéro qui s’affichait désormais comme simplement LUI. Il venait d’arriver dans le village mais son GPS le faisait galérer un peu voire beaucoup. Il était gêné de me demander d’aller le chercher. Je comprenait où il était vu la description qu’il me faisait de ce qu’il voyait. Le seul problème c’est qu’il était encore un peu tôt pour le faire arriver et ainsi dévoiler ma surprise à papa. Je décidait donc de prétexter une ultime course à faire à la supérette de notre village pour enfourcher mon vélo et foncer le rejoindre.

    Je n’ai pas eu de mal à le trouver adossé à sa superbe berline. Il faisait son âge mais ses yeux et les traits de son visage ne trahissaient pas les années qui le séparait de cette séance chez le photographe, juste un peu de ventre mais cela rajoutais au charme de la différence entre nous. Je ne sais pas si c’était le vent ou mon allure qui ont fait se relever ma robe à juste quelque mètres de lui. Il n’a pas manqué ce détail et son regard ne pouvait dissimuler que mon charme avait déjà agit. On se retrouve donc tous les deux à proximité de la place de notre village. les premiers mots ont eu du mal à sortir mais très vite j’ai expliqué qu’il était trop tôt et que je connaissais un endroit où il pourrait se poser un peu en attendant le début de la fête. Je lui ai donc proposé de l’emmener et lui de prendre mon vélo pour le mettre dans son coffre. Il saisit mon vélo par le cadre et la selle. Il n’a pu s’empêcher de frotter ses doigts, intrigué par leur subite humidité. Il m’a alors regardé intensément avant de porter ses doigts à son nez et prendre conscience de mon émoi. J’ai répondu à son regard avec mon plus beau sourire de petite garce avant de m’engouffrer dans la voiture. Je l’ai conduit au petit chemin à proximité de notre maison où une petite prairie pourrait être le meilleur endroit pour se détendre après une si longue route. Mais il n’était pas fatigué, cela du au confort de la berline. Je l’ai ensuite aidé à paramétrer son GPS pour qu’il trouve notre maison. Nous sommes ensuite sortis de la voiture pour récupérer mon vélo dans le coffre.

    Je ne sais pas ce qu’il m’a pris à ce moment là mais pendant qu’il retirait tant bien que mal mon vélo, j’ai eu la subite envie d’ouvrir la porte arrière pour me mettre à genoux , relever ma robe à fleurs, et baisser ma culotte juste au niveau de mes cuisses et attendre qu’il me découvre ainsi offerte à lui, à tout. Il est resté planté là quelques secondes ne sachant pas quoi dire et a attendu un regard coquin de ma part pour s’approcher. Je sentais qu’il tremblait, ne sachant pas ce qu’il devait faire, écouter ses sens ou céder à la morale et gâcher ce moment de folie. Je me suis mise à gémir, à ouvrir et refermer mon petit trou à intervalle réguliers comme pour l’inviter à m’enfourcher comme un animal. Il a mis un peu de temps. J’ai d’abord senti qu’il voulais profiter de l’odeur de mon petit derrière, il a longuement frotté son nez, prenant de longues inspiration passionnée comme si pour lui c’était la première fois. Faut dire qu’avec ce que je venais de mouiller, ce ne sont surement pas les odeurs qui manquaient. Entre la transpiration et la mouille ma corolle et mon petit trou du cul montraient des signes de ces irritations qui augmentes le plaisir au toucher. Il s’est enfoncé le nez dans mon petit trou et a profondément inspiré avant que je ne ressente la fermeté de sa langue ne manquer aucune zone de mon derrière. Ses gémissements ont progressivement augmentés. J’ai bien cru le rendre fou avec mon derrière et mon minou de jeunette délurée. Cette langue à la viscosité et la fermeté parfaite ont eu pour effet de faire vibrer mon corps de part en part. Chaque fesses, entre chacune de ses mains, le tout écartant mon petit derrière de jeune chienne en chaleur et sentir sa langue s’enfoncer dans mon trou du cul m’ont fait pousser un petit cris. Je me sentais si bien. J’avais exactement ce que je voulais et même mieux. Il m’a présenté deux de ses doigts pour que je les sucent goulument avant qu’il ne me les enfoncent dans chacun de mes orifices. J’ai eu une sensation d’étouffement tant ses doigts étaient gros et un peu sale quand même, mais cela ne me dérangeait pas. J’avais envie d’être salie par lui. Il ne disait rien et cela me convenait. Je restait à quatre patte me faisant troncher mon cul et ma petite chatte de salope en même temps. Je baisse la tête pour regarder en arrière et je vois sa main libre déboutonner son jean trop serré laissant exploser une queue incroyablement gonflée mais pas encore totalement raide. J’en ai lâché un filet de bave sur la banquette arrière de sa grosse berline. J’ai cru m’évanouir.

    Mais je ne voulais pas qu’il me fourre tout de suite avec sa grosse queue d’animal. Je me retournais donc sur moi-même laissant échapper un petit pop au moment où ses doigts se sont éjectés de mes petits trous. J’étais à présent accroupis comme une petite chose hypnotisée par cette masse lourde et encore presque molle. J’arrivais difficilement à en faire le tour avec mes doigts et une petite goutte de sperme clair perlait déjà à son extrémité. J’inspectais le membre de celui qui n’était encore il y a quelques minutes qu’un inconnu. Mon regard de jeune et jolie pute soumise appelait à une hypothétique clémence qui sonne comme un non alors qu’il s’agît d’un grand oui. Un oui, vas-y bourre-moi ma bouche de petite chienne en chaleur! Casses-moi les dents si tu le peux, que tout puisse rentrer dans cette gueule béante que j’offre à ta virilité turgescente. Je me prends à caresser ses couilles pleines d’une main et la partie inférieure de la longueur de sa queue de l’autre tout en maintenant mon regard de douce ingénue soumise et offerte.

    C’est sortie comme ça de ma bouche, « Je peux t’appeler papa? ». Son regard se fige, sa bouche se crispe. Je me doute de ce qui se passe dans sa tête, la tension, le trouble et cette bite qui ne cesse à présent de grossir. Il regarde ma petite chatte épilée. Je rattrape la goutte claire qui s’apprêtait à tomber au sol avec le bout de ma langue. « Je veux ton gros zizi, mon papa chéri, donne le moi, donne le moi tout entier ». « Oui ma petite chéri, papa va tout te donner et plus encore. J’attends ça depuis si longtemps ». « Oh moi aussi papa j’attends ça depuis longtemps, trop longtemps, quand je pense à toi je fais pipi bizarre, je suis toute chaude là, et j’ai envie de faire pipi partout ». « Ouais alors attends, tu vas sortir et t’accroupir pour pouvoir pisser tant que tu veux mon petit amour joli, c’est juste que le nettoyage des siège… enfin bon… ».

    Je me met à rire comme une écolière en sortant de la voiture tout en gardant bien en main son gros membre maintenant bien dur comme de la pierre que je commence à suçoter sans perdre son propriétaire du regard. « Tu aime ? Dis mon papa à moi, tu aime mettre ton zizi là dans ma bouche ? », « Oh que oui ma petite chérie, papa adore ça quand tu lui suce la bite ». Cela a eu pour effet de me lancer dans un limage en règle, une suce passionnée et humide, souriante et intense. Je vois qu’il n’en crois pas ses yeux, ni ses oreilles. Il ne s’attendait pas à autre chose que des retrouvailles de familles, mais tomber sur une petite nièce perverse, lubrique et si talentueuse ne pouvait que le réjouir. « J’ai le droit papa, de me toucher dans la culotte pendant que je te suce ? ». « Mais bien sûr que tu as le droit mon petit ange à son papa ». Il fait deux grosse couettes avec mes cheveux qui doivent rajouter à la nature perverse de notre petite aventure. « Tu sais j’aime m’enfoncer les doigts là, tu vois ? ». « Je vois très bien ma chérie, tu sais que tu excite beaucoup papa là, mon amour joli ? ». « Et tu aime quand je t’excite comme ça ? ». Je frotte de plus en plus fort et plus vite ma petit chatte épilé et maintenant écarlate. Du liquide commence à couler par petit jets. « Tu vois papa ? Regarde comment je fais pipi bizarre. ». « Oh que c’est beau mon petit ange, comme c’est joli ».

    Il retire la main qui serrait fort son énorme queue ainsi que celle qui frottait ma petite chatte pour m’attraper par la taille et me poser sur le capot de sa berline et revenir lécher mon bouton sensible, ce qui a pour effet de me faire émettre de petits cris. « On dirait un petit oiseaux, mon amour, tu es si belle… papa va maintenant te faire découvrir… »
    A ce moment là mon téléphone se met à vibrer. C’est ma mère et cela me fait un peu paniquer et redescendre sur terre. Je me précipite vers mon vélo que j’enfourche et m’apprête à partir avant de lancer à mon amant un dernier regard tendre et vicieux à la fois. « Tu sais où c’est maintenant, je dois filer, ma mère va être furieuse ». Il a le sourire de ceux qui font face à une merveille de la nature. Il finit par baisser les yeux comme s’il ne voulait surtout pas me regarder partir. Je commence à pédaler et au bout de quelques mètres j’entends: « Et ta culotte, tu a oublié ta petite culotte ! ». Je lui crie: « Garde-la, tu me la rendra tout à l’heure quand je te ferai visiter la maison ! ». « Tu es sûre?! ». « Oui garde-là, mon petit papa à moi et le reste aussi, ne te touche pas ! je veux le jus des couilles de mon cher papa ».
    « Tu étais passée ou enfin?! » me lance ma mère. « Je ne peux rien dire c’est une surprise… pour papa… ».

    Les invités commençait à arriver.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par moloses236 :
la suite S'il vous plaît,Je l 'ai beaucoup aimé
Posté le par Gourdin :
Raaaah la frustrante fin, j'étais dur comme du bois, il faut une suite !
Posté le par blackesse :
La suite ??? Je veux savoir la suite, je suis trempé. Hummmm
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dolores31

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